Bourdon
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| Bombus | |
|---|---|
 | |
| Bombus terrestris | |
| Classification scientifique | |
| Uni: | Animalia |
| Embranchement: | Arthropoda |
| Classe: | Insecta |
| Ordre: | Hyménoptères |
| Famille: | Apidae |
| Sous-famille: | Apinae |
| Tribu: | Bombini |
| Genre: | Bombus Latreille, 1802 |
| Diversité | |
| > 250 espèces et sous-espèces | |
Un bourdon est un membre de l' abeille genre Bombus, dans la famille Apidae. Il ya plus de 250 espèces connues, existant principalement dans le Hémisphère Nord mais ils se produisent aussi dans l'Amérique du Sud . Ils ont été introduits pour la Nouvelle-Zélande et l'État australien de Tasmanie.
Les bourdons sont des insectes sociaux qui sont caractérisés par les poils du corps noir et jaune, souvent en bandes. Cependant, certaines espèces ont orange ou rouge sur leurs corps, ou peuvent être entièrement noir. Une autre évidence (mais non unique) caractéristique est la nature souple de la chevelure (longue, ramifié soies), appelé pile, qui couvre tout leur corps, les faisant apparaître et se sentent floue. Ils sont les mieux distinguée de la même manière, de grandes abeilles floues par la forme de la patte arrière femelle, qui est modifié pour former un corbicula: une surface concave brillante qui est nue, mais entouré par une frange de poils utilisé pour le transport pollen (chez les abeilles semblables, la patte arrière est complètement velue, et les grains de pollen sont coincés dans les poils pour le transport).
Comme leurs parents les abeilles , les bourdons se nourrissent de nectar et butiner pour nourrir leurs petits.
Biologie
Le sang ou hémolymphe, comme dans d'autres arthropodes , est réalisée dans un ouvrir système circulatoire. Les organes du corps, «cœur» (aorte dorsale), les muscles, etc. sont entourés dans un réservoir de sang. L'aorte dorsale ne sang d'impulsion à travers son long tube, cependant, il ne ya donc une circulation de toutes sortes.
Dans reines fécondées les ovaires sont activées lorsque la reine pond son œuf. Il passe le long de la oviducte au vagin. Dans le vagin se trouve une chambre appelée spermathèque. Ce est là que les magasins queen sperme de son accouplement. La reine, en fonction des besoins, peut permettre à son œuf à être fécondé. Oeufs non fécondés deviennent des mâles, et les œufs fécondés se développent seulement dans des femelles et des reines.
Comme dans tous les animaux, les hormones jouent un rôle important dans la croissance et le développement de la bourdon. Les hormones qui stimulent le développement des ovaires sont supprimées dans les abeilles ouvrières femelles, tandis que la reine reste dominante. Les glandes salivaires dans la tête secrète salive, qui se mélange avec le nectar et le pollen. La salive est également mélangé dans les matériaux de nidification pour les ramollir. La graisse du corps est un magasin nutritionnel; avant l'hibernation, les reines manger autant qu'ils le peuvent pour agrandir leur corps de graisse et la graisse dans les cellules est utilisée pendant l'hibernation.
Comme toutes les langues d'abeilles, la langue des bourdons (les trompe) est une structure longue poilue qui se étend à partir d'un maxillaire modifiée semblable à une gaine. L'action principale de la langue lape, trempage dire répétée de la langue dans le liquide. Au cours de rodage, le nectar est établi par la trompe l'action capillaire. Au repos ou de vol, la trompe est maintenue pliée sous la tête. L'exosquelette de l' abdomen est divisé en plaques appelé dorsale tergites et ventrale sternites. La cire est sécrétée à partir de glandes sur les sternites.
La couleur vive pile du bourdon est une forme de signal de aposematic. Selon les espèces et morph, ces couleurs peuvent varier de entièrement noir, au jaune vif, rouge, orange, blanc et rose. Épaisse couche peut aussi agir comme isolation pour garder l'abeille chaud par temps froid. En outre, quand on vole, une abeille se accumule une charge électrostatique , et que les fleurs sont généralement bien fondées, le pollen est attiré par la pile de l'abeille quand il débarque. Quand un pollen d'abeille recouvert pénètre dans une fleur, le pollen est chargée préférentiellement attirée par le stigmatisation parce qu'il est mieux à la terre que les autres parties de la fleur.
Les bourdons ne ont pas d'oreilles; cependant, ils peuvent sentir les vibrations de sons à travers des matériaux à proximité.
Habitat
Les bourdons sont généralement plus élevés trouvés dans les latitudes et / ou haute altitudes, bien que des exceptions existent (il ya quelques plaines tropicales espèces). Quelques espèces ( Bombus polaris et B. alpinus) vont dans des climats très froids où d'autres abeilles risquent de ne pas être trouvé; B. Polaris se trouve dans le nord Île-du Ellesmere survenue au nord de tout eusocial insectes avec son parasite, B. hyperboreus. Une raison à cela est que les bourdons peuvent régler leur la température du corps, en passant par le rayonnement solaire , les mécanismes internes de "frissons" et le refroidissement radiatif de l'abdomen (appelée heterothermy). Autres abeilles ont similaires physiologie, mais les mécanismes ont été le mieux étudié chez les bourdons.
Nids
Forme bourdons colonies, qui sont généralement beaucoup moins étendues que celles des abeilles mellifères. Cela est dû à un certain nombre de facteurs, y compris la petite taille physique de la cavité du nid, la responsabilité d'une seule femelle pour la construction initiale et de reproduction qui se passe dans le nid, et la restriction de la colonie à une seule saison (dans la plupart des espèces ). Souvent, les nids de bourdons matures tiendront moins de 50 individus. Nids de bourdons peuvent être trouvés dans les tunnels dans le sol fait par d'autres animaux, ou dans tussock par opposition à Les abeilles charpentières qui se enfouissent dans le bois. Les bourdons construisent parfois un auvent de cire ("de involucre") sur le dessus de leur nid pour la protection et l'isolation. Les bourdons ne conservent pas souvent leurs nids pendant l'hiver, bien que certaines espèces tropicales vivent dans leurs nids pour plusieurs années (et leurs colonies peuvent devenir assez longue, en fonction de la taille de la cavité du nid). Chez les espèces tempérées, la dernière génération de l'été comprend un certain nombre de reines qui hiverner séparément dans des endroits protégés. Les reines peuvent vivre jusqu'à un an, peut-être plus dans les espèces tropicales.
cycle de Colony
Nids de bourdons sont d'abord construits par des reines passé l'hiver au printemps (dans les zones tempérées). En sortant de hibernation, la reine recueille le pollen et le nectar des fleurs et des recherches pour un site de nidification approprié. Les caractéristiques du site de nidification varient selon les espèces de bourdons, certaines espèces préférant nichent dans des trous souterrains et d'autres dans tussock ou directement sur le terrain. Une fois la reine trouve un site, elle prépare des pots de cire à stocker de la nourriture, et les cellules de cire à pondre des œufs. Ces oeufs éclosent en larves, qui causent les cellules de cire d'élargir isométrique dans un amas de cellules de couvain.
Pour se développer, ces larves doivent être nourris à la fois nectar pour les hydrates de carbone et de pollen pour la protéine . Les bourdons se nourrissent de nectar pour les larves en mâchant un petit trou dans la cellule de couvain dans lequel ils régurgitent nectar. Les larves sont nourries pollen dans l'une des deux manières, selon les espèces de bourdons. Les soi-disant «poche-maker" bourdons créer des poches de pollen à la base de la touffe couvain cellules que les larves de se nourrir. Inversement, "pollen" stockeurs magasin pollen dans des pots de cire séparés et à nourrir les larves de la même façon que le nectar. Les bourdons sont incapables de trophallaxie (transfert direct de la nourriture d'une abeille à l'autre).
Avec des soins appropriés, les larves passer par quatre larvaires, devenant successivement plus grande avec chaque mue. À la fin du quatrième stade, les cocons de soie larves de spin sous la cire recouvrant les cellules de couvain, les transformer en cellules de nymphose. Les larves puis subissent une intense période de croissance et la différenciation cellulaire et de devenir pupes. Ces nymphes se développent alors dans les abeilles adultes, et mâchent leur sortie du cocon de soie. Lorsque bourdons adultes émergent d'abord de leurs cocons, les poils sur leur corps ne sont pas encore totalement pigmentés et sont d'une couleur gris-blanc. Les abeilles sont désignés comme "inexpérimenté" pendant ce temps, et ils ne seront pas quitter la colonie pendant au moins 24 heures. L'ensemble du processus de l'œuf à l'abeille adulte peut prendre aussi longtemps que cinq semaines, selon les espèces et les conditions environnementales.
Après l'apparition de la première ou deuxième groupe de travailleurs, les travailleurs prennent en charge la tâche de recherche de nourriture et la reine passe le plus clair de son temps à pondre des oeufs et le soin des larves. La colonie se développe progressivement plus large et à un moment donné va commencer à produire des mâles et de nouvelles reines. Le moment où cela se produit varie selon les espèces et est fortement tributaire de la disponibilité des ressources et les facteurs environnementaux. Contrairement aux travailleurs de plus avancé insectes sociaux, les travailleurs bourdons ne sont pas physiquement la reproduction stérile et peuvent pondre oeufs haploïdes qui se développent en bourdons mâles viables. Seulement reines fécondées peuvent pondre oeufs diploïdes qui arrivent à échéance dans les travailleurs et les nouvelles reines.
Au début du cycle de la colonie, le bourdon de la reine compense la concurrence potentielle pour la reproduction des travailleurs en supprimant leur ponte par des agressions physiques et des signaux de phéromones. Ainsi, la reine sera généralement la mère de tous les premiers mâles prévues. Travailleurs finalement commencent à pondre des œufs de mâles plus tard dans la saison, lorsque la capacité de la reine pour supprimer leur reproduction diminue. La reproduction la concurrence entre les travailleurs et la reine est une des raisons que les bourdons sont considérés comme «primitivement eusocial ".
Nouveaux reines et les mâles quittent la colonie après maturation. Les hommes en particulier sont chassés de force par les travailleurs. Loin de la colonie, les nouvelles reines et les mâles vivent de nectar et de pollen et de passer la nuit sur les fleurs ou dans des trous. Les reines sont finalement accouplées (souvent plus d'une fois) et la recherche d'un endroit approprié pour diapause (dormance).
Comportement alimentaire
Les bourdons visitent généralement des fleurs présentant l'abeille syndrome de pollinisation. Ils peuvent visiter des taches de fleurs jusqu'à 1-2 km de leur colonie. Les bourdons auront également tendance à visiter les mêmes taches de fleurs tous les jours, tant qu'ils continuent à trouver du nectar et du pollen, une habitude connu comme pollinisateur ou fleur constance. Alors que la recherche de nourriture, les bourdons peuvent atteindre des vitesses de déplacement allant jusqu'à 15 mètres par seconde (54 kilomètres par heure).
Des expériences ont montré que les bourdons utilisent une combinaison de couleurs et de relations spatiales pour savoir quelles fleurs au fourrage à partir. Les bourdons peuvent également détecter à la fois la présence et le modèle de champs électriques sur les fleurs, qui se produisent en raison des charges statiques positifs qui sont générés lorsque les abeilles volent dans l'air (voir Électricité atmosphérique), et prendre un certain temps à fuir loin dans le sol. Ils utilisent cette information pour savoir si une fleur a été récemment visité par un autre abeille. Après l'arrivée à une fleur, ils extraient le nectar en utilisant leur longue langue (" glossa ") et le stocker dans leur culture. De nombreuses espèces de bourdons présentent aussi ce qui est connu comme «le pillage de nectar»: au lieu d'insérer les pièces buccales dans la fleur normalement, ces abeilles piquent directement à travers la base de la corolle pour extraire le nectar, en évitant le transfert de pollen. Ces abeilles obtiennent le pollen d'autres espèces de fleurs qu'ils visite "légitimement".
Pollen est retiré de fleurs délibérément ou accidentellement par les bourdons. Élimination accidentelle se produit lorsque les bourdons entrent en contact avec le anthères d'une fleur lors de la collecte de nectar. Les poils de la bourdons reçoivent un saupoudrage de pollen des anthères, qui est ensuite damées dans le corbicula (la «corbeille à pollen"). Bourdons sont également capables de buzz pollinisation.
Dans au moins quelques espèces, une fois un bourdon a visité une fleur, il laisse une marque de parfum sur la fleur. Cette marque de parfum dissuade les visites de la fleur par d'autres jusqu'à ce que les bourdons se dégrade de parfum. Il a été démontré que cette marque de parfum est un bouquet chimique générale que les bourdons laissent derrière eux dans des endroits différents (par exemple, le nid, et les sites alimentaires neutres), et ils apprennent à utiliser ce bouquet de fleurs d'identifier à la fois enrichissantes et ingrates. En outre, les bourdons se appuyer sur ce bouquet chimique plus quand la fleur a un temps de traitement haute (ce est à dire qu'il faut plus de temps pour l'abeille pour trouver le nectar).
Une fois qu'ils ont recueilli nectar et le pollen, les bourdons retournent au nid et y déposent le nectar et le pollen récolté dans les cellules de couvain, ou en cellules de cire de conservation. Contrairement abeilles, les bourdons ne stockent la valeur de la nourriture de quelques jours et sont beaucoup plus vulnérables aux pénuries alimentaires ainsi.
bourdons de coucou
Les bourdons du sous-genre Psithyrus (connu comme les bourdons de coucou, et autrefois considéré comme un genre distinct) sont une lignée qui vivent parasite dans les colonies de bourdons et d'autres ont perdu la capacité de recueillir le pollen. Avant de trouver et d'envahir une colonie d'accueil, une femelle Psithyrus (il n'y a pas de système de castes dans ces espèces) alimentera directement à partir de fleurs. Une fois qu'elle a infiltré une colonie hôte, la femelle Psithyrus tuera ou soumettre la reine de cette colonie et de force (à l'aide phéromones et / ou des attaques physiques) "asservir" les travailleurs de cette colonie à elle et son jeune nourrir. La femelle Psithyrus dispose également d'un certain nombre d'adaptations morphologiques, comme mandibules grandes et un plus grand sac à venin qui augmentent ses chances de prendre plus d'un nid. Après l'éclosion, le mâle et la femelle Psithyrus dispersent et se accoupler. Comme des reines de bourdons non-parasitaires, femelle Psithyrus trouver des emplacements appropriés pour passer l'hiver et entrer diapause après avoir été jumelé.
Reproduction
Dans la zone tempérée espèces, à l'automne, les jeunes reines (" gynes ") accoupler avec des mâles ( drones) et diapause pendant l'hiver dans une zone abritée, que ce soit dans le sol ou dans une structure artificielle. Au début du printemps, la reine sort de diapause et trouve un endroit approprié pour créer sa colonie. Puis elle se appuie cellules de cire, dans laquelle à pondre ses oeufs fécondés de l'hiver précédent. Les oeufs qui éclosent développer en travailleuses, et en temps la reine remplit la colonie, avec les travailleurs nourrir les jeunes et exécuter d'autres tâches similaires aux travailleurs d'abeilles. Nouveaux reproducteurs sont produits à l'automne, et la reine et les ouvrières meurent, comme le font les hommes.
Aiguillon
Queen et travailleurs bourdons peut Sting. Contrairement à une abeille dard s ', le dard d'un bourdon manque barbes, de sorte qu'il peut piquer plus d'une fois. Bumblebee espèces ne sont pas normalement agressif, mais piquent dans la défense de leur nid, ou si mal. Femme bourdons de coucou agressivement attaquer membres de la colonie hôte, et piquent la reine d'accueil, mais ignorent d'autres animaux (humains) à moins perturbé.
Les bourdons et des personnes
Les bourdons sont importants pollinisateurs de deux cultures et fleurs sauvages.
Commentaires de Charles Darwin
Dans sa première (1859) édition de L'origine des espèces , Charles Darwin a écrit des «bourdons» (un terme maintenant désaffectée pour les bourdons, voir la section étymologie ci-dessous dans cet article pour plus d'informations) et de leurs interactions avec d'autres espèces :
les plantes et les animaux, les plus éloignés dans l'échelle de la nature, sont liés par un réseau de relations complexes. [...] Je ai [...] des raisons de croire que les bourdons sont indispensables à la fécondation de l'heartsease ( Viola tricolor), pour d'autres abeilles ne visitent pas cette fleur. A partir d'expériences que je ai essayé, je ai trouvé que les visites des abeilles, sinon indispensable, sont au moins très bénéfique pour la fécondation de nos trèfles; mais bourdons seuls visiter le trèfle rouge commun ( Trifolium pratense), que d'autres abeilles ne peuvent pas atteindre le nectar. Ce est pourquoi je ai très peu de doute, que si l'ensemble du genre de bourdons se est éteinte ou très rare en Angleterre, la pensée sauvage et le trèfle rouge serait devenue très rare, ou totalement disparaître. Le nombre de bourdons dans un district dépend dans une grande mesure sur le nombre de mulots qui détruisent leurs peignes et des nids; et M. H. Newman, qui a longtemps participé aux habitudes de bourdons, estime que «plus de deux tiers d'entre eux sont ainsi détruits dans toute l'Angleterre." Maintenant le nombre de souris est largement tributaire, comme chacun sait, sur le nombre de chats ; et M. Newman dit, «Près de villages et de petites villes je ai trouvé les nids de bourdons plus nombreux qu'ailleurs, que je attribue au nombre de chats qui détruisent les souris." Par conséquent, il est tout à fait crédible que la présence d'un félin en grand nombre dans un quartier pourrait déterminer, grâce à l'intervention de la première souris puis des abeilles, la fréquence de certaines fleurs dans ce district!
L'utilisation agricole
Les bourdons sont de plus en plus cultivées pour l'usage agricole en tant que pollinisateurs, car ils peuvent polliniser espèces de plantes que d'autres pollinisateurs peut pas en utilisant une technique connue sous le nom buzz pollinisation. Par exemple, les colonies de bourdons sont souvent placés dans effet de serre la production de tomates, car la fréquence du bourdonnement qui présente un bourdon libère efficacement le pollen de tomate.
L'utilisation agricole de bourdons est limitée à pollinisation. Parce que les bourdons ne hivernent toute la colonie, ils ne sont pas obligés de stocker le miel, et ne sont donc pas utiles en tant que producteurs de miel.
Statut mis en danger
Les bourdons sont en danger dans de nombreux pays développés en raison de destruction et garantie habitat dégâts des pesticides. En Grande-Bretagne , jusqu'à relativement récemment, 19 espèces de bourdons vrai natif ont été reconnus avec six espèces de bourdons de coucou. Parmi ceux-ci, trois ont été disparu, huit sont en sérieux déclin , et seulement six restent fréquents. Des baisses similaires dans les bourdons ont été signalés dans l'Irlande , avec quatre espèces étant désignés danger, et deux autres espèces considérées vulnérables à l'extinction. Une baisse du nombre de bourdons pourrait causer des changements à grande échelle à la campagne, résultant de la pollinisation insuffisante de certaines plantes. Premier sanctuaire bourdon au monde a été établi à Vane Farm dans le Réserve naturelle nationale de Loch Leven, en Écosse en 2008.
Certains bourdons indigènes à l'Amérique du Nord sont également en train de disparaître, comme Bombus terricola, Bombus affinis et Bombus occidentalis, avec un, Franklini Bombus, qui peuvent même être éteinte.
En 2011, le Union internationale pour la conservation de la nature a mis en place le Groupe de spécialistes Bumblebee pour examiner l'état de la menace de toutes les espèces de bourdons dans le monde entier utilisant le UICN Critères de la Liste Rouge.
Les idées fausses
Vol
Selon 20ème siècle le folklore , les lois de aérodynamisme prouvent que le bourdon ne devrait être incapable de vol, car il n'a pas la capacité (en termes de taille des ailes ou battements par seconde) pour atteindre vol avec le degré de chargement nécessaire de l'aile. L'origine de cette revendication a été difficile à cerner avec certitude. John McMasters raconté une anecdote au sujet d'un aérodynamicien suisse sans nom à un dîner qui a effectué quelques calculs approximatifs et a conclu, probablement en plaisantant, que, selon les équations, les bourdons ne peuvent pas voler. Des années plus tard McMasters a soutenu loin de cette origine, ce qui suggère qu'il pourrait y avoir plusieurs sources, et que le plus tôt qu'il a trouvé était une référence dans le livre 1934 français Le vol des insectes; ils avaient appliqué les équations de résistance de l'air pour les insectes et a constaté que leur vol était impossible, mais que «Il ne faut pas être surpris que les résultats des calculs ne correspondent pas à la réalité".
Certains physicien de crédit Ludwig Prandtl (1875-1953) de la Université de Göttingen en Allemagne de populariser l'idée. D'autres disent que ce était dynamicien gazière suisse Jacob Ackeret (1898-1981) qui a fait les calculs.
La comédie de télévision historique Schulz a privé Adolf Hitler citant concepteur d'avions Ernst Heinkel sur le sujet, en utilisant ce «fait» pour rejeter les demandes que le projet proposé est techniquement impossible.
En 1934, entomologiste français Antoine Magnan (1881-1938) comprenait le passage suivant dans l'introduction de son livre Le Vol des Insectes:
| " | Tout D'ABORD Poussé par Ce Qui Se Fait en aviation, je ai appliqué aux insectes les lois de la résistance de l'air, et je suis Arrivé Avec M. Sainte-Laguë à this conclusion Que Leur vol is impossible. | " |
Cela se traduit par:
| " | Premier invité par ce qui se fait dans l'aviation, je ai appliqué les lois de la résistance de l'air pour les insectes, et je suis arrivé, avec M. de Sainte-Laguë, à cette conclusion que leur vol est impossible. | " |
Magnan se réfère à son assistant André Sainte-Laguë, un mathématicien.
Les calculs qui visait à montrer que les bourdons ne peuvent pas voler sont basées sur un traitement linéaire simplifiée oscillant voilures. La méthode suppose petites oscillations d'amplitude sans séparation de flux. Ce est ignorer l'effet de décrochage dynamique, une séparation d'air induisant un grand vortex dessus de l'aile, qui produit plusieurs fois brièvement la portance de l'aile en vol régulier. L'analyse aérodynamique plus sophistiquée montre que le bourdon peut voler car ses ailes rencontrent décrochage dynamique dans tous les cycle d'oscillation.
En outre, John Maynard Smith, un biologiste a noté avec une solide expérience dans l'aéronautique, a souligné que les bourdons ne seraient pas censés maintenir en vol, comme ils auraient besoin pour générer trop de pouvoir donné leur surface alaire minuscule. Cependant, dans des expériences aérodynamiques avec d'autres insectes il a constaté que viscosité à l'échelle de petits insectes signifiait que même leurs petites ailes peuvent se déplacer un très grand volume d'air par rapport à la taille, ce qui réduit la puissance nécessaire pour le maintenir en vol par un ordre de grandeur.
Une autre description de la fonction de l'aile d'une abeille est que les ailes fonctionnent de manière similaire aux hélicoptères lames, "pas inversé semirotary pales d'hélicoptères".
Les abeilles battent des ailes environ 200 fois par seconde. Leurs muscles du thorax ne dilatent et se contractent sur chaque tir nerveuse mais plutôt vibrent comme une bande de caoutchouc à cordes pincées.
Bourdonnement
Une commune, mais erronée, hypothèse est que le bourdonnement (écouter) des abeilles est causée par le battement de leurs ailes. Le son est en fait le résultat de l'abeille vibrant son vol muscles, ce qui peut être réalisé alors que les muscles sont découplés des ailes. Ce est particulièrement prononcé chez les bourdons, car ils doivent réchauffer leurs corps considérablement à prendre l'air à basse température ambiante. Bourdons sont connus pour atteindre une température thoracique interne de 30 ° C (86 ° F) en utilisant cette méthode.
Espèces sélectionnées
Pour une liste complète, voir Liste des espèces de bourdons du monde.
- Bombus fraternus
- New bourdon de jardin, Bombus hypnorum
- Bourdon début, Bombus pratorum
- Bourdon Orange-ceinture Bombus Ternaire
- Buff-queue bourdon, ou un grand bourdon de la terre, Bombus terrestris
Les parasites associés
- Acariens trachéales - Locustacarus buchneri
- Protozoaires - Crithidia bombi
- Microsporidia - Nosema bombi
Étymologie
Selon le Oxford English Dictionary (OED), le bourdon de terme a été enregistré comme ayant été utilisé dans la langue anglaise dans le Lesclarcissement 1530 de travail par John Palsgrave, «Je Bomme, comme une abeille bombyll Dothe." Cependant l'OED indique également que le terme bourdon lui est antérieure, ayant d'abord été utilisé en 1450 dans Fysshynge Wyth Angle, "Dans l'Juyll greshop et l'humbylbee dans le medow." Ce dernier terme a été utilisé dans Le Songe d'une nuit d'été (circa 1600) par William Shakespeare , "Les honie sacs Steale des humbles abeilles." Dans la période précédant la Première Guerre mondiale le nom commun anglais préféré était humble abeille, que l'on trouve dans L'Origine des espèces (1859) par Charles Darwin (voir ci-dessus dans cet article pour une longue citation), si bourdon était encore en usage que ainsi, par exemple en Madame Trotte-Menu (1910) par Beatrix Potter, "Soudain, autour d'un coin, elle a rencontré Lapina Bumble -" Zizz, Bizz, Bizzz », a déclaré le bourdon."! Dans le post- Seconde Guerre mondiale époque, toutefois, le bourdon est tombé en désuétude quasi-totale.
