Alexandre le Grand

Alexandre le Grand
Basileus de Macédoine , Hegemon de la Ligue hellénique, Shahanshah de la Perse , Pharaon d' Egypte , Seigneur de l'Asie
Alexander lutte contre le roi de Perse Darius III. À partir de Mosaïque d'Alexandre, Musée national archéologique de Naples
Roi de Macédoine
Régner	336-323 BC
Prédécesseur	Philippe II
Successeur	Alexandre IV Philippe III
Pharaon d'Egypte
Régner	332-323 BC
Prédécesseur	Darius III
Successeur	Alexandre IV Philippe III
Roi de Perse
Régner	330-323 BC
Prédécesseur	Darius III
Successeur	Alexandre IV Philippe III
Roi de l'Asie
Régner	331-323 BC
Prédécesseur	Nouveau bureau
Successeur	Alexandre IV Philippe III
Époux	Roxana de la Bactriane Stateira of Persia Parysatis of Persia
Problème
Alexandre IV
Nom et prénom
Alexandre III de Macédoine
Dynastie	Argéades
Père	Philippe II de Macédoine
Mère	Olympias d'Épire
Né	20 ou 21 Juillet 356 BC Pella, Macédoine
Mort	10 ou 11 Juin 323 BC (32 ans) Babylone
Religion	Polythéisme grec

Alexandre III de Macédoine (20/21 Juillet 356 - 10/11 Juin 323 BC), communément connus comme Alexandre le Grand ( grec : Μέγας de Ἀλέξανδρος, Aléxandros ho Mégas de la ἀλέξω alexo grec "pour défendre, aider" + ἀνήρ Aner " l'homme "), était un roi de Macédoine , un Etat dans le nord de la Grèce antique . Né en Pella en 356 BC, Alexander a été instruit par Aristote jusqu'à l'âge de 16. À l'âge de trente ans, il avait créé l'un des plus grands empires du monde antique , qui se étend à partir de la Mer Ionienne aux Himalaya . Il était invaincu dans la bataille et est considéré comme l'un des commandants les plus réussis de l'histoire.

Alexander a succédé à son père, Philippe II de Macédoine, sur le trône en 336 avant JC, après Philip a été assassiné. À la mort de Philippe, Alexandre a hérité d'un royaume fort et une armée expérimenté. Il a reçu le généralat de la Grèce et a utilisé ce pouvoir de lancer des plans d'expansion militaire de son père. En 334 avant JC, il a envahi Persique -ruled Asie Mineure et a commencé une série de campagnes qui a duré dix ans. Alexander a brisé la puissance de la Perse dans une série de batailles décisives, et plus particulièrement les batailles de Issus et Gaugamela. Il a ensuite renversé le roi de Perse Darius III et conquis la totalité de la Empire perse. À ce moment, son empire se étendait de la Mer Adriatique à la rivière Indus .

Cherchant à atteindre les «extrémités de la terre et de la Grande Mer extra-atmosphérique", il envahi l'Inde en 326 BC, mais a finalement été contraint de rebrousser chemin à la demande de ses troupes. Alexander est mort en Babylone en 323 avant JC, sans exécuter une série de campagnes planifiées qui aurait commencé par une invasion de Saoudite. Dans les années après sa mort, une série de guerres civiles a déchiré son empire à part, résultant dans plusieurs états gouvernés par le Diadoques, les généraux survivants et les héritiers d'Alexandre.

L'héritage d'Alexandre comprend le diffusion culturelle ses conquêtes engendrés. Il a fondé un certain vingt villes qui portait son nom, notamment à Alexandrie en Egypte. Le règlement d'Alexandre de colons grecs et la propagation résultant de la culture grecque à l'Est a entraîné une nouvelle La civilisation hellénistique, des aspects qui étaient encore évidente dans les traditions de l' Empire byzantin au milieu du 15ème siècle. Alexander est devenu légendaire comme un héros classique dans le moule d' Achille , et il figure en bonne place dans l'histoire et le mythe des cultures grecque et non grecs. Il est devenu la mesure contre laquelle les dirigeants militaires se sont comparés, et académies militaires à travers le monde continuent d'enseigner ses tactiques.

Jeunesse

Lineage et l'enfance

Buste d'un jeune Alexandre le Grand de l'époque hellénistique, Musée Anglais

Tutorat Aristote Alexander, par Jean Leon Gerome Ferris

Alexander est né le 6 jours de l'ancien mois grecque de Hekatombaion, ce qui correspond sans doute à 20 Juillet 356 BC, bien que la date exacte ne est pas connu, Pella, la capitale de la Grèce antique royaume de Macédoine . Il était le fils du roi de Macédoine, Philippe II, et sa quatrième épouse, Olympias, fille de Néoptolème I, roi de Épire. Bien que Philip avait sept ou huit femmes, Olympias était son épouse principale depuis un certain temps, probablement le résultat de donner naissance à Alexandre.

Plusieurs légendes entourent la naissance et de l'enfance d'Alexandre. Selon l'ancien biographe grec Plutarque, Olympias, à la veille de la consommation de son mariage avec Philippe, rêvé que son ventre a été frappé par un coup de tonnerre, provoquant une flamme qui se propagent "loin" avant de mourir loin. Quelque temps après le mariage, Philip est dit s'être vu, dans un rêve, assurer le ventre de sa femme avec un joint gravé avec l'image d'un lion. Plutarque offert une variété d'interprétations de ces rêves: que Olympias était enceinte avant son mariage, indiqué par l'étanchéité de ses entrailles; ou que le père d'Alexandre était Zeus . Commentateurs anciens ont été divisés quant à savoir si l'ambitieux Olympias promulgué l'histoire de la filiation divine d'Alexandre, diversement affirmant qu'elle avait dit Alexander, ou qu'elle a rejeté la suggestion comme impie.

Le jour où Alexander est né, Philip préparait un siège sur la ville de Potidea sur la presqu'île de Chalcidique. Ce même jour, Philip reçu des nouvelles que son général Parménion avait vaincu le combiné Illyrienne et Paeonian armées, et que ses chevaux avaient gagné à la Jeux Olympiques. Il a également été dit que ce jour-là, le temple d'Artémis dans Ephèse, l'une des Sept Merveilles du Monde, brûlées. Cela a conduit Hégésias de Magnésie à dire qu'il avait brûlé parce Artemis était absent, assister à la naissance d'Alexandre. Ces légendes peuvent ont émergé lorsque Alexandre était roi, et, éventuellement, à son instigation, pour montrer qu'il était surhumaine et destiné à la grandeur de la conception.

Une statue montrant Alexander apprivoisement Bucéphale en Edinburgh

Dans ses premières années, Alexander a été soulevée par une infirmière, Lanike, sœur du futur général d'Alexandre Cleitos. Plus tard, dans son enfance, Alexander a été instruit par la stricte Leonidas, un parent de sa mère, et en général de Philip Lysimaque. Alexander a été soulevée à la manière des jeunes macédoniens nobles, apprendre à lire, jouer le lyre, ride, combat, et la chasse.

Quand Alexandre avait dix ans, un commerçant de Thessalie a Philip un cheval, dont il a offert de vendre pour treize talents. Le cheval a refusé d'être monté et Philip a ordonné loin. Alexander cependant, détecter la peur du cheval de son ombre, a demandé à dompter le cheval, dont il a finalement réussi. Plutarque a déclaré que Philippe, ravi à cet étalage de courage et d'ambition, embrassa son fils en larmes, déclarant: «. Mon garçon, vous devez trouver un royaume assez grand pour vos ambitions Macédoine est trop petit pour vous", et a acheté le cheval pour lui . Alexander a nommé Bucéphale, qui signifie «tête de bœuf". Bucéphale effectuée Alexander dans la mesure où le Pakistan . Lorsque l'animal est mort (due à la vieillesse, selon Plutarque, à trente ans), Alexander nommé une ville après lui, Bucephala. Le principal des comptes (en fait secondaires) sont deux: Vie de Plutarque d'Alexandre, 6, et Arrien de Anabase V.19., État qui est mort après la Bucéphale Bataille de l'Hydaspe en 326 avant JC, dans ce qui est maintenant moderne Pakistan , et est enterré dans Jalalpur Sharif à l'extérieur de Jhelum, le Pakistan . Un autre compte stipule que Bucéphale est enterré dans Phalia, une ville du Pakistan Mandi Bahauddin District, qui est nommé d'après lui.

Adolescence et de l'éducation

Quand Alexandre avait 13 ans, Philippe a commencé à rechercher un tuteur, et considérées comme telles universitaires Isocrate et Speusippe, ce dernier offrant de démissionner pour occuper le poste. En fin de compte, Philip a choisi Aristote et à condition que le Temple des Nymphes au Mieza comme une salle de classe. En contrepartie de l'enseignement Alexander, Philip a décidé de reconstruire la ville natale d'Aristote Stageira, que Philippe avait rasé, et à repeupler en achetant et en libérant les ex-citoyens qui étaient des esclaves, ou de pardonner ceux qui étaient en exil.

Mieza était comme un pensionnat pour Alexandre et les enfants de nobles macédoniens, comme Ptolémée, Hephaistion, et Cassandre. Beaucoup de ces étudiants seraient devenus ses amis et futurs généraux, et sont souvent connus comme les «compagnons». Aristote a enseigné Alexandre et ses compagnons sur la médecine, la philosophie, la morale, la religion, la logique et l'art. Sous la tutelle d'Aristote, Alexandre a développé une passion pour les œuvres d' Homère , et en particulier la Iliad; Aristote lui a donné une copie annotée, qui plus tard, Alexander portait sur ses campagnes.

L'héritier de Philip

Regency et l'ascension de Macédoine

Philippe II de Macédoine, père d'Alexandre.

À 16 ans, l'éducation d'Alexandre sous Aristote terminé. Philip en guerre contre Byzance, laissant Alexander en charge que régent et héritier présomptif. Pendant l'absence de Philippe, Thrace Maedi révolté contre la Macédoine. Alexander a réagi rapidement, les conduisant de leur territoire. Il colonisé avec les Grecs, et a fondé une ville nommée Alexandroupolis.

Au retour de Philippe, il a envoyé Alexander avec une petite force pour mater les révoltes dans le sud Thrace. Lutter contre la ville grecque de Périnthe, Alexander aurait sauvé la vie de son père. Pendant ce temps, la ville de Amphissa a commencé à travailler les terres qui étaient sacrés pour Apollo proximité Delphi, un sacrilège qui a donné l'occasion de Philip intervenir davantage dans les affaires grecques. Toujours occupée en Thrace, il ordonna de rassembler Alexander une armée pour une campagne en Grèce. Craignant que d'autres états grecs pourraient intervenir, Alexander l'a fait paraître comme se il se préparait à attaquer Illyrie place. Au cours de cette crise, les Illyriens ont envahi la Macédoine, pour être repoussé par Alexander.

Philippe et son armée ont rejoint son fils en 338 avant JC, et ils marchèrent vers le sud par Thermopyles, prendre après une résistance opiniâtre de la garnison de Thèbes. Ils sont allés à occuper la ville de Elatée, le mars de seulement quelques jours à la fois Athènes et Thèbes. Les Athéniens, conduits par Démosthène , ont voté à chercher alliance avec Thèbes contre la Macédoine. Athènes et Philip envoyés ambassades pour gagner la faveur de Thèbes, mais Athènes a remporté le concours. Philip marcha sur Amphissa (agissant apparemment à la demande de la Amphictyonie), capture les mercenaires il envoyé par Démosthène et d'accepter la reddition de la ville. Philip est ensuite retourné à Elatée, l'envoi d'une offre finale de la paix à Athènes et Thèbes, qui ont tous deux l'ont rejetée.

Statue d'Alexandre Istanbul Musée d'archéologie.

Comme Philip dirigea vers le sud, ses adversaires lui bloquée proximité Chéronée, Béotie. Pendant le suivi Bataille de Chéronée, Philippe commandait l'aile droite et de la gauche Alexander, accompagné par un groupe de généraux de confiance de Philippe. Selon les sources anciennes, les deux parties se sont battus âprement pendant un certain temps. Philip délibérément ordonné à ses troupes de battre en retraite, en comptant sur l'Athénien non testé hoplites à suivre, brisant ainsi leur ligne. Alexander était le premier à briser les lignes de Thèbes, suivie par les généraux de Philippe. Ayant endommagé la cohésion de l'ennemi, Philip a ordonné à ses troupes de marcher résolument et rapidement les mit en déroute. Avec les Athéniens ont perdu, les Thébains étaient entourés. De gauche à lutter seul, ils ont été défaits.

Après la victoire à Chéronée, Philippe et Alexandre ont défilé sans opposition dans le Péloponnèse, accueilli par toutes les villes; Cependant, quand ils ont atteint Sparta , leur a été refusé, mais ne ont pas recours à la guerre. À Corinthe, Philip a établi un "Hellenic Alliance" (sur le modèle de l'ancien alliance anti-persan du Médiques Wars), qui comprenait la plupart des cités grecques, sauf Sparta. Philip a ensuite été nommé Hegemon (souvent traduit par «commandant suprême») de cette ligue (connu par les savants modernes comme le Ligue de Corinthe), et a annoncé ses plans pour attaquer le Empire perse.

Exil et de retour

Quand Philippe revient à Pella, il est tombé amoureux et marié Cleopatra Eurydice, la nièce de son général Attale. Le mariage fait la position d'Alexandre comme héritier moins sûr, car tout fils de Cléopâtre Eurydice serait un héritier pleinement macédonienne, tandis qu'Alexandre ne était qu'à moitié-macédonien. Lors du banquet de mariage, un Attale ivre prié publiquement aux dieux que le syndicat serait de produire un héritier légitime.

Lors du mariage de Cléopâtre, que Philippe est tombé en amour avec et mariée, elle est beaucoup trop jeune pour lui, son oncle Attale dans sa boisson souhaité les Macédoniens implore les dieux de leur donner un héritier légal du royaume par sa nièce. Ce tellement irrité Alexander, que jeter une des tasses à sa tête, "Vous méchant," dit-il, "ce que, suis-je alors un salaud?" Alors Philippe, prenant le parti de Attale, se leva, et aurait couru à travers son fils; mais par bonheur pour eux deux, soit sa rage trop hâtive, ou le vin qu'il avait bu, fait glisser son pied, de sorte qu'il est tombé sur le sol. À laquelle Alexander reproche insulté sur lui: "Voir là-bas," dit-il, «l'homme qui fait des préparatifs de passer hors de l'Europe en Asie, renversé en passant d'un siège à l'autre."

-Plutarch, Décrivant la querelle au mariage de Philip.

Alexander fui Macédoine avec sa mère, son déposer avec son frère, le roi Alexandre Ier d'Épire en Dodone, capitale de la Molosses. Il a continué à Illyrie, où il a cherché refuge auprès du roi d'Illyrie et a été traité comme un invité, malgré les avoir vaincus dans la bataille quelques années avant. Cependant, il semble Philip jamais eu l'intention de renier son fils formés politiquement et militairement. En conséquence, Alexander retourné en Macédoine après six mois grâce aux efforts d'un ami de la famille, Démarate, qui médiation entre les deux parties.

L'année suivante, le Persan satrape (gouverneur) de Caria, Pixodaros, a offert sa fille aînée au demi-frère d'Alexandre, Philippe Arrhidée. Olympias et plusieurs de ses amis d'Alexandre ont suggéré cela montre Philip vise à rendre Arrhidée son héritier. Alexander a réagi en envoyant un acteur, Thessalus de Corinthe, de dire Pixodaros qu'il ne devrait pas offrir la main de sa fille à un fils illégitime, mais plutôt à Alexander. Quand Philippe entendu parler de cela, il a arrêté les négociations et Alexander grondé pour avoir voulu épouser la fille d'un de Carie, expliquant qu'il voulait une meilleure épouse pour lui. Philip exilé quatre amis d'Alexandre, Harpalus, Néarque, Ptolémée et Erigyius, et avait les Corinthiens apporter Thessalus lui dans les chaînes.

Roi de Macédoine

Accession

Le royaume de Macédoine en 336 av.

En 336 avant JC, tout en Aegae assister au mariage de sa fille Cléopâtre au frère de Olympias, Alexandre Ier d'Épire, Philip a été assassiné par le capitaine de son gardes du corps, Pausanias. Comme Pausanias tenté de se échapper, il a trébuché sur une vigne et a été tué par ses poursuivants, y compris deux des compagnons d'Alexandre, Perdiccas et Léonnatus. Alexander a été proclamé roi par les nobles et l'armée à l'âge de 20.

Consolidation du pouvoir

Alexander a commencé son règne en éliminant ses rivaux potentiels au trône. Il avait son cousin, l'ex- Amyntas IV, exécuté. Il avait aussi deux princes macédoniens de la région de Lyncestis tué, mais épargné tiers, Alexander Lyncestes. Olympias avait Cleopatra Eurydice et Europa, sa fille de Philip, brûlé vif. Quand Alexandre a appris à ce sujet, il était furieux. Alexander a également ordonné la assassiner d'Attale, qui était à la tête de l'avant-garde de l'armée en Asie Mineure et l'oncle de Cléopâtre.

Attale était à l'époque correspondant à Démosthène, concernant la possibilité de faire défection à Athènes. Attale avait aussi gravement insulté Alexander, et suite à l'assassiner de Cléopâtre, Alexander a pu considérer lui aussi dangereux de laisser en vie. Alexander épargné Arrhidée, qui était par tous les comptes handicapés mentaux, probablement en raison de l'empoisonnement par Olympias.

Nouvelles de la mort de Philip réveillé de nombreux Etats dans la révolte, y compris Thèbes, Athènes, Thessalie, et les tribus thraces nord de Macédoine. Quand les nouvelles des révoltes atteint Alexander, il a répondu rapidement. Bien conseillé d'utiliser la diplomatie, Alexander rassemblé la cavalerie macédonienne de 3000 et partit au sud vers la Thessalie. Il a trouvé l'armée de Thessalie occupant le passage entre Mont Olympe et Mont Ossa, et a ordonné à ses hommes de monter sur le mont Ossa. Lorsque les Thessaliens se réveilla le lendemain, ils ont trouvé Alexander dans leur arrière et rapidement remises, ajoutant leur cavalerie à la force de Alexander. Il a ensuite continué vers le sud Péloponnèse.

Alexander arrêté aux Thermopyles, où il a été reconnu comme le leader de la Ligue amphictyonique avant de se diriger vers le sud jusqu'à Corinthe. Athènes a poursuivi pour la paix et Alexander gracié les rebelles. Le célèbre rencontre entre Alexandre et Diogène le Cynique se est produite pendant le séjour d'Alexandre à Corinthe. Quand Alexandre a demandé Diogène ce qu'il pouvait faire pour lui, le philosophe a demandé dédaigneusement Alexander se tenir un peu sur le côté, comme il a été bloque la lumière du soleil. Cette réponse apparemment ravi Alexandre, qui aurait dit: «Mais en vérité, si je ne étais pas Alexandre, je voudrais être Diogène." À Corinthe Alexander prit le titre de Hegemon ("leader"), et comme Philip, a été nommé commandant de la guerre à venir contre la Perse. Il a également reçu des nouvelles d'un soulèvement thrace.

Campagne des Balkans

Avant de traverser vers l'Asie, Alexander voulait préserver ses frontières septentrionales. Au printemps de 335 BC, il se avança pour supprimer plusieurs révoltes. Commençant par Amphipolis, il a voyagé à l'est dans le pays des Thraces "indépendants"; et au Mont Hémus, l'armée macédonienne attaqué et vaincu les forces thraces tenaient les hauteurs. Les Macédoniens ont défilé dans le pays de la Triballes, et vaincu leur armée près de la rivière Lyginus (un affluent du Danube). Alexander marcha ensuite pendant trois jours au Danube , rencontrer le Gètes tribu sur la rive opposée. Traversée de la rivière dans la nuit, il les a surpris et a forcé leur armée de se retirer après la première cavalerie escarmouche.

Nouvelles atteint alors que Alexander Cleitus, roi d'Illyrie, et Glaukias du Roi Taulanti étaient en révolte ouverte contre son autorité. Marching ouest dans l'Illyrie, Alexander battu tour à tour, forçant les deux dirigeants à fuir avec leurs troupes. Avec ces victoires, il a obtenu sa frontière nord.

Tandis qu'Alexandre campagne au nord, les Thébains et les Athéniens se sont rebellés une fois de plus. Alexander immédiatement dirigé vers le sud. Alors que les autres villes encore hésité, Thèbes décidé de se battre. La résistance thébaine était inefficace, et Alexander rasé la ville et son territoire divisé entre les autres villes béotiens. La fin de Thèbes intimidé Athènes, laissant toute la Grèce temporairement en paix. Alexander a ensuite entrepris sa campagne asiatique, laissant Antipater comme régent.

Conquête de l'Empire perse

Asie Mineure

Carte de l'empire d'Alexandre et son itinéraire.

L'armée d'Alexandre a franchi la Hellespont en 334 BC avec environ 48 100 soldats, 6100 cavalerie et une flotte de 120 navires avec des équipages de numérotation 38000, tirée de Macédoine et divers cités-États grecques, des mercenaires et des soldats de féodalement soulevé Thrace, Paionia, et Illyrie. Il a montré son intention de conquérir l'ensemble de l'empire perse en jetant une lance dans le sol asiatique et en disant qu'il acceptait l'Asie comme un cadeau des dieux. Cela a également montré l'empressement de Alexander à se battre, contrairement à la préférence de son père pour la diplomatie.

La Bataille de Granique était l'une des premières batailles Il a combattu sur sa conquête de statuer Asie. Sa naïveté pouvait être vu à travers ses actions comme il était «plus proche de l'échec et de la mort» dans cette bataille. Ce est là qu'il a été d'apprendre à mettre en œuvre les stratégies Aristote lui avait appris pendant l'enfance. Alexander était un leader sage qui pourrait voir les défauts dans la stratégie militaire, même mieux que ses propres généraux militaires, Alexander ... rejeté les conseils de Parménion ... de capitaliser sur les Perses de l'erreur dans le déploiement tactique ». Alexandre le Grand a démontré l'extrême orgueil dans cette bataille, se il ne était pas connu, ce qui provoque la spéculation que lui, en raison de sa nature royale, croyait qu'il était supérieur aux autres.

Après une première victoire contre les forces perses au Bataille du Granique, Alexander a accepté la reddition de la capitale provinciale Persique et de la trésorerie de Sardes et a procédé le long de la Côte ionienne. Bien Alexander croyait en son pouvoir divin de se battre avec la vie des hommes, il ne triste expérience que ceux qui sont morts ont été généreusement récompensés. «Pour les parents de son tombé, Alexander a accordé l'immunité de l'impôt et du service public». Qu'il se agisse de ses propres guerriers des forces perses se opposer à lui, Alexandre a choisi de respecter ceux qui sont morts. Il est même allé jusqu'à mettre en place des statues honorer et de respecter ces gens. Bien que ce ne était pas une influence directe sur la culture des Perses, ils ne se sentent pas la nécessité de commencer une rébellion que leurs hommes et dirigeants ont été traités avec respect. À Halicarnasse, dans Caria, Alexander menée avec succès le premier des nombreux sièges , obligeant finalement ses adversaires, le capitaine mercenaire Memnon de Rhodes et le Persan satrape de Carie, Orontobates, de se retirer par la mer. Alexander a quitté le gouvernement de Caria à Ada, qui a adopté Alexander.

De Halicarnasse, Alexander a procédé en montagneuse Lycie et de la Plaine Pamphylian, affirmant contrôle sur toutes les villes côtières de nier les Perses bases navales. De Pamphylie partir de la côte ne détenait aucune grands ports et Alexander a gagné l'intérieur. À Termessos, Alexander humilié, mais n'a pas d'assaut le Ville de Pisidie. À l'ancienne capitale du phrygien Gordium, Alexander "défait" l'jusqu'ici insoluble Gordian Knot, un exploit a dit d'attendre l'avenir "roi de Asie ». Selon l'histoire, Alexander proclamé qu'il n'a pas d'importance comment le nœud a été annulée et piraté à part avec son épée.

Le Levant et la Syrie

Détail de Mosaïque d'Alexandre, montrant Bataille d'Issus, de la Maison du Faune, Pompéi.

Alexander se rendit sud, mais a été rencontré par beaucoup plus grande armée de Darius dont il a facilement défait, provoquant Darius à la panique. Bien qu'il ait été pris en chasse par des troupes d'Alexandre eux (sa famille) traités avec le respect de considération »qui a démontré sa générosité et de bonté continue envers ceux qu'il a conquis. Darius a fui la bataille, provoquant son armée de se effondrer, et a laissé derrière lui sa femme, ses deux filles, sa mère Sisygambis, et un fabuleux trésor. Il a offert une traité de paix qui comprenait les terres qu'il avait déjà perdu, et une rançon de 10 000 talents pour sa famille. Alexander a répondu que depuis qu'il était devenu roi de l'Asie, ce est lui seul qui a décidé divisions territoriales.

Alexandre le Grand, même si un homme généreux dans la victoire, a fini par reconnaître la puissance qu'il était capable quand il vaincre un ennemi en temps de guerre. Après le siège de Tyr en 332, il a vaincu l'ennemi, Darius, a tenté de présenter termes de la reddition inconditionnelle mais Alexandre est devenu impitoyable. Il se rendit compte qu'il avait le contrôle et pourrait recevoir beaucoup plus. Darius a donc été contraint de revenir, "Cette fois, l'offre était impressionnant. Darius a offert tout le territoire en tant que loin de l'Euphrate ... une rançon colossale de 30 000 talents pour sa famille ... invités à épouser sa fille aînée. Ce nouveau changement dans les relations diplomatiques induit la panique parmi les leaders des nations environnantes, car ils craignaient une défaite similaire. Cela a conduit à certaines cultures barbares choix d'abdiquer simplement pouvoir d'Alexandre, pour éviter une mort certaine ".

Alexander a procédé à prendre possession de La Syrie, et la plupart de la côte de la Levant. L'année suivante, 332 BC, il a été forcé d'attaquer Tyr, où il a capturé après une longue et difficile siège. Alexander massacré les hommes d'âge militaire et vendu les femmes et les enfants en esclavage .

Egypte

Nom d'Alexandre le Grand en Hiéroglyphes égyptiens (écrites de droite à gauche), c. 330 avant JC, l'Egypte. Musée Du Louvre.

Quand Alexandre détruit Tyr, la plupart des villes sur la route de l'Egypte rapidement capitulé, à l'exception de Gaza. La forteresse à Gaza a été lourdement fortifiée et construite sur une colline, nécessitant un siège. Alexander est venu sur la ville que l'on rencontre une résistance surprenante et fortification. Lorsque 'ses ingénieurs ont souligné lui qu'en raison de la hauteur de la butte, il serait impossible ... ce qui a encouragé Alexander autant plus pour tenter l'expérience ». Le droit divin qu'Alexandre croyait qu'il avait lui donna la confiance d'un miracle se produise. Après trois assauts infructueux, le bastion est tombé, mais pas avant Alexandre avait reçu une blessure à l'épaule grave. Comme à Tyr, les hommes d'âge militaire ont été mis à l'épée et les femmes et les enfants vendus en esclavage.

Jérusalem lieu a ouvert ses portes en signe de reddition, et selon Josèphe , Alexander a montré la Livre de la prophétie de Daniel, sans doute le chapitre 8, qui décrit un roi grec puissante qui conquérir l'Empire perse. Il épargné Jérusalem et poussé vers le sud dans l'Egypte.

Alexander avancé sur l'Egypte plus tard 332 avant JC, où il a été considéré comme un libérateur. Il a été déclaré le nouveau «maître de l'Univers" et le fils de la divinité du Amon au Oracle Oasis de Siwa dans le Désert libyen. Désormais, Alexander souvent appelé Zeus Ammon comme son vrai père, et la monnaie ultérieure représenté lui orné de cornes de béliers comme un symbole de sa divinité. Pendant son séjour en Egypte, il a fondé Alexandrie par l'Egypte , qui allait devenir la capitale prospère de la Ptolémaïque Uni après sa mort.

Assyrie et en Babylonie

Laissant l'Egypte en 331 avant JC, Alexandre marcha vers l'est dans la Mésopotamie (aujourd'hui le nord de l'Irak ) et de nouveau battu Darius, au Bataille de Gaugamela. Darius se enfuit une fois de plus sur le terrain, et Alexander l'a chassé dans la mesure où Arbela. Gaugamela serait la rencontre finale et décisive entre les deux. Darius se enfuit dans les montagnes pour Ecbatane (moderne Hamedan), tandis qu'Alexandre capturé Babylone.

Perse

Site de la Porte Persique; la route a été construite dans les années 1990.

De Babylone, est allé à Alexander Susa, l'un des Capitales achéménides, et capturé son trésor légendaire. Il a envoyé le gros de son armée dans la capitale perse de cérémonie Persepolis via le Royal Road. Alexandre lui-même a pris troupes sélectionné sur la route directe vers la ville. Il avait à l'assaut du col de la Persique Portes (dans le monde moderne Monts Zagros) qui avaient été bloqués par une armée perse sous Ariobarzane puis se précipita vers Persépolis avant sa garnison pourrait piller le trésor.

En entrant dans Persépolis, Alexander a permis à ses troupes de piller la ville pendant plusieurs jours. Alexander est resté à Persépolis pendant cinq mois. Lors de son séjour un incendie a éclaté dans le palais est de Xerxès et se étendre au reste de la ville. Les causes possibles sont un accident en état d'ivresse ou de vengeance délibérée de l'incendie de la Acropole d'Athènes au cours de la Seconde Guerre Persique.

Chute de l'Empire et de l'Est

Pièce en argent d'Alexandre porter le cuir chevelu du lion d'Héraclès, Musée Anglais.

Alexander a alors poursuivi Darius, d'abord dans les médias, puis les Parthes. Le roi de Perse ne contrôlait plus son propre destin, et a été fait prisonnier par Bessus, son Satrape de Bactriane et parent. À l'approche de Alexander, Bessus avait ses hommes poignarder mortellement le Grand Roi, puis se est déclaré le successeur de Darius que Artaxerxès V, avant de se replier à l'Asie centrale pour lancer un campagne de guérilla contre Alexandre. Alexander enterré Darius »reste à côté de ses prédécesseurs achéménides dans un enterrement royal. Il a affirmé que, en mourant, Darius lui avait désigné comme son successeur au trône achéménide. L'Empire achéménide est normalement considéré comme ayant baissé avec Darius.

Alexander considéré comme un usurpateur Bessus et partit pour le vaincre. Cette campagne, d'abord contre Bessus, se est transformé en un grand tour de l'Asie centrale. Alexander a fondé une série de nouvelles villes, tous appelés Alexandrie, y compris moderne Kandahar, en Afghanistan, et Alexandria Eskhate ("le plus") dans moderne Tadjikistan . La campagne a pris Alexander travers Médias, Parthes, Aria (ouest de l'Afghanistan), Drangiane, Arachosie (sud et centrale de l'Afghanistan), Bactriane (Nord et l'Afghanistan centrale), et Scythie.

Spitamenes, qui tenaient une position non définie dans la satrapie de Sogdiane, dans 329 BC trahis Bessus à Ptolémée, un des compagnons de confiance d'Alexandre, et Bessus a été exécuté. Toutefois, lorsque, à un moment plus tard, Alexander était sur le Jaxartes traitant avec une incursion par une armée nomade cheval, Spitamenes soulevées Sogdiane en révolte. Alexander personnellement défait les Scythes au Bataille de Jaxartes et immédiatement lancé une campagne contre Spitamenes, le battant dans la bataille de Gabai. Après la défaite, Spitamenes a été tué par ses propres hommes, qui ont ensuite poursuivis pour la paix. L'empire a commencé à tomber comme des leaders militaires et, éventuellement, la mort d'Alexandre.

Les effets culturels de conquêtes d'Alexandre de l'empire perse était super. Une fois que le dirigeant grec était en mesure de contrôler ce domaine, la culture grecque a été installé il en gardant quelques troupes et des chefs militaires. Il était si bien réussi à l'hybridation de la culture grecque avec leur une avant, ils ne pouvaient tout simplement pas vivre sans la présente constante de la nouvelle culture et les traditions grecque. Plutarque énumère simplement principaux fondements d'Alexandre, et affirme qu'ils atténués la sauvagerie primitive des indigènes. Cela ne la justice peu à la culture des Achéménides, et surestime la sophistication des villes d'Alexandre ... un mouvement de masse par les nouveaux colons retour à «hors de nostalgie pour l'éducation et la culture grecque Grèce. Après la mort d'Alexandre, beaucoup de gens qui ont été conquis estimé que la société grecque qu'ils avaient pris l'habitude de ne était pas aussi forte. Ainsi, bon nombre des personnes qui étaient dans le vaste empire d'Alexandre le Grand a créé tout au long de ses conquêtes ont choisi de migrer vers le pays d'origine grecque et renforcer leur nouvelle culture. Bien que les effets immédiats de la campagne ne ont pas été bien documentés, on peut voir que l'impact est importante et de longue durée.

Problèmes et parcelles

Alexander tue Cleitus, peinture de Castaigne 1898-1899

Pendant ce temps, Alexander a pris le titre Persique "Roi des Rois" (Shahanshah) et a adopté certains éléments de la robe persane et coutumes de sa cour, notamment l'usage de proskynesis, soit un baiser symbolique de la main, ou prostration sur le terrain, que les Perses ont montré à leurs supérieurs sociaux. Les Grecs considéraient le geste que la province de divinités et croyaient que Alexander voulait se diviniser en lui imposant. Cela lui a coûté la sympathie de beaucoup de ses compatriotes, et il a finalement abandonné.

Un complot contre sa vie a été révélé, et l'un de ses officiers, Philotas, a été exécuté pour avoir omis d'alerter Alexander. La mort du fils a nécessité la mort du père, et donc Parménion, qui avaient été chargés de surveiller le Trésor au Ecbatane, a été assassiné sur l'ordre d'Alexandre, pour prévenir les tentatives de vengeance. La plupart tristement célèbre, Alexander personnellement tué l'homme qui avait sauvé la vie au Granique, Cleitos, au cours d'une altercation violente ivresse au Maracanda (aujourd'hui Samarkand en Ouzbékistan ), dans lequel Cleitus accusé Alexander de plusieurs erreurs de jugement et surtout, d'avoir oublié les moyens macédoniens en faveur d'un mode de vie oriental corrompu.

Plus tard, dans la campagne d'Asie centrale, un second complot contre sa vie a été révélé, celui initié par son propre royale pages. Son historien officiel, Callisthène de Olynthe, a été impliqué dans le complot; cependant, les historiens ne ont pas encore parvenir à un consensus au sujet de cette participation. Callisthène avaient tombé en disgrâce en menant l'opposition à la tentative d'introduire proskynesis.

Macédoine en l'absence de Alexander

Quand Alexandre partit pour l'Asie, il a quitté son général Antipater, un chef militaire et politique expérimenté et une partie de Philip II de "vieille garde", en charge de la Macédoine. Le limogeage d'Alexandre de Thèbes assuré que la Grèce est restée calme pendant son absence. La seule exception est un appel aux armes par le roi spartiate Agis III en 331 avant JC, dont Antipater vaincu et tué à la bataille de Megalopolis l'année suivante. Antipater a renvoyé la peine de les Spartiates à la Ligue de Corinthe, qui a ensuite reporté à Alexandre, qui a choisi de les pardonner. Il y avait aussi des frictions considérables entre Antipater et Olympias, et chaque plaint à Alexander de l'autre.

En général, la Grèce a connu une période de paix et de prospérité au cours de la campagne d'Alexandre en Asie. Alexander renvoyé vastes sommes de sa conquête, ce qui a stimulé l'économie et l'augmentation des échanges à travers son empire. Cependant, les demandes constantes d'Alexandre pour les troupes et la migration des Macédoniens tout son empire épuisées les effectifs de Macédoine, grandement affaiblir dans les années après Alexander, et finalement conduit à son asservissement par Rome.

Campagne indienne

Invasion du sous-continent indien

La phalange d'attaquer le centre de la bataille de l'Hydaspe par André Castaigne (1898-1899)

Après la mort deSpitamenes et son mariage avec Roxana (Roshanak enBactriane) pour cimenter les relations avec ses nouveaux satrapies, Alexandre se tourna vers le Sous-continent indien.Il a invité leschefs de l'ancienne satrapie deGandhara, dans le nord de ce qui est aujourd'huile Pakistan, à venir lui et se soumettre à son autorité.Omphis, souverain deTaxila, dont le royaume étendue de l'Indusà l'Hydaspe, respecté, mais les chefs de certains clans de montagne, y compris lesAspasioi etsections Assakenoi duKambojas (connus dans les textes indiens aussi Ashvayanas et Ashvakayanas), a refusé de se soumettre.

Dans l'hiver de 327/326 BC, Alexander personnellement mené une campagne contre ces clans; l'Aspasioi de Kunar vallées, l'Guraeans de la vallée Guraeus, et l'Assakenoi des Swat et de Buner vallées. Une lutte acharnée a suivi avec le Aspasioi dans laquelle Alexandre a été blessé à l'épaule par une fléchette, mais finalement le Aspasioi perdu. Alexander alors confronté l'Assakenoi, qui ont combattu dans les bastions de Massaga, Ora et Aornos.

Le fort de Massaga a été réduit seulement après plusieurs jours de combats sanglants, dans laquelle Alexandre a été blessé sérieusement à la cheville. Selon Curtius, "Non seulement Alexander n'a abattage ensemble de la population de Massaga, mais aussi at-il réduire ses bâtiments en ruines". Un abattage similaire suivie à Ora. Dans la foulée de Massaga et Ora, de nombreux Assakenians ont fui vers la forteresse de Aornos. Alexander suivait de près et a capturé la colline stratégique-fort après quatre journées sanglantes.

Après Aornos, Alexander a traversé l'Indus et combattu et gagné une bataille épique contre le roi Porus, qui a régné une région dans le Pendjab, dans la bataille de l'Hydaspe en 326 BC. Alexander a été impressionné par la bravoure de Porus et lui fait un allié. Il a nommé Porus satrape, et ajouté au territoire des terres de Porus qu'il ne possédait pas auparavant. Choisir un locale a aidé à contrôler ces terres si éloignées de la Grèce. Alexander a fondé deux villes sur les côtés opposés de l' Hydaspe, en nommant un Bucephala, en l'honneur de son cheval, qui est mort à cette époque. L'autre était Nicée (Victoire) situé sur le site de la journée moderne Mong, Punjab.

Révolte de l'armée

L'invasion d'Alexandre le sous-continent indien.

Est du royaume de Porus, près du Gange , était l' Empire Nanda de Magadha et plus à l'est du Empire Gangaridai du Bengale. Craignant la perspective de faire face à d'autres grandes armées et épuisé par des années de campagne, l'armée d'Alexandre se mutine à la rivière Hyphasis, refusant de marcher plus à l'est. Cette rivière marque donc la plus orientale étendue des conquêtes d'Alexandre.

Comme pour les Macédoniens, cependant, leur lutte avec Porus émoussé leur courage et est resté la poursuite de leur avance en Inde. Pour avoir eu tout ce qu'ils pouvaient faire pour repousser un ennemi qui rassembla que vingt mille fantassins et deux mille chevaux, ils opposent violemment Alexander quand il a insisté sur la traversée du Gange aussi des rivières, dont la largeur, comme ils ont appris, avait trente-deux stades , sa profondeur d'une centaine de brasses, tandis que ses banques sur l'autre côté ont été couverts avec des multitudes d' hommes d'armes et de cavaliers et d'éléphants. Car ils ont été informés que les rois de la Ganderites et Praesii les attendaient avec quatre-vingt mille cavaliers, deux cent mille hommes de pied, huit mille chars et six mille éléphants de guerre.

Alexander a tenté de persuader ses soldats à marcher plus loin, mais son général Coenus plaidé avec lui de changer son opinion et de retour; les hommes, dit-il, «avait envie de revoir leurs parents, leurs femmes et leurs enfants, leur patrie". Alexander a finalement accepté et vers le sud, en marchant le long de la Indus . Sur le chemin de son armée a conquis les clans Malli (à l'époque moderne Multan) et d'autres tribus indiennes.

Alexander a envoyé une grande partie de son armée à Carmanie (sud moderne Iran ) avec le général Cratère, et a commandé une flotte d'explorer le golfe Persique terre sous son amiral Néarque, alors qu'il a mené le dossier à la Perse par la route du sud plus difficile le long du désert Gedrosian et Makran (maintenant partie du sud de l'Iran et le Pakistan). Alexander atteint Suse en 324 BC, mais pas avant de perdre beaucoup d'hommes à ce désert inhospitalier.

Dernières années en Perse

Alexander, à gauche, etHephaestion, droit

Découvrir que beaucoup de ses satrapes et militaires gouverneurs avaient mal agi en son absence, Alexander exécuté plusieurs d'entre eux comme des exemples sur son chemin à Susa. Comme un geste de remerciement, il a payé les dettes de ses soldats, et a annoncé qu'il allait envoyer vétérans trop âgées et handicapées retour en Macédoine, dirigé par Cratère. Ses troupes ont mal compris son intention et se sont mutinés à la ville de Opis. Ils ont refusé d'être renvoyé et critiqué son adoption de coutumes persanes et la robe et l'introduction d'officiers et de soldats perses en unités macédoniennes.

Après trois jours, incapable de convaincre ses hommes à reculer, Alexander a donné Perses postes de commandement dans l'armée et les titres militaires macédoniens conférés unités persans. Les Macédoniens pria rapidement le pardon, qui Alexander a accepté, et a tenu un grand banquet pour plusieurs milliers de ses hommes au cours de laquelle lui et ils ont mangé ensemble. Dans une tentative pour élaborer une harmonie durable entre ses sujets macédoniens et perses, Alexander a tenu un mariage de masse de ses officiers supérieurs à Persique et d'autres femmes de la noblesse à Suse, mais quelques-uns de ces mariages semble avoir duré bien au-delà d'un an. Pendant ce temps, à son retour, Alexander a appris que les gardiens de la tombe de Cyrus le Grand avaient profané, et les ont exécutés rapidement.

Après Alexandre rendu à Ecbatane pour récupérer la majeure partie du trésor perse, son ami le plus proche et possible amant, Hephaestion, sont morts de maladie ou d'intoxication. La mort de Hephaestion dévasté Alexander, et il a ordonné la préparation d'un coûteux bûcher à Babylone, ainsi que d'un décret pour deuil public. Retour à Babylone, Alexandre prévu une série de nouvelles campagnes, en commençant par une invasion de l'Arabie, mais il ne serait pas avoir une chance de les réaliser, comme il est mort peu de temps après.

Mort et succession

Un Journal astronomique babylonienne (c. 323-322 BC) l'enregistrement de la mort d'Alexandre (British Museum, Londres)

19e représentation de cortège funèbre de Alexander siècle basée sur la description de Diodore

Soit sur ​​10 ou 11 Juin 323 avant JC, Alexandre mourut dans le palais deNabuchodonosor II, dansBabylone, à l'âge de 32. Les détails de la mort diffèrent légèrement -le récit de Plutarque est que environ 14 jours avant sa mort, Alexander divertir amiralNéarque, et ont passé la nuit et le lendemain à boire avecMedius de Larissa.

Il a développé une fièvre, ce qui a aggravé jusqu'à ce qu'il était incapable de parler. Les soldats, soucieux de sa santé, ont obtenu le droit de déposer devant lui comme il agita silencieusement à eux. Diodore raconte que Alexander a été frappé avec la douleur après avoir battu un grand bol de vin pur en l'honneur d' Hercule, et mourut après quelques agonie. Arrien a également mentionné cela comme une alternative, mais Plutarque expressément nié cette allégation.

Compte tenu de la propension de l'aristocratie macédonienne à l'assassinat, jeu déloyal en vedette dans plusieurs comptes de sa mort. Diodore, Plutarque, Arrien et Justin ont tous mentionné la théorie selon laquelle Alexander a été empoisonné. Plutarque a rejeté comme une fabrication, tandis que les deux Diodore et Arrien noté que ils ont mentionné que pour l'un souci d'exhaustivité.

Les comptes étaient néanmoins assez cohérente dans la désignation Antipater, récemment supprimé comme vice-roi de Macédoine, et en contradiction avec Olympias, à la tête du complot présumé. Peut-être en prenant son assignation à Babylone comme une sentence de mort, et ayant vu le sort de Parménion et Philotas, Antipater prétendument organisé pour Alexander à être empoisonné par son fils Iollas, qui était le vin-verseur d'Alexandre. Il y avait même une suggestion qu'Aristote peut avoir participé.

L'argument le plus fort contre la théorie de poison est le fait que douze jours écoulés entre le début de sa maladie et sa mort; ces poisons longue durée d'action étaient probablement pas disponible. En 2010, cependant, une nouvelle théorie propose que les circonstances de sa mort étaient compatibles avec une intoxication par l'eau de la rivière Styx ( Mavroneri) qui contenait calichéamicine, un composé dangereux produits par les bactéries .

Plusieurs causes naturelles (maladies) ont été suggérées, y compris le paludisme et la fièvre typhoïde . Un article de 1998 dans le New England Journal of Medicine a attribué sa mort à la fièvre typhoïde compliquée par perforation de l'intestin et croissant la paralysie. autre analyse récente a suggéré ankylosante ou pyrogènes méningite . Autres maladies correspondent aux symptômes, y compris la pancréatite aiguë et le virus du Nil occidental.

Théories de cause naturelle tendent également à souligner que la santé d'Alexandre a peut-être été en baisse générale après des années de forte consommation d'alcool et de blessures graves. L'angoisse que Alexander ressenti après la mort de Hephaestion peut également avoir contribué à sa santé déclinante. La cause la plus probable possible est une surdose de médicaments contenant de l'ellébore, qui est mortelle dans de grandes doses.

Après la mort

Détail d'Alexandre sur leSarcophage Alexander.

Le corps d'Alexandre a été posée dans un anthropoïde or sarcophage qui a été rempli avec du miel, qui a été à son tour placé dans un cercueil d'or. Selon Elien, un voyant appelé Aristandre prédit que la terre où Alexandre a été mis au repos "serait heureux et unvanquishable toujours". Peut-être plus probable, les successeurs ont peut-être vu possession du corps comme un symbole de légitimité, puisque enterrer le roi avant était une prérogative royale.

Bien cortège funèbre d'Alexandre était sur ​​son chemin vers la Macédoine, Ptolémée a volé et a pris à Memphis. Son successeur, Ptolémée II, transféré le sarcophage à Alexandrie, où il est resté jusqu'à au moinsla fin de l'Antiquité.Ptolémée IX Lathyros, l'un des successeurs finales de Ptolémée, remplacé Le sarcophage d'Alexandre avec un un verre de sorte qu'il pourrait convertir l'original à la monnaie.

Pompée, César et Auguste tous visité le tombeau à Alexandrie. Ce dernier prétendument accidentellement frappé le nez hors du corps. Caligula a dit avoir pris la cuirasse d'Alexandre de la tombe pour son propre usage. En c. AD 200, l'empereur Septime Sévère fermé le tombeau d'Alexandre au public. Son fils et successeur, Caracalla, un grand admirateur, a visité la tombe pendant son règne. Après cela, les détails sur le sort de la tombe sont flous.

La dite " Alexander Sarcophage ", découvert près deSidon et maintenant dans leMusée archéologique d'Istanbul, est ainsi nommé non pas parce qu'il a été pensé pour avoir contenu les restes d'Alexandre, mais parce que ses bas-reliefs représentent Alexandre et ses compagnons de combat les Perses et la chasse. On pensait à l'origine avoir été le sarcophage deAbdalonymus (mort en 311 avant JC), le roi de Sidon nommé par Alexander immédiatement après labataille d'Issos en 331. Cependant, plus récemment, il a été suggéré qu'il pourrait dater de plus tôt que la mort de Abdalonymus.

Division de l'empire

Royaumes de la Diadoques en 281 BC: la ptolémaïque Uni (bleu foncé), l' empire séleucide (jaune), royaume de Pergame (orange), et la Macédoine (vert). Montrer également sont la République romaine (bleu clair), la République de Carthage (violet), et le Royaume de Eprius (rouge).

La mort d'Alexandre a été si soudain que lorsque les rapports de sa mort ont atteint la Grèce, ils ne croyaient immédiatement. Alexander avait pas d'héritier évident et légitime, son fils Alexandre IV par Roxane est né après la mort d'Alexandre. Selon Diodore, les compagnons d'Alexandre lui a demandé sur son lit de mort à qui il légua son royaume; sa réponse laconique était "toi kratistôi" - "pour le plus fort".

Arrien et Plutarque affirmé que Alexander était bouche bée par ce point, ce qui implique que ce fut une histoire apocryphe. Diodore, Curtius et Justin offert l'histoire plus plausible que Alexander a passé sa chevalière à Perdiccas, un garde du corps et le chef de la cavalerie de compagnon, devant des témoins, ce qui le désigne.

Perdiccas initialement n'a pas prétendu pouvoir, à la place qui suggère que le bébé de Roxane serait roi, si mâle; avec lui-même, Cratère, Léonnatus, et Antipater comme gardiens. Cependant, l'infanterie, sous le commandement de Méléagre, a rejeté cet arrangement, car ils avaient été exclus de la discussion. Au lieu de cela, ils ont soutenu le demi-frère d'Alexandre Philippe Arrhidée. Finalement, les deux parties réconciliés, et après la naissance d'Alexandre IV, lui et Philippe III ont été nommés rois conjointes, mais de nom seulement.

Dissensions et rivalités bientôt affligés les Macédoniens, cependant. Les satrapies remis par Perdiccas à la partition de Babylone devint bases de pouvoir chaque général utilisé à soumissionner pour le pouvoir. Après l'assassinat de Perdiccas en 321 avant JC, l'unité macédonienne effondré, et 40 ans de guerre entre "les successeurs" ( Diadoques ) suivi avant que le monde hellénistique réglé en quatre blocs d'alimentation stables: l' ptolémaïque royaume d'Egypte, l' empire séleucide dans l'est , le royaume de Pergame en Asie Mineure, et la Macédoine. Dans le processus, à la fois Alexandre IV et Philippe III ont été assassinés.

Testament

Diodore a déclaré que Alexandre avait donné des instructions écrites détaillées à Cratère quelque temps avant sa mort. Cratère a commencé à exécuter les commandes d'Alexandre, mais les successeurs choisi de ne pas les mettre en œuvre en outre, sur le terrain, ils étaient peu pratiques et extravagant. Néanmoins, Perdiccas lire la volonté d'Alexandre à ses troupes.

Le testament a appelé à l'expansion militaire dans les constructions monumentales, sud et ouest de la Méditerranée, et le brassage des populations orientales et occidentales. Il comprenait:

• Construction d'un tombeau monumental pour son père Philippe, "pour correspondre à la plus grande despyramides d'Egypte"
• Érection de grands temples àDélos,Delphes,Dodone,Dium,Amphipolis, et un temple monumental àAthénaà Troy
• Conquête de l'Arabie et de l'ensemble du bassin méditerranéen
• Circumnavigation de l'Afrique
• Développement des villes et la «transplantation des populations de l'Asie vers l'Europe et dans la direction opposée de l'Europe vers l'Asie, afin d'apporter le plus grand continent à l'unité commune et à l'amitié par le biais de mariages mixtes et les liens familiaux."

Caractère

Tactique

Le Bataille du Granique, 334 BC

Le Bataille d'Issus, 333 BC

Alexander a valu l'épithète «le Grand» en raison de son succès inégalé comme un commandant militaire. Il n'a jamais perdu une bataille, en dépit d'être généralement en infériorité numérique. Cela était dû à l'utilisation de terrain, phalange et les tactiques de cavalerie, stratégie audacieuse, et la loyauté féroce de ses troupes. Le phalange macédonienne, armé de la sarissa, une lance 6 mètres (20 pieds) de long, avait été développé et perfectionné par Philippe II par une formation rigoureuse, et Alexander a utilisé sa vitesse et la manoeuvrabilité à grand effet contre les forces perses plus grandes mais plus disparates. Alexander a également reconnu le potentiel de désunion entre son armée diversifiée, qui employait diverses langues et des armes. Il a surmonté cela en étant personnellement impliqué dans la bataille, à la manière d'un roi macédonien.

Dans sa première bataille en Asie, au Granique, Alexander utilisé qu'une petite partie de ses forces, peut-être 13 000 fantassins avec 5.000 cavaliers, contre une force perse beaucoup plus grande de 40.000. Alexander placé la phalange au centre et de la cavalerie et les archers sur les ailes, de sorte que sa ligne correspondait à la longueur de la ligne de cavalerie perse, à environ 3 km (1.86 mi). En revanche, l'infanterie persane était stationné derrière sa cavalerie. Ce assuré que Alexander ne serait pas débordée, tandis que sa phalange, armés de longues piques, avait un avantage considérable sur le persans les cimeterres et javelots. Pertes macédoniens étaient négligeables par rapport à ceux des Perses.

Issus en 333 avant JC, sa première confrontation avec Darius, il a utilisé le même déploiement, et de nouveau la phalange centrale poussé à travers. Alexander a dirigé personnellement la charge dans le centre, l'acheminement de l'armée adverse. A la rencontre décisive avec Darius au Gaugamela, Darius équipé ses chars de faux sur les roues pour briser la phalange et équipé sa cavalerie de piques. Alexander organisé une double phalange, avec le centre progresser à un angle, séparer lorsque les chars portaient vers le bas puis la réforme. L'avance a été un succès et a cassé le centre de Darius, provoquant ce dernier à fuir une fois de plus.

Lorsqu'ils sont confrontés à des adversaires qui ont utilisé des techniques de combat inconnues, comme en Asie centrale et en Inde, Alexander a adapté ses forces pour le style de ses adversaires. Ainsi, dans la Bactriane et Sogdiane, Alexander utilisé avec succès ses lanceurs de javelot et archers pour empêcher les mouvements de débordement, en massant sa cavalerie au centre. En Inde, confrontée à Porus d'éléphant le corps, les Macédoniens ont ouvert leurs rangs à envelopper les éléphants et utilisé leurs sarisses de grève vers le haut et déloger les éléphants de les gestionnaires.

Apparence physique

Copie romaine d'une statue deLysippe, Musée Du Louvre.Plutarque rapporte que des sculptures de Lysippe étaient les plus fidèles.

Biographe grec(. c 45-120 AD) Plutarque décrit l'apparence de Alexandre comme:

¹ L'aspect extérieur d'Alexandre est le mieux représenté par les statues de lui qui Lysippe fait, et ce fut par cet artiste seul que Alexandre lui-même jugé bon qu'il devrait être modélisée. ² Pour ces particularités que beaucoup de ses successeurs et amis suite essayé d'imiter , à savoir, l'équilibre de la nuque, était légèrement repliée vers la gauche, et le regard de fusion de ses yeux, cet artiste a observé avec précision. ³ Apelle, cependant, en lui peignant comme porteur de la foudre, ne pas reproduire son teint, mais fait trop sombre et basané. Alors qu'il était d'une couleur juste, comme ils disent, et son équité passé dans ruddiness sur sa poitrine en particulier, et dans son visage. ⁴ En outre, cette odeur très agréable exhalait de sa peau et qu'il y avait un parfum sur sa bouche et tous les sa chair, de sorte que ses vêtements ont été remplis avec elle, ce que nous avons lu dans les Mémoires d'Aristoxène .

Historien grecArrien (. Xénophon 'Lucius Flavius ​​Arrien c 86-160) décrit Alexandre comme:

[T] il fort, beau commandant avec un oeil sombre comme la nuit et un bleu comme le ciel.

Le semi-légendaire Alexander Romancesuggère également que Alexander souffrait deHétérochromie: que d'un œil était sombre et l'autre lumière.

Historien britanniquePeter Green a fourni une description de l'apparition d'Alexandre, sur la base de son examen des statues et des documents anciens:

Physiquement, Alexander était pas avenante. Même selon les normes macédoniens il était très court, trapu et si difficile. Sa barbe était maigre, et il se détachait sur ​​ses barons macédoniens hirsutes en allant rasé. Son cou était tordu en quelque sorte, de sorte qu'il est apparu à être regardant vers le haut à un angle. Ses yeux (un bleu, un brun) ont révélé une rosée, qualité féminine. Il avait une haute teint et une voix rauque.

Les auteurs anciens enregistrés qu'Alexandre était si heureux de portraits de lui-même créé par Lysippe qu'il interdisait autres sculpteurs de l'artisanat son image. Lysippe avait souvent utilisé le régime sculpturale Contrapposto de dépeindre Alexander et d'autres personnages tels que Apoxyomenos, Hermès et Eros. Lysippe de la sculpture, célèbre pour son naturalisme, par opposition à une pose plus rigide, plus statique, est pensé pour être la représentation la plus fidèle.

Personnalité

Alexander (à gauche) lutte contre un lion asiatique avec son ami Cratère (détail). 3ème siècle avant JC mosaïque , Musée Pella.

Certains des plus forts traits de personnalité d'Alexandre formé en réponse à ses parents. Sa mère a eu d'énormes ambitions, et l'a encouragé à croire qu'il était son destin pour conquérir l'empire perse. L'influence de Olympias instillé un sentiment de destin en lui, et Plutarque nous dit que son ambition "a gardé son esprit sérieux et noble à l'avance de ses années". Cependant, son père Philippe était modèle le plus immédiat et le plus influent d'Alexandre, comme le jeune Alexander a regardé campagne lui pratiquement chaque année, remportant la victoire après victoire, tout en ignorant les blessures graves. La relation avec son père Alexander forgé le côté compétitif de sa personnalité; il avait un besoin de savoir-faire de son père, illustré par son comportement irresponsable dans la bataille. Tandis qu'Alexandre craint que son père lui laisserait «aucune grande ou brillante réalisation qui sera affiché sur le monde", il a également minimisé les réalisations de son père à ses compagnons.

Selon Plutarque, parmi les traits d'Alexandre étaient un tempérament violent et une éruption cutanée, nature impulsive, qui a sans doute contribué à certaines de ses décisions. Bien Alexander était têtu et ne répondent pas bien aux ordres de son père, qu'il était ouvert à un débat raisonné. Il avait side-perceptive, logique et le calcul d'une plus calme. Il avait un grand désir de connaissance, un amour pour la philosophie, et était un lecteur avide. Ce fut sans doute en partie à cause de la tutelle d'Aristote; Alexander était intelligent et rapide à apprendre. Son côté intelligente et rationnelle a été amplement démontré par sa capacité et le succès en tant que général. Il avait une grande maîtrise de soi dans les «plaisirs du corps", en contraste avec son manque de maîtrise de soi avec de l'alcool.

Alexander était érudit et patronné deux arts et des sciences. Cependant, il avait peu d'intérêt pour le sport ou les jeux olympiques (à la différence de son père), cherchant seulement les homériques idéaux d'honneur ( temps ) et de la gloire ( félicitations ). Il avait une grande charisme et la force de la personnalité, des caractéristiques qui lui ont fait un grand leader. Ses capacités uniques ont en outre été mis en évidence par l'incapacité d'un de ses généraux à unir la Macédoine et de conserver l'empire après sa mort - que Alexander avait la capacité de le faire.

Au cours de ses dernières années, et surtout après la mort de Hephaestion, Alexander a commencé à montrer des signes de mégalomanie et la paranoïa. Ses réalisations extraordinaires, couplé avec son propre sens ineffable du destin et de la flatterie de ses compagnons, ont peut-être combinés pour produire cet effet. Son illusions de grandeur sont facilement visibles dans son témoignage et dans son désir de conquérir le monde.

Il semble s'être cru une divinité, ou au moins cherché à se diviniser. Olympias a toujours insisté pour lui qu'il était le fils de Zeus, une théorie apparemment lui a confirmé par l'oracle d'Amon à Siwa. Il a commencé à se identifier comme le fils de Zeus Ammon. Alexander a adopté des éléments de costume et les coutumes Persique à la cour, notamment proskynesis , une pratique que les Macédoniens ont désapprouvé, et étaient réticents à effectuer. Ce comportement lui a coûté la sympathie de beaucoup de ses compatriotes. Cependant, Alexander était également un dirigeant pragmatique qui a compris les difficultés de gouverner les peuples culturellement disparates, dont beaucoup vivaient dans des royaumes où le roi était divin. Ainsi, plutôt que de la mégalomanie, son comportement peut simplement avoir été une tentative pratique à renforcer sa domination et de garder son empire ensemble.

Les relations personnelles

Une peinture murale à Pompéi, représentant le mariage d'Alexandre à Barsine (Stateira) en 324 av. Le couple est apparemment habillé comme Arès et Aphrodite.

La relation personnelle central de la vie d'Alexandre était avec son ami, le général, et garde du corps Hephaestion, le fils d'un noble macédonien. La mort de Hephaestion dévasté Alexander. Cet événement peut avoir contribué à la santé défaillante de Alexander et détaché état ​​mental au cours de ses derniers mois.

Alexander marié deux fois: Roxana, fille du seigneur de Bactriane Oxyartès, par amour; et Stateira II, une princesse perse et fille de Darius III de la Perse, pour des raisons politiques. Il a apparemment eu deux fils, Alexandre IV de Macédoine de Roxana et, éventuellement, Héraclès de Macédoine de sa maîtresse Barsine. Il a perdu un autre enfant quand Roxana fausse couche à Babylone.

La sexualité d'Alexandre a été l'objet de spéculations et de controverses. Aucun sources antiques déclaré que Alexandre avait des relations homosexuelles, ou que la relation avec Alexander Hephaestion était sexuelle. Elien, cependant, écrit de la visite d'Alexandre à Troy où "Alexander enguirlandé le tombeau d'Achille et Hephaestion celui de Patrocle, ce dernier remuage qu'il était un bien-aimée d'Alexandre, exactement de la même manière que Patrocle était d'Achille ". Notant que le mot éromène (grec ancien bien-aimée) ne porte pas nécessairement sens sexuel, Alexander a pu être bisexuelle, qui en son temps n'a pas été controversée.

Vert fait valoir qu'il ya peu de preuves dans les sources antiques qu'Alexandre avait beaucoup d'intérêt charnel chez les femmes; il n'a pas de produire un héritier jusqu'à la fin de sa vie. Cependant, il était relativement jeune quand il est mort, et Ogden suggère que le dossier matrimonial de Alexander est plus impressionnant que son père au même âge. Outre épouses, Alexandre avait beaucoup plus de compagnes. Alexander a accumulé un harem dans le style des rois perses, mais il l'a utilisé parcimonieusement; montrant une grande maîtrise de soi dans "plaisirs du corps". Néanmoins, Plutarque décrit comment Alexander a été entiché par Roxana tout en le complimentant sur ​​pas se forçant sur ​​elle. Vert a suggéré que, dans le contexte de l'époque, Alexander formé assez solides amitiés avec des femmes, y compris Ada de Caria, qui l'a adopté, et même la mère de Darius Sisygambis, qui soi-disant mort de chagrin en apprenant la mort d'Alexandre.

Héritage

La vision du monde hellénistique après Alexandre:ancienne carte du monde d'Eratosthène (276-194 avant JC), intégrant les informations des campagnes d'Alexandre et de ses successeurs.

L'héritage d'Alexandre prolongée au-delà de ses conquêtes militaires. Ses campagnes grandement augmenté les contacts et les échanges entre les vastes régions de l'Est et de l'Ouest, et à l'est ont été significativement exposés à la civilisation grecque et l'influence. Certaines des villes qu'il a fondé est devenu grands centres culturels, de nombreux survivants dans le 21ème siècle. Ses chroniqueurs enregistrées des informations précieuses sur les domaines à travers lesquels il marcha, tandis que les Grecs eux-mêmes eu un sentiment d'appartenance à un monde au-delà de la Méditerranée.

Royaumes hellénistiques

L'héritage le plus immédiat d'Alexandre a été l'introduction de la règle macédonienne à d'énormes nouveaux pans de l'Asie. Au moment de sa mort, l'empire d'Alexandre couvrait environ 5.200.000 km ² (2.000.000 milles carrés), et a été le plus grand état ​​de son temps. Beaucoup de ces zones est resté dans les mains macédoniens ou sous l'influence grecque pour les prochaines années 200-300. Le Etats successeurs qui ont émergé étaient, au moins au début, les forces dominantes, et ces 300 ans sont souvent désignés comme la période hellénistique.

Plan d'Alexandrie dans l'antiquité

Les frontières orientales de l'empire d'Alexandre commençait à chuter, même pendant sa vie. Cependant, le vide du pouvoir il a laissé dans le nord-ouest du sous-continent indien a été directement donné lieu à l'une des dynasties indiennes les plus puissants de l'histoire. Profitant de cela, Chandragupta Maurya (appelé dans les sources grecques comme "Sandrokottos"), relativement humble origine, a pris le contrôle du Pendjab, et avec cette base de pouvoir a procédé à la conquête de l' Empire Nanda.

Création de villes

Au cours de ses conquêtes, Alexander fondée quelques vingt villes qui portaient son nom, la plupart d'entre eux est du Tigre . La première, et la plus grande, était d'Alexandrie en Egypte, qui allait devenir l'une des principales villes de la Méditerranée. Les villes des endroits «reflètent routes commerciales ainsi que des positions défensives. Au début, les villes doivent avoir été inhospitalière, un peu plus de garnisons défensives. Après la mort d'Alexandre, de nombreux Grecs qui y étaient installés ont essayé de retourner en Grèce. Cependant, un siècle ou deux après la mort d'Alexandre, un grand nombre des Alexandrias étaient en plein essor, avec des bâtiments publics complexes et importantes populations qui comprenaient les peuples grecs et locaux.

Hellénisation

L'empire d'Alexandre était le plus grand état ​​de son temps, couvrant environ 5,2 millions de kilomètres carrés.

Hellénisation a été inventé par l'historien allemand Johann Gustav Droysen pour désigner la propagation de la langue grecque, de la culture, et de la population dans l'ancien empire perse après la conquête d'Alexandre. Que cette exportation a eu lieu est incontestable, et peut être vu dans les grandes villes hellénistiques, par exemple, d'Alexandrie , d'Antioche et de Séleucie (sud de moderne Bagdad ). Alexander a cherché à insérer des éléments grecs dans la culture persane et a tenté d'hybrider la culture grecque et perse. Cela a abouti à son aspiration à homogénéiser les populations de l'Asie et de l'Europe. Cependant, ses successeurs ont explicitement rejeté ces politiques. Néanmoins, l'hellénisation eu lieu dans toute la région, accompagné d'un «orientalisation» distinct et opposé des États successeurs.

Le noyau de la culture hellénistique était essentiellement athénienne . L'association étroite des hommes de partout Grèce dans l'armée d'Alexandre a conduit directement à l'émergence de la grande partie Grenier-base " dialecte grec «commun» koine ", ou. Koine répandu dans le monde hellénistique, devenant la lingua franca de terres hellénistiques et, éventuellement, l'ancêtre du grec moderne. En outre, l'urbanisme, l'éducation, le gouvernement local, et le courant de l'art à l'époque hellénistique étaient tous basés sur des idéaux de la Grèce classique, l'évolution vers de nouvelles formes distinctes couramment regroupés comme hellénistique. Aspects de la culture hellénistique étaient encore évidentes dans les traditions de l'Empire byzantin dans le milieu du 15e siècle.

Le Bouddha , en Style gréco-bouddhique, 1er-2ème siècle après JC,Gandhara (Pakistan moderne).Musée national de Tokyo.

Certains des effets les plus insolites de l'hellénisation peut être vu en Inde, dans la région des relativement tardive découlant royaumes indo-grecs. Là, isolé de l'Europe, la culture grecque apparemment hybride avec indiennes, et surtout bouddhistes influences,. Les premières représentations réalistes de la Bouddha sont apparus à cette époque; ils ont été modélisés sur des statues grecques d' Apollo . Plusieurs traditions bouddhistes peuvent avoir été influencés par la religion grecque antique: le concept de Boddhisatvas rappelle héros grecs divines, et certaines Mahayana pratiques cérémonielles (brûler de l'encens, des cadeaux de fleurs, et de la nourriture placée sur les autels) sont similaires à ceux pratiqués par l'ancienne Grecs. bouddhisme Zen inspire en partie sur les idées de grecs stoïciens , comme Zénon. Un roi grec, Ménandre I, est probablement devenu bouddhiste, et a été immortalisé dans la littérature bouddhique comme «Milinda». Le processus d'hellénisation étendu aux sciences, où les idées de l'astronomie grecque filtrés vers l'est et ont profondément influencé l'astronomie indienne par les premiers siècles de notre ère. Par exemple, les instruments astronomiques grecs datant du 3ème siècle avant JC ont été trouvés dans la ville gréco-bactrien d' Aï Khanoum dans le jour moderne l'Afghanistan alors que le concept grec d'une terre sphérique entouré par les sphères des planètes a été adopté en Inde et finalement supplanté le depuis longtemps la croyance cosmologique indienne d'une terre plate et circulaire. Le Yavanajataka et Paulisa siddhanta textes en particulier montrent l'influence grecque.

Influence sur Rome

Alexandre et ses exploits ont été admirés par de nombreux Romains, en particulier les généraux, qui voulaient se associer à ses réalisations. Polybe a commencé ses Histoires en rappelant Romains des réalisations d'Alexandre, et par la suite les dirigeants romains voyaient en lui un modèle de rôle. Pompée le Grand adopté l'épithète "Magnus" et même de type anatole coupe de cheveux d'Alexandre, et fouillé les terres conquises de l'est pour les 260 ans manteau d'Alexandre, dont il portait alors comme un signe de grandeur. Jules César a consacré une Lysippean équestre statue de bronze, mais remplacé la tête de Alexander avec la sienne, tout en Octavian a visité le tombeau d'Alexandre à Alexandrie et temporairement changé son sceau d'un sphinx au profil d'Alexandre. L'empereur Trajan aussi admiré Alexander, ainsi que Nero et Caracalla. Le Macriani, une famille romaine que dans la personne de Macrinus brièvement monté sur le trône impérial, gardé images de Alexander sur leurs personnes, soit sur ​​les bijoux, ou brodé dans leurs vêtements.

Le Greco-Bactrian roiDémétrius (régna c. 200-180 BC), vêtu d'un cuir chevelu de l'éléphant, a repris l'héritage d'Alexandre à l'est par envahir à nouveaul'Inde, et l'établissement duroyaume indo-grec (180 BC-10 AD).

D'autre part, certains auteurs romains, en particulier les figures républicaines, utilisés Alexandre comme un récit édifiant de la façon autocratique tendances peuvent être tenus en échec par les valeurs républicaines. Alexander a été utilisé par ces auteurs comme un exemple de valeurs de la règle comme amicita (l'amitié) et clementia (clémence), mais aussi iracundia (colère) et cupiditas gloriae (sur désir de la gloire).

Légende

Récits légendaires entourent la vie d'Alexandre le Grand, beaucoup découlant de sa propre vie, sans doute encouragé par Alexandre lui-même. Son historien de la cour Callisthène dépeint la mer en Cilicie reculant de lui dans proskynesis. Rédaction peu de temps après la mort d'Alexandre, un autre participant, Onesicritus, a inventé un rendez-vous entre Alexandre et Thalestris, reine des mythiques Amazones. Lorsque Onesicritus lu ce passage à son patron, Alexandre général et plus tard le roi Lysimaque aurait plaisanté, "je me demande où je me trouvais à l'époque."

Dans les premiers siècles après la mort d'Alexandre, probablement à Alexandrie, une quantité de la matière légendaire fusionné dans un texte connu sous le Roman d'Alexandre , plus tard, faussement attribué à Callisthène et donc connu comme Pseudo-Callisthène . Ce texte a subi de nombreuses extensions et révisions dans toute l'Antiquité et le Moyen Age , contenant de nombreuses histoires douteuses, et a été traduit dans de nombreuses langues.

Dans la culture ancienne et moderne

Alexandre le Grand représenté dans un manuscrit byzantin du 14ème siècle

Les réalisations d'Alexandre le Grand et de l'héritage ont été représentés dans de nombreuses cultures. Alexander a figuré dans la culture à la fois forte et populaire à partir de son époque à nos jours. Le Roman d'Alexandre , en particulier, a eu un impact significatif sur les portraits d'Alexandre dans les cultures ultérieures, du persan à l'Europe médiévale au grec moderne.

Alexander figure en bonne place dans le folklore grec moderne, plus que toute autre figure antique. La forme familière de son nom en grec moderne ("O Megalexandros") est un nom de ménage, et il est le seul ancien héros à apparaître dans le jeu d'ombre Karagiozis. Une fable bien connue des marins grecs implique un solitaire sirène qui serait saisir la proue d'un navire lors d'une tempête et demander au capitaine »est roi Alexandre vivant?". La bonne réponse est "Il est bien vivant et gouverne le monde!", Provoquant la sirène à disparaître et la mer de se calmer. Toute autre réponse serait provoquer la sirène se transformer en une rage Gorgon qui glisser le navire au fond de la mer, à bord de toutes les mains.

Post-islamiqueminiature persane représentantKhidr et Alexander regarder l'Eau de Vie revivre un poisson salé

En pré-islamique du Moyen-Persique ( la littérature zoroastrienne), Alexander est désigné par l'épithète gujastak , signifiant «anathème», et est accusé de détruire les temples et brûler les textes sacrés du zoroastrisme. Dans l'Iran islamique, sous l'influence de l' Alexander Romance (en persan: اسکندرنامه Iskandarnamah ), une image plus positive d'Alexandre émerge. de Firdausi Shahnameh ("Le Livre des Rois") comprend Alexander dans une ligne de iraniens légitimes shahs, une figure mythique qui a exploré les confins du monde à la recherche de la fontaine de Jouvence. Écrivains postérieurs persans lui associent avec la philosophie, le dépeignant lors d'un colloque avec des personnalités comme Socrate , Platon et Aristote, à la recherche de l'immortalité.

Le Version syriaque du Roman d'Alexandre le dépeint comme un conquérant du monde idéal chrétien qui priait "le seul vrai Dieu". En Egypte, Alexander a été dépeint comme le fils de Nectanebo II, le dernier pharaon avant la conquête perse. Sa défaite de Darius a été dépeint comme le salut de l'Egypte, "prouver" l'Egypte était encore gouverné par un Egyptien.

Le chiffre de Dhul-Qarnayn (littéralement «l'Un à deux cornes») mentionné dans le Coran est considéré par certains chercheurs pour représenter Alexander, en raison de parallèles avec le Roman d'Alexandre . Dans cette tradition, il était une figure héroïque qui a construit un mur pour se défendre contre les nations de Gog et Magog. Il a ensuite parcouru le monde connu à la recherche de l'eau de la vie et l'immortalité, pour finalement devenir un prophète.

En Inde et au Pakistan, plus spécifiquement le Punjab, le nom «Sikandar", dérivé du persan, désigne un jeune talent prometteur. Dans l'Europe médiévale , il a été fait membre des Neuf Preux, un groupe de héros qui encapsulés toutes les qualités idéales de la chevalerie.

Historiographie

Mis à part quelques inscriptions et des fragments, des textes écrits par des gens qui connaissaient effectivement Alexander ou qui a recueilli des informations des hommes qui ont servi avec Alexander ont tous perdu. Contemporains qui ont écrit les comptes de sa vie inclus les Callisthène historien de la campagne d'Alexandre; Les généraux d'Alexandre Ptolémée et Néarque; Aristobule, un officier subalterne sur les campagnes; et Onesicritus, barreur en chef Alexander. Leurs œuvres sont perdues, mais les travaux ultérieurs sur la base de ces sources originales ont survécu. Le premier d'entre eux est Diodore de Sicile (1er siècle avant JC), suivie par Quinte-Curce (mi et la fin de 1er siècle après JC), Arrien (premier au deuxième siècle de notre ère), le biographe Plutarque (1er-2ème siècle après JC), et enfin Justin, dont le travail daté aussi tard que le 4ème siècle. Parmi ceux-ci, Arrien est généralement considérée comme la plus fiable, étant donné qu'il a utilisé Ptolémée et Aristobule que ses sources, suivis de près par Diodore.

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