Confucius

Confucius
孔 子

Un portrait de Confucius par la dynastie des Tang artiste Wu Daozi (680-740)
Né	551 BC Zou, Etat Lu
Mort	479 BC (âgés de 71 à 72) Lu État
Nationalité	Chinois
Ère	La philosophie antique
Région	Philosophie chinoise
École	Fondateur de confucianisme
Principaux intérêts	La philosophie morale , La philosophie sociale, éthique
Idées remarquables	Confucianisme
Influencé par I Ching , Livre des Rites
Influencé Beaucoup Philosophes chinois, en particulier Mencius, Xun Zi, le Et la Neotaoists Neoconfucians; François Quesnay; la Physiocrates; Christian Wolff; Robert Cummings Neville; Ezra Pound

Confucius (551-479 avant JC) était un chinois enseignant, éditeur, homme politique et philosophe du Le printemps et l'automne période de l'histoire chinoise . La philosophie de Confucius a souligné la moralité personnelle et gouvernementale, l'exactitude des rapports sociaux, la justice et la sincérité. Ses disciples ont participé avec succès à de nombreuses autres écoles au cours de la Cent écoles de pensée époque ne doivent être supprimées en faveur de la Légalistes au cours de la dynastie Qin . Après la victoire de Han plus Chu après l'effondrement de Qin, les pensées de Confucius a reçu une sanction officielle et ont été développées dans un système connu sous le nom confucianisme .

Confucius est traditionnellement crédité d'avoir écrit ou édité un grand nombre de Textes classiques chinois, y compris tous les Cinq Classiques, mais les savants modernes sont prudents d'attribuer affirmations spécifiques à Confucius lui-même. Aphorismes concernant ses enseignements ont été compilées dans le Entretiens, mais seulement plusieurs années après sa mort.

Les principes de Confucius avaient un fondement dans la tradition chinoise commune et de croyance. Il a défendu la loyauté familiale forte, le culte des ancêtres, le respect des aînés par leurs enfants (et les interprétations traditionnelles) des maris de leurs épouses. Il a également recommandé la famille comme base de gouvernement idéal. Il a épousé le principe bien connu «Ne fais pas aux autres ce que vous ne voulez pas faire pour vous", une première version de la Règle D'Or.

Noms

Familiale et personnelle le nom de Confucius était respectivement Kong Qiu (孔丘Kǒng Qiu). Son nom de courtoisie était Zhongni (仲尼Zhongni). Suite à une Old reconstruction chinois, sa famille et nom personnel, respectivement peut avoir été Kʰˤoŋʔ kə, tandis que son nom de courtoisie peut avoir été Truŋsnˤərs. En chinois, il est le plus souvent connu sous le nom Kongzi (孔子, littéralement «Maître Kong"). Il est également connu sous le titre honorifique Kong Fuzi (孔夫子Kǒng Fūzǐ, littéralement «Maître Kong"). Dans le Système Wade-Giles de romanisation, le nom honorifique est rendu comme "K'ung Fu-tzu". Le nom latinisé "Confucius" est dérivé de «Kong Fuzi", qui a été inventé par les missionnaires jésuites du 16ème siècle en Chine, probablement par Matteo Ricci.

Dans le Entretiens, il est souvent appelé simplement comme "le Maître" (子). Dans une AD, Confucius a été donné son premier nom posthume, le "Seigneur louable à déclarer: Ni" (褒 成 宣 尼 公). En 1530, il a été déclaré «Maître Departed Extrêmement Sage" (至聖 先 師). Il est également connu séparément comme le «Grand Sage" (至聖), "Premier Maître" (先 師), et "Enseignant modèle pour dix mille Age" (萬世 師表).

Fond

Selon la tradition, trois générations avant l'époque de Confucius, ses ancêtres avaient émigré de la Etat de la chanson à la État Lu. Confucius a dit avoir été un descendant des rois Shang ou prêtres à travers les ducs de Song.

Vie privée

Jeunesse

On pense généralement que Confucius est né en 551 avant JC. Son lieu de naissance était dans le Zou, Etat Lu (près de l'actuel Qufu, Province du Shandong). Son père Kong Il (孔 紇), aussi connu comme Shuliang Il (叔 梁 紇), était officier dans l'armée Lu. Kong Il est mort quand Confucius avait trois ans, et Confucius a été élevé par sa mère Yan Zhengzai (顏 徵 在) dans la pauvreté. À 19 ans, il a épousé sa femme, surnommé Qiguan (亓 官), et un an plus tard, le couple eu leur premier enfant, Kong Li (孔 鯉).

Confucius est né dans la classe de shi (士), entre l'aristocratie et les gens ordinaires. Il est dit avoir travaillé comme berger, vacher, greffier, et un comptable. Lorsque sa mère est morte, Confucius (23 ans) est, dit-on pleuré pendant trois ans comme ce était la tradition.

Carrière politique

Le Etat Lu a été dirigé par une maison décision ducale. Sous le duc avait trois familles aristocratiques, dont la tête portait le titre de vicomte et positions héréditaires détenus dans la bureaucratie Lu. La famille Ji a occupé le poste de «ministre sur les masses", qui était également le «Premier ministre»; la famille Meng a occupé le poste de «ministre des Travaux"; et la famille Shu a occupé le poste de «ministre de la guerre".

Dans l'hiver de 505 BC, Yang Hu-un dispositif de retenue de la famille Ji-rose dans la rébellion et se empare du pouvoir de la famille Ji.

Toutefois, d'ici l'été 501 avant JC, les trois familles héréditaires avaient réussi à expulser Yang Hu de Lu. D'ici là, Confucius avait construit une réputation considérable par ses enseignements, alors que les familles sont venues pour voir la valeur de conduite et la justice appropriée, afin qu'ils puissent obtenir la loyauté à un gouvernement légitime. Ainsi, cette année (501 BC), Confucius est venu à être nommé au poste de gouverneur mineure d'une ville. Finalement, il a été promu au poste de ministre de la criminalité.

Confucius souhaite retourner l'autorité de l'Etat au duc par le démantèlement des fortifications de la ville-forteresses appartenant à trois familles. De cette façon, il pourrait établir un gouvernement centralisé. Cependant, Confucius se appuyer exclusivement sur la diplomatie comme il ne avait pas l'autorité militaire lui-même.

En 500 avant JC, Hou Fan-gouverneur de Hou-révolté contre son seigneur de la famille Shu. Bien que les familles et Meng Shu Hou assiégé sans succès, un fonctionnaire loyaliste se leva avec les gens de Hou Hou Fan et forcé de fuir à la Etat Qi. La situation a peut-être été en faveur de Confucius que ce qui a probablement rendu possible pour Confucius et de ses disciples pour convaincre les familles aristocratiques de démanteler les fortifications de leurs villes. Finalement, après un an et demi, Confucius et ses disciples ont réussi à convaincre la famille Shu de raser les murs de Hou, la famille Ji en rasant les murs de Bi, et la famille Meng en rasant les murs de Cheng.

Tout d'abord, la famille Shu a mené une armée vers leur ville Hou et a démoli ses murs en 498 BC. Peu de temps après, Gongshan Furao-un dispositif de retenue de la commande Ji famille se révoltent et prennent des forces en Bi. Il a immédiatement lancé une attaque et entra dans la capitale Lu.

Plus tôt, Gongshan avait approché Confucius se joindre à lui, qui Confucius considéré au premier abord. Même se il désapprouve l'utilisation d'une révolution violente, la famille Ji dominé l'état Lu par la force depuis des générations et avait exilé le duc précédente. Même se il voulait l'occasion de mettre ses principes en pratique, Confucius a renoncé à cette idée à la fin. Creel (1949) affirme que, contrairement à la rebelle Yang Hu devant lui, peut Gongshan ont cherché à détruire les trois familles héréditaires et de restaurer la puissance du duc.

Cependant, Dubs (1946) affirme qu'il a été initié par le vicomte Ji Huan à envahir la capitale Lu dans une tentative pour éviter dismanteling les murs fortifiés Bi. Quelle que soit la situation a peut-être été, Gongshan était considéré comme un homme intègre qui a continué à défendre l'état de Lu, même après qu'il a été contraint de fuir.

Selon Dubs (1946), les assaillants ont reculé après avoir réalisé qu'ils auraient à devenir rebelles contre l'Etat et contre leur propre seigneur. Si oui, selon Dubs (1946), cet incident a entraîné que les fonctionnaires Bis révoltés par inadvertance contre leur propre Seigneur par Confucius «faire, forçant ainsi la main du vicomte Ji Huan d'avoir à démanteler les murs de Bi (qu'elle aurait nourri ces rebelles ) ou avouer incitation cas en allant contre le bon déroulement et la justice en tant que fonctionnaire. Il affirme en outre que l'incident porté à la prévoyance, la capacité politique pratique, et un aperçu de la lumière dans Confucius caractère humain.

Pendant l'épreuve, Zhong Vous (仲 由) avait réussi à garder le duc et les vicomtes trois ensemble à la cour. Vous Zhong était l'un des disciples de Confucius et a été organisée le poste de gouverneur à la famille Ji par Confucius. Lorsque Confucius entendu du raid, il a demandé à vicomte Ji Huan pour permettre le duc et sa cour se retirer dans une forteresse sur ses terrains du palais. Par la suite, les chefs des trois familles et le duc se retirèrent dans le complexe du palais de la Ji et monta sur le Wuzi Terrasse. Confucius a ordonné à deux officiers de mener un assaut contre les rebelles. Au moins un des deux grands était un dispositif de retenue de la famille Ji, bien que selon Dubs (1946), probablement les deux étaient, mais ils ont été incapables de refuser les ordres tandis que dans la présence du duc, vicomtes et tribunal. Les rebelles ont été suivies à la poursuite et vaincus dans Gu. Immédiatement après cette révolte a été frappé vers le bas, la famille Ji rasé les murs de la ville Bis au sol.

Quand il était temps pour démanteler les murs de la ville de la famille Meng, le gouverneur était réticent à ce que ses remparts démolis et convaincu le chef de la famille Meng ne pas le faire. Le Zuo Zhuan rappelle que le gouverneur déconseillé de raser les murs au sol comme il a dit qu'il a fait Cheng vulnérables au Etat et Qi provoquer la destruction de la famille Meng. Même si le vicomte Meng Yi a donné sa parole de ne pas interférer avec une tentative, il est revenu sur sa promesse antérieure de démanteler les murs.

Plus tard dans 498 BC, duc Ding se est personnellement rendu avec une armée pour assiéger Cheng dans une tentative de raser ses murs au sol, mais il n'a pas réussi. Ainsi, Confucius ne pourrait pas atteindre la réforme idéaliste qu'il voulait et de rétablir la règle légitime du duc, le retour à la période de la Duc de Zhou. En raison de son degré inhabituel de succès, Confucius fait de puissants ennemis au sein de l'État, en particulier avec le vicomte Ji Huan. Selon comptes dans le Zuo Zhuan et Shiji,

Confucius a quitté son pays natal en 497 avant JC, après son soutien à la tentative avortée du démantèlement des remparts de la ville des puissantes familles Ji, Meng, et Shu. Il a quitté l'état de Lu sans démissionner, restant dans l'auto-exil et l'impossibilité de rentrer tant que vicomte Ji Huan était vivant.

Exil

Le Shiji affirme que la voisine Etat Qi était inquiet que Lu devenait trop puissant tout Confucius a été impliqué dans le gouvernement de l'état Lu. Selon ce compte, Qi a décidé de saboter les réformes de Lu en envoyant 100 bons chevaux et 80 belles danseuses au duc de Lu. Le duc se est livré dans le plaisir et n'a pas assisté à des fonctions officielles pendant trois jours. Confucius était profondément déçu et a décidé de laisser Lu et cherchent de meilleures possibilités, mais de laisser à la fois exposerait la mauvaise conduite du duc et donc apporter humiliation publique à la règle Confucius servait. Confucius donc attendu pour le duc de faire une moindre erreur. Peu de temps après, le duc négligé d'envoyer à Confucius une partie de la viande sacrificielle qui lui était due, selon la coutume, et Confucius se saisit de cette prétexte pour quitter son poste et à la fois l'état Lu.

Après la démission de Confucius, il a commencé un long voyage ou un ensemble de voyages autour du petits royaumes du nord et du centre de la Chine, y compris les Etats traditionnellement de Wei, Song, Chen, et Cai. Au cours de ces Etats, il exposa ses convictions politiques, mais ne les a pas mis en œuvre.

Rentrer à la maison

Selon le Zuo Zhuan, Confucius retourné à la maison quand il était 68. Les Entretiens dépeignent lui passer ses dernières années à enseigner 72 ou 77 disciples et transmission de la vieille sagesse via un ensemble de textes appelé Cinq Classiques.

Philosophie

Le Dacheng Hall, la salle principale de la Temple de Confucius à Qufu.

Bien que le confucianisme est souvent suivie d'une manière religieuse par les Chinois, les arguments continuent quant à savoir si ce est une religion. Confucianisme examine les éléments de la au-delà et de vues sur Ciel, mais il est relativement indifférent à certaines questions spirituelles souvent considérées comme essentielles à la pensée religieuse, tels que la nature de âmes.

Le Entretiens de Confucius.

Dans le Entretiens, Confucius se présente comme un "émetteur qui n'a rien inventé". Il met le plus l'accent sur l'importance de l'étude, et ce est le caractère chinois pour l'étude ( 學) qui ouvre le texte. Loin d'essayer de construire une systématique ou la théorie formaliste, il voulait que ses disciples à maîtriser et internaliser les vieux classiques, de sorte que leur pensée profonde et étude approfondie leur permettraient de relier les problèmes moraux de la présente à des événements politiques passées (comme enregistré dans les Annales) ou les expressions passées de «roturiers __gVirt_NP_NNS_NNPS<__ sentiments et les réflexions de nobles (comme dans les poèmes de la Livre des Odes).

Éthique

L'un des enseignements les plus profonds de Confucius ont peut-être été la supériorité de l'exemplification personnelle sur les règles explicites de comportement. Ses enseignements moraux souligné l'auto-culture, l'émulation des exemples moraux, et la réalisation du jugement qualifiée plutôt que la connaissance des règles. L'éthique confucéenne peuvent être considérés comme un type de éthique de la vertu. Ses enseignements se appuient rarement sur des arguments raisonnés et les idéaux et les méthodes éthiques sont transportés de manière plus indirecte, par le biais allusion, insinuations, et même tautologie. Ses enseignements nécessite l'examen et contexte pour être compris. Un bon exemple se trouve dans cette anecdote célèbre:

廄焚子退朝,曰:. "傷人乎?"不問馬.

Lorsque les écuries ont été incendiées, de retour de la cour Confucius a dit, "était mal à personne?" Il n'a pas demandé sur les chevaux.

Entretiens X.11 (tr. Waley), 10-13 (tr. Legge), ou X-17 (tr. Lau)

En ne demandant pas sur les chevaux, Confucius démontre que le sage valeurs êtres humains sur la propriété; lecteurs sont amenés à réfléchir sur si leur réponse suivrait de Confucius et de poursuivre l'amélioration de soi si elle ne aurait pas. Confucius, comme un exemple de l'excellence humaine, sert de modèle ultime, plutôt qu'une divinité ou un universellement vrai ensemble de principes abstraits. Pour ces raisons, selon de nombreux commentateurs, les enseignements de Confucius peuvent être considérées comme un exemple de la Chine de l'humanisme .

Un de ses enseignements les plus célèbres est une variante de la Règle d'or parfois appelé le " Règle d'argent »en raison de sa forme négative:

己所不欲,勿施於人.

"Ce que vous ne souhaitez pas pour vous-même, ne faites pas à d'autres."

子貢問曰：“有一言而可以終身行之者乎”？子曰：“其恕乎！己所不欲、勿施於人。”

Zi Gong [disciple] a demandé: "Y at-il un mot qui pourrait guider une personne tout au long de la vie?"
Le Maître répondit: «Que diriez-vous« réciprocité »Ne jamais imposer aux autres ce que vous ne seriez pas choisir pour vous-même!».

Entretiens XV.24, tr. David Hinton

Souvent négligée dans l'éthique confucéenne sont les vertus de l'auto: la sincérité et la culture de la connaissance. Action vertueuse envers les autres commence avec la pensée vertueuse et sincère, qui commence avec la connaissance. Une disposition vertueuse sans connaissance est sensible à la corruption et action vertueuse sans la sincérité ne est pas la vraie justice. Cultiver la connaissance et la sincérité est également important pour son propre bien; la personne supérieure aime apprendre pour le plaisir de l'apprentissage et de la justice pour la cause de la justice.

La théorie confucéenne de l'éthique comme illustré dans Lǐ (禮) repose sur trois aspects conceptuels importants de la vie: les cérémonies associées avec le sacrifice aux ancêtres et les divinités de différents types, institutions sociales et politiques, et l'étiquette du comportement quotidien. Il a été considéré par certains que Lǐ provenaient des cieux, mais Confucius a souligné le développement de lǐ à travers les actions des dirigeants de sauge dans l'histoire humaine. Ses discussions de lǐ semblent redéfinir le terme pour désigner tous les actes commis par une personne de construire la société idéale, plutôt que ceux qui sont simplement conformes aux normes canoniques de cérémonie.

Au début tradition confucéenne, lǐ faisait la bonne chose au bon moment, l'équilibre entre le maintien de normes existantes à perpétuer un tissu social de l'éthique, et les violer pour accomplir une bonne éthique. Formation dans le lǐ des sages dernières cultive dans les vertus des gens qui comprennent jugement éthique quand lǐ doit être adaptée à la lumière des contextes situationnels.

Dans le confucianisme, le concept de li est étroitement liée à Yi (義), qui est basé sur l'idée de réciprocité. Yì peut être traduit comme la justice, mais il peut simplement dire ce est éthiquement préférable de le faire dans un certain contexte. Le terme contraste avec l'action fait par l'intérêt. Tout en poursuivant son propre intérêt ne est pas nécessairement mauvais, on serait mieux, personne plus juste si sa vie était basée sur suivant un chemin conçu pour améliorer le plus grand bien. Ainsi, un résultat de Yi est fait la bonne chose pour la bonne raison.

Tout comme l'action en fonction de Lǐ devraient être adaptés pour se conformer à l'aspiration d'adhérer à Yi, donc Yi est lié à la valeur de base de Ren (仁). Rén se compose de cinq vertus fondamentales: la gravité, la générosité, la sincérité, la diligence et la gentillesse Ren est la vertu de remplir parfaitement ses responsabilités envers les autres, le plus souvent traduit par «bienveillance» ou «humanité»;. traducteur Arthur Waley appelle «bonté» (avec un G majuscule), et d'autres traductions qui ont été mis de l'avant inclure «autorité morale» et «altruisme». Système moral de Confucius a été basée sur empathie et comprendre les autres, plutôt que des règles divinement ordonnés. Pour développer ses réponses spontanées de Ren sorte que ceux-ci pourraient guider l'action intuitivement était encore mieux que de vivre par les règles de Yi. Confucius affirme que la vertu est un moyen entre les extrêmes. Par exemple, la personne bien généreuse donne la bonne quantité-pas trop, ni trop peu.

Politique

La pensée politique de Confucius est basée sur sa pensée éthique. Il soutient que le meilleur gouvernement est celui qui gouverne par l'intermédiaire «rites» (Lǐ) et des peuples la morale naturelle, plutôt que d'utiliser la corruption et la coercition. Il a expliqué que ce est l'un des analects les plus importantes: «Si les gens soient dirigées par des lois, et l'uniformité cherche à leur donner par des peines, ils vont essayer d'éviter la punition, mais ne ont aucun sentiment de honte Se ils être amenés. par la vertu, et l'uniformité cherche à leur donner par les règles de la bienséance, ils auront le sentiment de la honte, et d'ailleurs va devenir bon. " (Traduit par James Legge) dans le Grande Étude (大學). Ce "sentiment de honte" est une internalisation des devoir, lorsque la peine précède la mauvaise action, au lieu de suivre dans la forme de lois comme dans Légalisme.

Confucius a regardé avec nostalgie sur jours plus tôt, et a exhorté les Chinois, en particulier ceux avec le pouvoir politique, à se modeler sur les exemples précédents. En période de division, le chaos et les guerres interminables entre Etats féodaux, il voulait restaurer la Mandat du Ciel (天命) qui pourrait unifier le «monde» (天下, «tout sous le ciel") et accorder la paix et la prospérité sur les personnes. Parce que sa vision de perfections personnelles et sociales a été présenté comme un renouveau de la société ordonnée des époques antérieures, Confucius est souvent considéré comme un grand promoteur de conservatisme, mais regarder de plus près ce qu'il propose souvent montre qu'il a utilisé (et peut-être torsadée) les institutions passées et les rites de pousser un nouvel agenda politique de son propre: une renaissance d'un Etat unifié royale, dont les dirigeants réussirait au pouvoir sur la base de leurs mérites moraux à la place de la lignée. Ceux-ci seraient dirigeants consacrées à leur peuple, la recherche de personnel et social la perfection, et une telle règle serait répandre ses propres vertus au peuple au lieu d'imposer un comportement correct avec les lois et règles.

Tout en appuyant l'idée de décision du gouvernement par un roi vertueux, ses idées contenaient un certain nombre d'éléments de limiter le pouvoir des dirigeants. Il a plaidé pour la langue selon des la vérité, et l'honnêteté était d'une importance primordiale. Même dans l'expression du visage, la vérité doit toujours être représenté. Confucius croyait que si une règle devaient conduire correctement, par l'action, que les commandes seraient jugées inutiles en ce que d'autres suivront les actions appropriées de leur souverain. En discutant de la relation entre un roi et son sujet (ou un père et son fils), il a souligné la nécessité de donner le respect dû aux supérieurs. Ce exigé que les subordonnés doivent donner des conseils à leurs supérieurs si les supérieurs ont été considérés comme de suivre le cours de l'action qui ne allait pas. Confucius croyait en décidant par exemple, si vous menez correctement, les commandes sont inutiles et inutile.

Disciples

Il ne est pas bien connue des disciples de Confucius et un peu plus de la moitié d'entre eux avaient leurs noms enregistrés dans le Zuo Zhuan. Le Entretiens enregistre 22 noms qui sont disciples de Confucius 'les plus probables, tandis que le Mencius enregistre 24 noms, mais il est certain qu'il ya eu beaucoup plus de disciples dont le nom ne ont pas été enregistrées. La plupart des disciples de Confucius étaient de la Lu Etat, tandis que d'autres étaient des Etats voisins. Par exemple, Zigong était de la Etat Wey et Sima Niu était de la Etat Song. Disciple préféré de Confucius était Yan Hui, probablement l'un des plus pauvres une de tous. Sima Niu, contrairement à Yan Hui, était issu d'une famille noble originaire de héréditairement l'état Song. Selon les enseignements de Confucius, les disciples sont devenus bien apprise dans les principes et les méthodes de gouvernement. Il participe souvent à des discussions et des débats avec ses élèves et a donné une grande importance à leurs études dans l'histoire, la poésie, et le rituel. Confucius a préconisé la fidélité aux principes plutôt que de individuelle dans laquelle la réforme devait être atteint par la persuasion plutôt que la violence. Même si Confucius les dénonce pour leurs pratiques, l'aristocratie a probablement été attiré par l'idée d'avoir des fonctionnaires dignes de confiance qui ont été étudiés dans les mœurs que les circonstances de l'époque ont fait souhaitable. En fait, le disciple Zilu même est mort en défendant son maître dans Wei.

Yang Hu, qui était un subordonné de la famille Ji, avait dominé le gouvernement Lu 505 à 502 et même tenté un coup d'Etat, qui a échoué de justesse. Comme une conséquence probable, ce est après que que les premiers disciples de Confucius ont été nommés à des postes gouvernementaux. Peu d'entre les disciples de Confucius est allé à atteindre des positions officielles d'une certaine importance, dont certains ont été organisées par Confucius. Au moment Confucius était âgé de 50 ans, la famille Ji avait consolidé leur pouvoir dans l'état Lu sur la maison ducale de décision. Même si la famille Ji avait pratiques que Confucius désaccord et désapprouvait, ils ont donné néanmoins les disciples de Confucius de nombreuses possibilités d'emploi. Confucius a continué à rappeler à ses disciples de rester fidèles à leurs principes et renoncé à ceux qui ne ont pas, tout en étant ouvertement critique de la famille Ji.

Héritage

Les enseignements de Confucius ont ensuite été transformés en un ensemble complexe de règles et de pratiques par ses nombreux disciples et adeptes, qui ont organisé ses enseignements dans les Entretiens. Les disciples de Confucius et son seul petit-fils, Zisi, a continué son école philosophique après sa mort. Ces efforts répartis idéaux confucéens aux étudiants qui sont ensuite devenus fonctionnaires dans la plupart des cours royales en Chine, donnant ainsi le confucianisme le premier test à grande échelle de son dogme.

Deux des plus célèbres disciples ultérieurs de Confucius souligné radicalement différents aspects de ses enseignements. Dans les siècles après sa mort, Mencius (孟子) et Xun Zi (荀子) Les deux enseignements importants composés élaborant de différentes manières sur les idées fondamentales associées à Confucius. Mencius (4ème siècle avant JC) articulé la bonté innée des êtres humains comme une source des intuitions éthiques qui guident les gens vers rén, Yi, et lǐ, tandis que Xun Zi (3ème siècle avant JC) a souligné les aspects réalistes et matérialistes de la pensée confucéenne, soulignant que la morale a été inculqué dans la société par la tradition et les individus à travers la formation. Avec le temps, leurs écrits, ainsi que les Entretiens et d'autres textes de base sont venus à constituer le corpus philosophique du confucianisme.

Ce réalignement dans la pensée confucéenne était parallèle au développement de Le légalisme, qui a vu la piété filiale que l'intérêt personnel et non un outil utile pour une règle pour créer un État efficace. Un désaccord entre ces deux philosophies politiques est venu à une tête en 223 avant JC quand la Etat Qin a conquis toute la Chine. Li Sseu, Premier ministre de la dynastie Qin convaincu Qin Shi Huang à abandonner la recommandation des confucianistes de l'attribution des fiefs se apparente à la Dynastie Zhou devant eux qu'il considère comme contraire à l'idée légaliste de centraliser l'Etat autour de la règle. Lorsque les conseillers confucéens pressées leur point, Li Sseu avait de nombreux érudits confucéens tués et leurs livres brûlés considérés comme un coup dur pour la philosophie et la science chinoise.

En vertu de la réussite Dynastie Han et Tang , idées confucéennes pris de l'importance encore plus répandue. Sous Wudi, les œuvres de Confucius ont été faites la philosophie impériale officielle et une lecture obligatoire pour les examens de la fonction publique dans 140 BC qui a été poursuivie presque sans interruption jusqu'à la fin du 19ème siècle. Comme Moism perdu le soutien au moment de la Han, les principaux prétendants philosophiques étaient légalisme, qui la pensée confucéenne peu absorbé, les enseignements de Lao-tseu , dont l'accent sur des idées plus mystiques gardé d'un conflit direct avec le confucianisme et le nouveau bouddhisme la religion, qui a gagné l'acceptation pendant la Ère du Sud et du Nord Dynasties. Les deux idées confucéennes et des fonctionnaires confucéens formés ont été invoquées dans la dynastie des Ming et même la dynastie des Yuan , bien que Kublai Khan se méfiait de céder le contrôle de la province.

Au cours de la dynastie des Song , le savant Zhu Xi (AD 1130-1200) ajouté idées de taoïsme et le bouddhisme dans le confucianisme. Dans sa vie, Zhu Xi a été largement ignoré, mais peu de temps après sa mort, ses idées est devenu le nouveau point de vue orthodoxe de ce que signifiait réellement textes confucéens. Les historiens modernes considèrent Zhu Xi comme ayant créé quelque chose d'assez différent, et appellent sa façon de penser Néo-confucianisme. Néo-confucianisme régnait en Chine, le Japon, la Corée et le Vietnam jusqu'à ce que le 19ème siècle.

«La vie et les œuvres de Confucius", par Prospero Intorcetta, 1687.

Les oeuvres de Confucius ont été traduits dans les langues européennes par l'intermédiaire de savants jésuites stationnés en Chine. Matteo Ricci a commencé à faire rapport sur les pensées de Confucius, et le père Prospero Intorcetta publié la vie et des œuvres de Confucius dans latine en 1687. On pense que ces travaux avaient une importance considérable sur les penseurs européens de la période, en particulier parmi les Déistes et d'autres groupes philosophiques du siècle des Lumières qui étaient intéressés par l'intégration du système de la morale de Confucius dans La civilisation occidentale.

Dans l'ère mouvements confucéens modernes, tels que New confucianisme, existe toujours, mais au cours de la Révolution culturelle, le confucianisme a été fréquemment attaqué par des personnalités dans le Parti communiste de Chine. Ce est en partie une continuation des condamnations du confucianisme par des intellectuels et des militants au début du 20ème siècle comme une cause de l'étroitesse d'esprit ethnocentrique et le refus de la dynastie Qing à moderniser qui a conduit à des tragédies qui ont frappé la Chine au 19ème siècle.

Les œuvres de Confucius sont étudiés par les chercheurs dans de nombreux autres pays d'Asie, en particulier ceux de la Sphère culturelle chinoise, comme la Corée, le Japon et le Vietnam. Beaucoup de ces pays tiennent encore la cérémonie commémorative traditionnelle chaque année.

Le Ahmadiyya Muslim Community croit Confucius était un Divine Prophète de Dieu, tout comme Lao-Tseu et d'autres personnages éminents chinois.

Dans les temps modernes, Astéroïde 7853, "Confucius", a été nommé d'après le penseur chinois.

Portraits visuels

Aucune peinture ou de la sculpture contemporaine de Confucius survit, et ce est seulement au cours de la Dynastie Han qu'il a été dépeint visuellement. Sculptures représentent souvent sa légendaire rencontre avec Laozi . Depuis ce temps, il ya eu de nombreux portraits de Confucius comme le philosophe idéal.

Dans les temps anciens, il était de coutume d'avoir un portrait Temples Confucius; Toutefois, pendant le règne de Empereur Hongwu (Taizu) de la dynastie des Ming , il a été décidé que le seul portrait de Confucius appropriée devrait être dans le temple dans sa ville natale, Qufu. En d'autres temples, Confucius est représenté par une plaque commémorative. En 2006, la Fondation chinoise Confucius a commandé un portrait de Confucius norme basée sur la dynastie des Tang portrait par Wu Daozi.

Mort et legs

Tombeau de Confucius Kong cimetière Lin, Qufu, La province du Shandong

Monument à Confucius Rizal Park, Manila , Philippines

Accablé par la perte de son fils et ses disciples préférés, il est mort à l'âge de 71 ou 72. Confucius a été enterré dans Cimetière Kong Lin qui se trouve dans la partie historique de Qufu. Le tombeau d'origine il érigé à la mémoire de Confucius sur la rive de la rivière Sishui avait la forme d'une hache. En outre, il dispose d'une plate-forme de brique posée à l'avant du mémorial pour des offres telles que le bois de santal encens et fruits.

Monuments commémoratifs de Confucius

Peu après la mort de Confucius, Qufu, sa ville natale est devenue un lieu de dévotion et du souvenir. Il est encore une destination majeure pour le tourisme culturel, et beaucoup de gens visiter sa tombe et les temples environnants. Dans les cultures et la Chine pan, il ya beaucoup de temples où les représentations du Bouddha , Lao-Tseu et Confucius se trouvent ensemble. Il ya aussi beaucoup temples qui lui sont dédiés, qui ont été utilisés pour les cérémonies confucianistes.

Les Chinois ont une tradition de tenir des cérémonies commémoratives spectaculaires de Confucius (祭孔) chaque année, en utilisant des cérémonies qui sont censés dérivés de Zhou Li (周禮) enregistrée par Confucius, à la date de la naissance de Confucius. Cette tradition a été interrompue pendant plusieurs décennies en Chine continentale, où la position officielle du Parti communiste et de l'Etat était que Confucius et le confucianisme représentés réactionnaire croyances féodales qui a jugé que l'asservissement du peuple à la aristocratie est une partie de l'ordre naturel. Toutes ces cérémonies et rites ont donc été interdites. Ce ne est qu'après les années 1990 que le CV de cérémonie. Comme il est maintenant considéré comme une vénération de l'histoire et de la tradition chinoise, même les membres du Parti communiste se trouvent dans la fréquentation.

A Taiwan, où le Parti nationaliste ( Kuomintang) fortement encouragée croyances confucéennes à l'éthique et le comportement, la tradition de la cérémonie commémorative de Confucius (祭孔) est soutenu par le gouvernement et a continué sans interruption. Bien que pas un jour férié national, il ne apparaît sur tous les calendriers imprimés, autant que Fête des Pères ne en Occident.

Descendance

Les descendants de Confucius ont été maintes fois identifiés et respectés par les gouvernements successifs impériales avec des titres de noblesse et de postes officiels. Ils ont été honorés avec le grade d'un marquis trente-cinq fois depuis Gaozu du Dynastie des Han, et ils ont été promus au rang de duc quarante-deux fois de la dynastie des Tang à la dynastie des Qing . Tang Xuanzong premier décerné le titre de «duc Wenxuan" sur Kong Suizhi de la 35e génération. En 1055, Song Renzong premier décerné le titre de " Duc Yansheng "sur Kong Zongyuan de la génération 46e.

Malgré le changement dynastique répétée en Chine, le titre de duc Yansheng a été décerné à des générations successives de descendants jusqu'à son abolition par le Gouvernement nationaliste en 1935. Le dernier détenteur du titre, Kung Te-cheng de la 77ème génération, a été nommé Sacrificielle officiel à Confucius. Kung Te-cheng mort en Octobre 2008, et son fils, Kung Wei-yi, le descendant en ligne directe 78e, était mort dans le petit-fils de 1989. Kung Te-cheng, Kung Tsui-chang, le descendant en ligne directe 79e, est né en 1975; son petit-fils, Kung Yu-jen, le descendant en ligne directe 80e, est né à Taipei le 1er Janvier, la sœur de 2006. Te-cheng, Kong Demao, vit en Chine continentale et a écrit un livre sur ses expériences en grandissant à la famille immobilier à Qufu. Une autre sœur, Deqi Kong, est décédé à la jeune femme.

La famille de Confucius, le Kongs, a la plus longue pedigree existant enregistré dans le monde d'aujourd'hui. L'arbre du père au fils de famille, maintenant dans sa 83e génération, a été enregistrée depuis la mort de Confucius. Selon le Comité Généalogie Compilation Confucius, il compte 2 millions de descendants connus et enregistrés, et il ya environ 3 millions en tout. Parmi ceux-ci, plusieurs dizaines de milliers vivent en dehors de la Chine. Au 14ème siècle, un descendant Kong allé en Corée, où l'on estime 34.000 descendants de Confucius en direct aujourd'hui. Une des principales lignées fui la maison ancestrale Kong en Qufu au cours de la guerre civile chinoise dans les années 1940, et finalement réglé à Taiwan.

En raison de l'énorme intérêt pour l'arbre généalogique de Confucius, il y avait un projet en Chine pour tester l'ADN des membres de la famille connus. Entre autres choses, ce qui permettrait aux scientifiques d'identifier un chromosome Y commun chez les descendants mâles de Confucius. Si la descente était vraiment ininterrompue, depuis la mort de Confucius, les mâles de la famille devraient tous de père en fils, le même chromosome Y comme leur ancêtre mâle directe, avec de légères mutations dues au passage du temps. Cependant, en 2009, les autorités de la famille a décidé de ne pas accepter des tests ADN. Bryan Sykes, professeur de génétique à l'Université d'Oxford, comprend cette décision: «L'arbre généalogique de Confucius a une énorme importance culturelle," at-il dit. "Il est pas seulement une question scientifique." Le test d'ADN a été initialement proposé d'ajouter de nouveaux membres, dont de nombreux livrets de famille ont été perdus au cours des bouleversements du 20ème siècle, à l'arbre de la famille confucéenne.

La cinquième et plus récente édition de la généalogie de Confucius a été imprimé par le Comité Compilation Généalogie Confucius (CCVC). Il a été dévoilé lors d'une cérémonie à Qufu le 24 Septembre, 2009. Les femmes sont maintenant inclus pour la première fois.