Tibet
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Tibet ( / Tɨbɛt /; Tibet: བོད་, Wylie: bod, prononcé [Pʰøʔ]; chinoise : 西藏; pinyin : Xizang) est un région du plateau de l'Asie , au nord des Himalayas . Il est le foyer de la Peuple tibétain, et à d'autres groupes ethniques tels que Monpas et Lhobas, et est habitée par un nombre considérable de Han et Hui. Le Tibet est la région la plus élevée sur la terre, avec une moyenne élévation de 4900 mètres (16 000 pieds). Il est parfois appelé le toit du monde.
Pendant L'histoire du Tibet, à partir du 7ème siècle, il a existé comme un empire unifié et comme une région des territoires autonomes distincts, États vassaux, et provinces chinoises. Dans les interrègnes, diverses sectes de Bouddhisme tibétain, nobles laïques, et les dirigeants étrangers ont rivalisé pour le pouvoir au Tibet. La dernière lutte religieuse marqué l'ascendant du Dalaï Lamas au pouvoir en ouest du Tibet au 17ème siècle, bien que son règne était souvent purement nominal avec une puissance réelle de repos dans les mains de divers régents et vice-rois. Aujourd'hui, la plupart du Tibet culturelle est statué que régions autonomes dans les République populaire de Chine .
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  | Région autonome du Tibet au sein de la République populaire de Chine | ||||||||
  | "Grand Tibet"; Tibet comme revendiqué par des groupes d'exilés tibétains | ||||||||
 | Régions tibétaines que désignés par la République populaire de Chine | ||||||||
| | Zones sous contrôle chinois réclamés par l'Inde dans le cadre de Aksai Chin | ||||||||
| | Zones sous contrôle indien revendiquées par la Chine dans le cadre du Tibet | ||||||||
 | Autres zones historiquement dans la sphère culturelle tibétaine | ||||||||
L'économie du Tibet est dominé par l'agriculture de subsistance, mais le tourisme est devenu une industrie en croissance au Tibet au cours des dernières décennies. La religion dominante au Tibet est Bouddhisme tibétain, mais il ya Minorités musulmanes et chrétiennes. Bouddhisme tibétain est une influence primordiale sur la art, musique, et festivals de la région. Architecture tibétaine reflète Chinois et Influences indiennes. Les aliments de base au Tibet sont torréfiés orge , yak viande, et thé au beurre.
Noms
Les noms et les définitions de "Tibet" constituent linguistiquement et politiquement langue chargée.
Le Tibétain endonyme, (nom du Tibet pour le peuple du Tibet), Bod བོད་ signifie "Tibet" ou " Plateau tibétain ", même si cela signifiait à l'origine la région centrale" Ü-Tsang ". La prononciation standard de Bod, [Pʰø˨ʔ], est transcrit P oi g (BHO ou Po THDL) dans Pinyin tibétain. Certains chercheurs croient que la première référence écrite à la DBO "Tibet" était l'ancien peuple "Bautai" enregistrées dans le (ca. 1er siècle) Le Périple de la mer Érythrée et (ca. 2ème siècle) Geographia.
Les deux Mandarin standard exonymes pour "Tibet" sont Tǔbō classique土蕃ou Tǔfān 吐蕃et Xizang moderne 西藏 (qui spécifie maintenant " Région autonome du Tibet "). Tubo ou Tufan" ancien nom pour le Tibet "était premier transcrit en caractères chinois que 土番 dans le 7ème siècle ( Li Tai) et comme 吐蕃 dans le 10ème siècle ( Livre de Tang décrivant 608-609 émissaires du roi tibétain Namri Songtsen à Empereur Yang de Sui). Dans le Moyen chinois parlé pendant cette période, Tǔbō ou Tǔfān sont reconstruits (par Bernhard Karlgren) que T'uopuâ et T'uop'i̭wɐn. Xizang西藏a été inventé pendant la dynastie des Qing période du Jiaqing (r. 1796-1820). Les République populaire de Chine gouvernement équivaut Xizang avec le Xizang Zizhiqu西藏自治区"Région autonome du Tibet".
L' Anglais terme Tibet ou Tibet remonte au 18ème siècle. Tandis que linguistes historiques conviennent généralement que les noms «Tibet» dans les langues européennes sont emprunts de l'arabe طيبة, توبات Tibat ou Tobatt, ils sont en désaccord sur l'original étymologie. Plusieurs sources proposent tibétaine Stod-bod (prononcé à bhot) "Upper Tibet", certains suggèrent Turque Töbäd "The Heights" (pluriel de Toban), et quelques-uns faveur Tǔbō chinois ou Tǔfān. Quelle que soit l'origine exacte du mot, selon Alexandra David-Néel les Tibétains ne l'utilisez pas. "Ils appellent leur pays Böd yul et eux-mêmes pas DBO."
Langue
Le Langue tibétaine est généralement classé comme un Langue tibéto-birmane du Famille des langues sino-tibétaine, bien que les frontières entre «tibétain» et certaines autres Himalaya langues peut être floue. Selon Matthew Kapstein:
Du point de vue de la linguistique historique, tibétaine ressemble le plus Birmans parmi les principales langues de l'Asie. Le regroupement de ces deux ensemble avec d'autres langues, apparemment liés parlées dans les Himalaya terres, ainsi que dans les hautes terres de Asie du Sud et les régions frontalières sino-tibétaines, les linguistes ont généralement conclu qu'il existe une famille tibéto-birmane des langues. Plus controversée est la théorie que la famille tibéto-birmane est lui-même partie d'une famille de langue plus grand, appelé Sino-tibétaine, et que par elle tibétain et le birman sont cousins éloignés de Chinois.
La langue est parlée dans de nombreux dialectes régionaux qui, bien que parfois mutuellement intelligibles, ne peuvent généralement pas être compris par les locuteurs des différentes formes orales de tibétaine. Il est employé tout au long du plateau tibétain et le Bhoutan et est également parlé dans certaines régions du Népal et du nord de l'Inde, comme le Sikkim . En général, les dialectes du Tibet central (y compris Lhassa), Kham, Amdo et quelques zones voisines plus petites sont considérés dialectes tibétains. D'autres formes, en particulier Dzongkha, Sikkim, Sherpa, et Ladakhi, sont considérés par leurs haut-parleurs, en grande partie pour des raisons politiques, comme des langues distinctes. Toutefois, si le dernier groupe de langues tibétaine type sont inclus dans le calcul puis «plus tibétaine» est parlé par environ 6 millions de personnes à travers le Plateau tibétain. Tibétaine est également parlé par environ 150 000 locuteurs en exil qui ont fui le Tibet d'aujourd'hui à l'Inde et d'autres pays.
Bien parlée tibétain varie en fonction de la région, la langue écrite, sur la base Classique tibétaine, est cohérente dans l'ensemble. Cela est probablement dû à l'influence debout long de l'empire tibétain, dont la règle embrassé (et étendu parfois bien au-delà) de la zone linguistique tibétaine actuelle, qui se étend du nord du Pakistan à l'ouest à Yunnan et Sichuan dans l'est, et du nord de Lac Qinghai sud jusqu'à Bhoutan. La langue tibétaine a son propre script qu'elle partage avec Ladakhi et Dzongkha, et qui est dérivé de l'Inde antique Script de Brahmi.
Histoire
L'histoire générale du Tibet commence avec la règle de Songtsen Gampo (604-650 CE) qui a uni parties du Yarlung River Valley et a fondé l'empire tibétain. Il a également apporté de nombreuses réformes et la puissance tibétaine réparties créer rapidement un grand et puissant empire. En 640, il épousa La princesse Wencheng, la nièce du puissant empereur chinois Taizong des Tang en Chine.
Dans les prochains rois tibétains, le bouddhisme se est établie en tant que religion de l'Etat et de la puissance tibétaine encore augmenté sur de larges zones de l'Asie centrale, tandis que des percées importantes ont été faites en territoire chinois, atteignant même le Tang la capitale ' Chang'an (moderne Xi'an) à la fin de 763. Toutefois, l'occupation du Tibet de Chang'an n'a duré que quinze jours, après quoi ils ont été défaits par Tang et son allié, le turc Khanat ouïghour.
Le Royaume de Nanzhao (en Yunnan et les régions voisines) sont restés sous contrôle tibétain 750-794, quand ils ont allumé leurs suzerains tibétains et ont aidé les Chinois infliger une défaite sérieuse sur les Tibétains.
En 747, la cale du Tibet a été assouplie par la campagne du général Gao Xianzhi, qui a essayé de rouvrir les communications directes entre Asie centrale et du Cachemire . En 750 les Tibétains avaient perdu presque toutes leurs possessions d'Asie centrale aux chinois . Cependant, après la défaite de Gao Xianzhi par le Arabes et Au Qarluqs Bataille de Talas (751), l'influence chinoise a diminué rapidement et influence tibétaine repris. En 821/822 CE Tibet et la Chine ont signé un traité de paix. Un compte bilingue de ce traité, y compris des détails sur les frontières entre les deux pays, est inscrit sur un pilier de pierre qui se trouve en dehors de la Temple de Jokhang à Lhassa. Tibet a continué comme un empire de l'Asie centrale jusqu'à la mi-9ème siècle.
13e, 14e et 15e siècles
Prince mongol Khuden conquis le Tibet dans les années 1240 et a fait le Sakya Pandita le vice-roi de la Mongolie pour le Tibet central, bien que les provinces orientales du Kham et de l'Amdo sont restés sous la domination directe mongole. Lorsque Kublai Khan fonda la dynastie des Yuan en 1271, le Tibet est devenu une partie de celui-ci.
Entre 1346 et 1354, Changchub Gyaltsen a renversé le Sakya et fonda la Dynastie Phagmodrupa. Les 80 années suivantes ont vu la création de la L'école Gelugpa (également connu sous le nom jaunes chapeaux) par les disciples de Tsongkhapa Lobsang Dragpa, et la fondation de l'importante Ganden, Drepung, et Sera monastères près de Lhassa.
16e et 17e siècles
En 1578, Altan Khan de la Tumed Mongols donné Sonam Gyatso, un lama élevé de l'école Gelugpa, le nom Dalaï Lama; Dalaï étant la traduction mongole du nom tibétain Gyatso, ou "Océan".
Les premiers Européens à arriver au Tibet étaient les Missionnaires portugais Antonio de Andrade et Manuel Marques en 1624. Ils ont été accueillis par le roi et la reine de Guge, et ont été autorisés à construire une église et d'introduire la foi chrétienne. Le roi de Guge se empressa d'accepter le christianisme comme une influence religieuse de compensation pour diluer la florissante Gelugpa et pour contrebalancer ses rivaux potentiels et de consolider sa position. Tous les missionnaires ont été expulsés en 1745.
Dans les années 1630, le Tibet se est empêtré dans des luttes de pouvoir entre le lever Manchu et divers mongole et Oïrat factions. Güshi Khan de la Khoshud est devenu le seigneur sur le Tibet, et a agi comme un «protecteur de l'Église Jaune". Gushi aidé le cinquième Dalaï Lama se établir comme l'autorité spirituelle et politique le plus élevé au Tibet et détruit des rivaux potentiels.
18ème siècle
La dynastie des Qing vente Amdo sous leur contrôle en 1724, et incorporé orientale Kham dans des provinces chinoises voisines en 1728. Le gouvernement Qing envoyé un commissaire résident, appelé Amban, à Lhassa. En 1751, L'empereur Qianlong installé le Dalaï Lama à la fois le chef spirituel et leader politique du Tibet leader du gouvernement, à savoir Kashag.
Le 18e siècle a vu un certain contact avec Jésuites et Capucins de l'Europe, et en 1774 un noble écossais, George Bogle, est venu à Shigatse à enquêter sur le commerce de la British East India Company .
19ème siècle
Cependant, par le 19ème siècle, la situation des étrangers au Tibet a augmenté plus ténu. L' Empire britannique empiétait du nord de l'Inde dans les Himalayas , le Emirate of Afghanistan et l' Empire russe ont été en expansion dans Asie centrale et chaque puissance à se méfier des intentions des autres au Tibet. Sándor Kőrösi Csoma, un scientifique hongrois, a passé 20 ans dans l'Inde britannique (4 années dans Ladakh) essayant de se rendre au Tibet. Il a créé le premier dictionnaire tibétain-anglais.
En 1865, les britanniques ont commencé secrètement cartographie Tibet.
Début du 20e siècle
En 1904, un Expédition britannique au Tibet sous le commandement du colonel Francis Younghusband, accompagné d'une importante escorte militaire, a envahi le Tibet et a atteint Lhassa. Les Britanniques ont été stimulés en partie par la crainte que la Russie étend son pouvoir au Tibet, et en partie par l'espoir que les négociations avec le 13e Dalaï Lama serait plus efficace que des représentants chinois. Mais sur son chemin à Lhassa, Younghusband abattu beaucoup de troupes tibétaines Gyangze qui ont essayé d'arrêter l'avance britannique. Lorsque la mission est parvenue à Lhassa, Younghusband imposé un traité qui a été ultérieurement rejetée, et a été remplacé par un traité signé entre 1906 la Grande-Bretagne et la Chine.
En 1910, le gouvernement des Qing envoya une expédition militaire propre à établir la domination chinoise directe et déposé le Dalaï Lama dans un édit impérial, qui ont fui vers l'Inde britannique. Après le Révolution Xinhai renversé la dynastie Qing, la nouvelle République de Chine a présenté ses excuses pour les actions de la Qing et lui a offert son poste précédent. Il a refusé et se est déclaré souverain d'un indépendant théocratie absolutiste au Tibet en collusion avec Théocratique Mongolie. Pour les trente-six prochaines années, le 13e Dalaï Lama régi ce territoire alors que la Chine a enduré son Ère Warlord, la guerre civile, et la Seconde Guerre mondiale . Pendant ce temps, il essayé de capturer Xikang et Qinghai (ou l'tibétains de provinces Kham et Amdo), qui étaient encore détenues par la Chine, mais a échoué. La dynastie des Qing a été renversé par la Révolution Xinhai et à la fin de 1912, les dernières troupes Qing ont été escortés hors du Tibet. Cependant, aucun Etat indépendant a reconnu l'état du Dalaï Lama comme un pays indépendant.
Fin du 20e siècle
Émergents avec un contrôle sur la plupart des Chine continentale après la Guerre civile chinoise, le Armée populaire de Libération confronté l'armée du Dalaï Lama au Qamdo en 1950 et a négocié le Dix-sept Accord de point avec le nouvellement couronné 14e Dalaï Lama 's gouvernement, affirmant les République populaire de Chine », mais la souveraineté de l'octroi de l'autonomie de la zone. Après que le gouvernement dalaï-lama se enfuit en Dharamsala, en Inde au cours de la 1959 rébellion tibétaine, il a dénoncé l'accord Seventeen Point. Le Le gouvernement du populaire central a également renoncé à l'accord et a commencé la mise en œuvre des réformes sociales et politiques se arrêtèrent. Cette progression est interrompue tant que Révolution culturelle a vu des changements radicaux dans la gouvernance et la destruction de la Quatre Olds dans la quasi-totalité de la Chine continentale, y compris au Tibet, jusqu'à ce que la faction qui a conduit la Révolution a été évincé du pouvoir. En 1980, le Secrétaire général et réformiste Hu Yaobang a visité le Tibet, et a inauguré une période de libéralisation sociale, politique et économique. Gratuit pratique de la religion a été accueilli, monastères ont été reconstruits, et le gouvernement a cessé de brouillage étrangère Tibétains émissions de radio de langue. À la fin de la décennie, mais de manière analogue aux manifestations de la place Tiananmen de 1989 , les moines dans le Drepung et Monastères Sera ont commencé à protester pour l'indépendance, et pour que le gouvernement se arrêtèrent réformes et ont commencé un anti- campagne séparatiste. Certaines organisations des droits humains ont critiqué l'approche du gouvernement chinois et tibétain droits de l'homme au Tibet lors sévir contre le séparatisme.
Géographie
Traditionnellement, les sources (européens et américains) occidentaux ont considéré le Tibet comme étant en Asie centrale, si les cartes d'aujourd'hui montrent une tendance à considérer toute la Chine moderne, y compris au Tibet, de faire partie de Asie De L'Est. Le Tibet est à l'ouest du Chine centrale plaine, et au sein de la Chine , le Tibet est considéré comme partie de西部(Xibu), un terme généralement traduit par les médias chinois comme «la partie Ouest", qui signifie " Ouest de la Chine ".
Tibet possède certaines des plus hautes montagnes du monde, avec plusieurs d'entre eux faisant la liste des dix premiers. mont Everest , à 8848 mètres (29 029 pieds), est le haute montagne sur terre, situé à la frontière avec le Népal . Plusieurs grands fleuves prennent leur source dans le plateau tibétain (surtout dans l'actuelle province du Qinghai). Il se agit notamment du Yangtsé , du fleuve Jaune , l'Indus , du Mékong , du Gange , Salween et de la Yarlung Zangbo ( Brahmapoutre ). Le Yarlung Zangbo Grand Canyon, le long de la Yarlung Zangbo, est parmi les canyons les plus profonds et les plus longues du monde.
Les rivières Indus et du Brahmapoutre proviennent d'un lac (Tib: Tso Mapham) dans l'ouest du Tibet, près de Mont Kailash. La montagne est un lieu de pèlerinage saint à la fois Hindous et Tibétains. Les hindous considèrent la montagne comme la demeure du Seigneur Shiva. Le nom tibétain pour Mt. Kailash est Khang Rinpoché. Tibet a de nombreux lacs d'altitude visés en tibétain tso ou co. Il se agit notamment Lac Qinghai, Lac Manasarovar, Namtso, Pangong Tso, Yamdrok Lake, Siling Co, Lhamo La-tso, Lumajangdong Co, Lac Puma Yumco, Lac Paiku, Lac Rakshastal, Co et Dagze Dong Co. Le lac Qinghai (Koko Nor) est le plus grand lac de la République populaire de Chine.
L'atmosphère est très sèche neuf mois de l'année, et chutes de neige moyenne annuelle est de seulement 18 pouces, en raison de la effet d'ombre de pluie. Passes occidentaux reçoivent de petites quantités de neige fraîche chaque année mais restent traversable toute l'année. Les basses températures sont répandus dans ces régions de l'Ouest, où la désolation sombre ne est pas soulagée par la végétation au-delà de la taille de buissons bas, et où le vent balaie pas cochée à travers de vastes étendues de plaine aride. L'Indien mousson exerce une certaine influence sur l'est du Tibet. Tibet du Nord est soumise à des températures élevées en été et froid intense en hiver.
Tibet culturel se compose de plusieurs régions. Il se agit notamment Amdo (ODM) dans le nord-est, qui est administrativement partie des provinces de Qinghai, Gansu et Sichuan. Kham (Kham) dans le sud-est réparti entre l'ouest du Sichuan, dans le nord Yunnan, dans le sud du Qinghai et la partie orientale de la Région autonome du Tibet. Ü-Tsang (DBus gTsang) (Ü dans le centre, Tsang dans le centre-ouest, et de Ngari (RIS mNga ') à l'extrême ouest) ont couvert la partie centrale et occidentale de la Région autonome du Tibet.
Influences culturelles tibétaines se étendent aux Etats voisins du Bhoutan , le Népal , les régions de l'Inde telles que Sikkim , Ladakh, Lahaul et Spiti, en plus de zones autonomes tibétaines désignées dans les provinces adjacentes.
Villes et villages
Il ya plus de 800 établissements au Tibet. Lhasa est capitale traditionnelle du Tibet et de la capitale de la Région autonome du Tibet. Il contient deux sites du patrimoine mondial - la Palais du Potala et Norbulingka, qui étaient les résidences du Dalaï Lama . Lhassa contient un certain nombre de temples et de monastères importants, y compris Jokhang et Temple Ramoché.
Shigatse est la deuxième plus grande ville du Tibet AR, à l'ouest de Lhassa. Gyantse et Qamdo sont également parmi les plus importants.
Autres villes au Tibet culturelle comprennent Nagchu, Nyingchi, Nedong, Barkam, Sakya, Gartse, Pelbar, Lhatse, et Tingri; dans le Sichuan, Kangding (Dartsedo); dans le Qinghai, Jyekundo ou Yushu, Machen, et Golmud. Il ya aussi une grande colonie tibétaine en Inde du Sud près de Kushalanagara. L'Inde a créé ce règlement pour les réfugiés tibétains qui avaient fui vers l'Inde.
Économie
L'économie tibétaine est dominé par l'agriculture de subsistance. En raison de terres arables limitées, l'occupation principale du plateau tibétain est l'élevage du bétail, comme des moutons , bovins , chèvres , chameaux , yacks , dzo, et les chevaux . Les principales cultures sont l'orge , le blé , sarrasin, seigle, les pommes de terre , les fruits et légumes variés. Tibet est classé le plus bas parmi les 31 provinces de la Chine sur l'Indice de développement humain selon les données du Programme des Nations Unies pour le développement. Au cours des dernières années, en raison de l'intérêt accru dans le bouddhisme tibétain, le tourisme est devenu un secteur de plus en plus importante, et est activement promu par les autorités. Tourisme apporte le plus de revenus provenant de la vente de l'artisanat. Il se agit notamment des chapeaux, des bijoux tibétains (argent et or), objets en bois, vêtements, couvertures, tissus, Tapis et moquettes tibétains. Le gouvernement populaire central exempte Tibet de tous impôts et fournit 90% des dépenses du gouvernement du Tibet.
Le Qingzang chemin de fer reliant la Région autonome du Tibet à La province du Qinghai a été ouvert en 2006, mais pas sans controverse.
En Janvier 2007, le gouvernement chinois a publié un rapport décrivant la découverte d'un important gisement minéral dans le cadre du Plateau tibétain. Le dépôt a une valeur estimée à 128 milliards de dollars et peut doubler les réserves chinoises de zinc, le cuivre et le plomb. Le gouvernement chinois considère cela comme un moyen d'atténuer la dépendance de la nation sur les importations de minéraux étrangers pour son économie en pleine croissance. Cependant, les critiques craignent que l'exploitation minière ces vastes ressources nuira écosystème fragile du Tibet et de saper la culture tibétaine.
Le 15 Janvier 2009, la Chine a annoncé la construction d'Tibet premier autoroute, un tronçon de 37,9 kilomètres de la route dans le sud-ouest de Lhassa. Le projet coûtera 1,55 milliards de yuans ( $ 227 millions).
De Janvier 18-20 2010, une conférence nationale sur le Tibet et les zones habitées par des Tibétains du Sichuan, du Yunnan, du Gansu et du Qinghai a eu lieu en Chine ainsi qu'un plan soutenu pour améliorer le développement des zones a été annoncé. La conférence a été suivie par le président chinois Hu Jintao, Wu Bangguo, Wen Jiabao, Jia Qinglin, Li Changchun, Xi Jinping, Li Keqiang, He Guoqiang et Zhou Yongkang signalisation de l'engagement des dirigeants chinois au développement du Tibet et les zones ethniques tibétaines. Le plan prévoit l'amélioration du revenu tibétaine rurale aux normes nationales d'ici 2020 et l'éducation gratuite pour tous les enfants tibétains rurales. La Chine a investi 310 milliards de yuans (environ 45,6 milliards de dollars) au Tibet depuis 2001. "On se attendait PIB du Tibet pour atteindre 43,7 milliards de yuans en 2009, en hausse de 170 pour cent de celle de 2000 et affichant une croissance annuelle de 12,3 pour cent au cours du dernier neuf années. "
Zone de développement
Lhassa économique et Zone de développement technologique
Le Conseil d'Etat a approuvé le Tibet Lhassa économique et la zone de développement technologique comme une zone de développement au niveau de l'Etat en 2001. Il est situé dans la banlieue ouest de Lhasa, la capitale de la Région autonome du Tibet. Il est à 50 km de l'aéroport de Gonggar, et à 2 km de la gare de Lhassa et à 2 km de la route nationale 318.
La zone a une superficie prévue de 5,46 kilomètres carrés et est divisée en deux zones. Zone A a développé une superficie de 2,51 kilomètres carrés à des fins de construction. Ce est une zone plate, et possède les conditions naturelles pour un bon drainage.
Démographie
Historiquement, la population du Tibet consistait principalement ethnique Tibétains et d'autres groupes ethniques. Selon la tradition des ancêtres d'origine du peuple tibétain, représentés par les six bandes rouges dans le drapeau tibétain, sont: la SE, Mu, Dong, Tong, Dru et Ra. D'autres groupes ethniques traditionnels avec une population importante ou avec la majorité de l'ethnie résident au Tibet (à l'exclusion zone contestée avec l'Inde) comprennent Bai, Blang, Bonan, Dongxiang, Han, Hui, Lhoba, Lisu, Miao, Mongols, Monguor (personnes Tu), Menba (Monpa), Mosuo, Nakhi, Qiang, Nu, Pumi, Salar, et Yi.
La question de la proportion de la population non-tibétaine au Tibet est politisé par des groupes d'exilés tibétains. L'un d'eux, l'Administration centrale tibétaine du Dalaï Lama, fait valoir que la République populaire de Chine a activement envahi le Tibet avec les migrants afin de modifier la composition démographique du Tibet. Les chiffres exacts dépendent de définitions de "Tibet", "Tibétains", et "chinois" différentes, bien que le recensement chinois 2000 a montré que les Tibétains de souche représentent 92,8% de la Région autonome du Tibet.
Culture
Religion
Bouddhisme tibétain
Religion est extrêmement important pour les Tibétains et a une forte influence sur tous les aspects de leur vie. Bön est l'ancienne religion du Tibet, mais a été presque éclipsée par Bouddhisme tibétain, une forme distinctive de Mahayana et Vajrayana, qui a été introduit dans le Tibet de la tradition bouddhiste du sanscrit nord de l'Inde. Bouddhisme tibétain est pratiquée non seulement au Tibet mais aussi dans la Mongolie , certaines parties du nord de l'Inde, le République de Bouriatie, le République de Touva, et dans le République de Kalmoukie et quelques autres parties de la Chine en dehors du Tibet. Pendant la Chine Révolution culturelle, la quasi-totalité du Tibet Des monastères furent pillés et détruits par le Gardes rouges. Quelques monastères ont commencé à reconstruire depuis les années 1980 (avec un soutien limité du gouvernement chinois) et une plus grande liberté religieuse a été accordée - même si elle est encore limitée. Moines retournés aux monastères à travers le Tibet et l'éducation monastique repris même si le nombre de moines imposées est strictement limité.
Bouddhisme tibétain a quatre principales traditions (le suffixe pa est comparable à "er" en anglais):
- Gelug (pa), Voie de la Vertu, également connu par hasard que Yellow Hat, dont le chef spirituel est le Ganden Tripa et dont la tête temporelle est le Dalaï Lama . Successive Dalaï Lamas a statué le Tibet de la mi-17 à la mi-20e siècles. Cette commande a été fondée au 14ème-15ème siècles par Djé Tsongkhapa, basée sur les fondements de la Tradition kadampa. Tsongkhapa a été renommé pour sa scolastique et sa vertu. Le Dalaï Lama appartient à l'école Gelugpa, et est considéré comme l'incarnation du bodhisattva de la Compassion.
- Kagyu (pa), lignée orale. Cette sous-section contient une majeure et une mineure subsect. Le premier, le Dagpo Kagyu, englobe les écoles Kagyu qui remontent à Gampopa. À son tour, le Dagpo Kagyu se compose de quatre grands sous-sectes: la Karma Kagyu, dirigé par un Karmapa, le Tsalpa Kagyu, l'Barom Kagyu et Pagtru Kagyu. La fois-obscur Shangpa Kagyu, qui a été représenté par le célèbre professeur de 20e siècle Kalu Rinpoché, l'histoire remonte à l'maître indien Nigouma, sœur du détenteur de la lignée Kagyu Naropa. Ce est une tradition orale qui est très préoccupé par la dimension expérientielle de la méditation. Son plus célèbre représentant était Milarepa, un 11e siècle mystique.
- Nyingma (pa), Les Anciens. Ce est la plus ancienne, l'ordonnance initiale fondée par Padmasambhava.
- Sakya (pa), Gris Terre, dirigé par le Sakya Trizin, fondée par Khon Konchog Gyalpo, un disciple du grand traducteur Drokmi Lotsawa. Sakya Pandita 1182-1251CE était l'arrière petit-fils de Khon Konchog Gyalpo. Cette école met l'accent sur la bourse.
Islam
Les musulmans ont vécu au Tibet depuis aussi tôt que le 8 ou 9ème siècle. Dans les villes tibétaines, il ya des petites communautés de Musulmans, connus sous le nom Kachee (Kache), qui font remonter leur origine à des immigrants de trois régions principales: le Cachemire (Kachee Yul dans l'ancien Tibet), le Ladakh et le Pays turcophones d'Asie centrale. Influence islamique au Tibet sont également venus de la Perse. Après 1959, un groupe de musulmans tibétains a fait un cas pour la nationalité indienne en fonction de leurs racines historiques au Cachemire et le gouvernement indien a déclaré tous les musulmans tibétains citoyens indiens plus tard cette année. D'autres groupes ethniques musulmans qui ont longtemps habitées comprennent Tibet Hui, Salar, Dongxiang et Bonan. Il ya aussi une communauté bien établie musulmane chinoise (Gya Kachee), qui retrace son ascendance à la Groupe ethnique Hui de Chine.
Christianisme
Les premiers chrétiens documentées avoir atteint le Tibet étaient les Nestoriens, dont différents vestiges et des inscriptions ont été trouvés au Tibet. Ils étaient également présents au camp impérial Möngke au Shira Ordo, où ils ont débattu en 1256 avec Karmapakshi (1204 / 6-83), la tête de la Afin Karma Kagyu. Desideri, qui a atteint Lhassa en 1716, a rencontré arménien et marchands russes.
Catholique Jésuites et Capucins sont arrivés d'Europe dans les 17e et 18e siècles. Missionnaires portugais père jésuite Antonio de Andrade et le Frère Manuel Marques abord atteint le royaume de Gelu dans l'ouest du Tibet en 1624 et a été accueilli par la famille royale qui leur a permis de construire une église plus tard. En 1627, il y avait une centaine de locaux convertis dans le royaume de Guge. Plus tard, le christianisme a été introduit pour Rudok, Ladakh et Tsang et a été accueilli par le chef de la Tsang royaume, où Andrade et ses compagnons ont établi un avant-poste des Jésuites à Shigatse en 1626.
En 1661, un autre jésuite, Johann Grueber, traversé le Tibet de la Sining à Lhassa (où il a passé un mois), avant de se diriger vers le Népal. Il a été suivi par d'autres qui ont construit effectivement une église à Lhassa. Il se agit notamment du père jésuite Ippolito Desideri, 1716-1721, qui a gagné une profonde connaissance de la culture tibétaine, la langue et le bouddhisme, et divers Capucins en 1707-1711, 1716-1733 et 1741-1745, le christianisme a été utilisé par certains monarques tibétains et leurs tribunaux et le Karmapa secte lamas pour contrebalancer l'influence de la Secte Gelugpa au 17ème siècle jusqu'en 1745 lorsque tous les missionnaires ont été expulsés à l'insistance du lama.
En 1877, le James Cameron protestante de la Chine Inland Mission est sorti de Chongqing Batang dans Préfecture autonome tibétaine de Garzê, province du Sichuan, et "a l'Evangile au peuple tibétain." Commençant au 20ème siècle, dans La préfecture autonome tibétaine de Diqing au Yunnan, un grand nombre de personnes de Lisu et certaines personnes Nu Yi et converti en christianisme . Premiers missionnaires célèbres incluent James O. Fraser, Alfred James et Broomhall Isobel Kuhn de la China Inland Mission, entre autres qui étaient actifs dans ce domaine.
Art tibétain
Représentations d'art tibétains sont intrinsèquement liés avec Bouddhisme tibétain et couramment représentent des divinités ou des variations de Bouddha dans diverses formes de statues de bronze et sanctuaires bouddhistes, à fortement coloré peintures thangka et mandalas.
Architecture
Architecture tibétaine contient influences chinoises et indiennes, et reflète une profondément bouddhiste approche. Le Roue bouddhiste, avec deux dragons, peut être vu sur presque tous les Gompa au Tibet. La conception du Tibet Chörtens peuvent varier, des murs arrondis à Kham au carrée, murs à quatre côtés dans Ladakh.
La caractéristique la plus distinctive de l'architecture tibétaine est que de nombreuses maisons et monastères sont construits sur des sites élevés, ensoleillés face au sud, et sont souvent fabriqués à partir d'un mélange de roches, du bois, du ciment et de la terre. Peu de carburant est disponible pour le chauffage ou l'éclairage, afin toits plats sont conçus pour conserver la chaleur, et plusieurs fenêtres sont construits pour laisser entrer la lumière du soleil. Les murs sont généralement inclinés à 10 degrés vers l'intérieur, par mesure de précaution contre les tremblements de terre fréquents dans cette région montagneuse.
Debout à 117 mètres de hauteur et 360 mètres de largeur, le Palais du Potala est l'exemple le plus important de l'architecture tibétaine. Ancienne résidence du Dalaï Lama , il contient plus de mille chambres dans treize étages et abrite des portraits du Dalaï Lamas passé et statues du Bouddha. Il est divisé entre le Palais externe blanc, qui sert les quartiers administratifs et les quartiers rouges intérieures, qui abrite le hall d'assemblage des Lamas, chapelles, 10 000 sanctuaires, et une vaste bibliothèque de textes sacrés bouddhistes. Le Palais du Potala est un site du patrimoine mondial , comme ce est Norbulingka, l'ancienne résidence d'été du Dalaï Lama.
Musique
La musique du Tibet reflète le patrimoine culturel de la région trans-himalayenne, centrée au Tibet mais aussi connu où ethnique Groupes tibétains se trouvent en Inde, le Bhoutan , le Népal et loin à l'étranger. D'abord et avant tout la musique tibétaine est musique religieuse, reflétant l'influence profonde de Bouddhisme tibétain sur la culture.
Tibétaine musique implique souvent chantant dans Tibétain ou sanscrit , comme une partie intégrante de la religion. Ces chants sont complexes, souvent de récitations textes sacrés ou dans la célébration de divers festivals. Yang chantant, effectuée sans temporisation métrique, est accompagné par résonance tambours et syllabes, soutenus faibles. Autres styles comprennent celles qui sont propres aux différentes écoles du bouddhisme tibétain, comme la musique classique de la populaire L'école Gelugpa, et la musique romantique de la Nyingmapa, Sakyapa et Écoles Kagyupa.
Nangma musique de danse est particulièrement populaire dans le bars karaoké du centre urbain du Tibet, Lhassa . Une autre forme de musique populaire est le classique le style gar, qui est effectuée à des rituels et des cérémonies. Lu sont un type de chansons qui comportent vibrations glotte et de hauts emplacements. Il ya aussi des conteurs épiques, qui chantent des héros national du Tibet Gesar.
Festivals
Le Tibet a divers festivals qui sont habituellement effectuées pour adorer le Bouddha tout au long de l'année. Losar est le festival du Nouvel An tibétain. Les préparatifs pour l'événement festif se manifestent par des offrandes spéciales aux divinités du sanctuaire de la famille, des portes peintes avec des symboles religieux, et d'autres emplois laborieux fait pour se préparer à l'événement. Tibétains mangent Guthuk (orge miettes nourriture avec remplissage) pour le réveillon du Nouvel An avec leurs familles. Le mönlam suit dans le premier mois de l' calendrier tibétain, tombant sur la quatrième à la onzième jour du premier mois du calendrier tibétain. ce qui implique de nombreux Tibétains qui dansent et qui participent à des manifestations sportives et le partage des pique-niques. L'événement a été créé en 1049 par Tsong Khapa, fondateur du Dalaï Lama et de l'ordre du Panchen Lama.
Cuisine
La culture la plus importante au Tibet est l'orge , et de la pâte à base de farine d'orge appelée tsampa-est la nourriture de base du Tibet. Ceci est soit roulé dans des nouilles ou en faire raviolis à la vapeur appelés momos. viande plats sont susceptibles d'être de yack , de chèvre ou de mouton, souvent séché ou cuit dans une sauce épicée ragoût de pommes de terre . La graine de moutarde est cultivée au Tibet, et dispose donc fortement dans sa cuisine. Yak yaourt, le beurre et le fromage sont fréquemment consommés, et le yaourt bien préparé est considéré comme quelque chose d'un élément de prestige. thé Beurre est très populaire pour boire.
