
Philosophie
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La philosophie est l'étude des problèmes généraux et fondamentaux, tels que ceux liés à réalité, existence, connaissances, les valeurs, la raison , l'esprit , et langue. Philosophie se distingue des autres moyens de régler ces problèmes par une approche critique, généralement systématique et sa dépendance argument rationnel. Dans le discours plus décontracté, par extension, «philosophie» peut se référer à "les plus élémentaires croyances, les concepts et les attitudes d'un individu ou d'un groupe».
Le mot «philosophie» vient du grec ancien φιλοσοφία (philosophia), qui signifie littéralement «amour de la sagesse". L'introduction des termes «philosophe» et «philosophie» a été attribuée au penseur grec Pythagore . Un «philosophe» a été compris comme un mot qui contrastait avec " sophiste ". Voyager sophistes ou« sages »était important dans Grèce classique, gagne souvent de l'argent en tant que professeurs, tandis que les philosophes sont «amoureux de la sagesse" et ne étaient donc pas principalement pour l'argent.
Domaines de recherche
Philosophie est divisée en plusieurs sous-domaines. Il se agit notamment l'épistémologie, la logique, la métaphysique, l'éthique et l'esthétique. Parmi les principaux domaines d'étude sont considérés individuellement ci-dessous.
Épistémologie
Épistémologie se intéresse à la nature et l'étendue des connaissances, tels que les relations entre la vérité, la croyance, et théories de justification.
Le scepticisme est la position qui remet en question la possibilité de justifier complètement toute la vérité. Le argument de régression, un problème fondamental dans l'épistémologie, se produit lorsque, pour prouver complètement toute déclaration P, sa justification elle-même doit être appuyée par une autre justification. Cette chaîne peut faire trois options possibles, qui sont tous insatisfaisante selon le Münchhausen Trilemma. Une option est infinitisme, où cette chaîne de la justification peut durer éternellement. Une autre option est fondationalisme, où la chaîne de justifications éventuellement se appuie sur croyances de base ou axiomes qui sont laissés à prouver. La dernière option, comme dans cohérentisme, fait la chaîne circulaire de sorte qu'une déclaration est incluse dans sa propre chaîne de justification.
Le rationalisme est l'accent mis sur le raisonnement comme une source de connaissance. L'empirisme est l'accent mis sur des observations par l'expérience sensorielle sur les autres éléments de preuve que la source de la connaissance. Rationalisme prétend que chaque objet possible de connaissance peut être déduite de locaux cohérentes sans observation. Empirisme prétend qu'au moins une certaine connaissance ne est qu'une question d'observation. Pour cela, l'empirisme cite souvent le concept de tabula rasa, où les individus ne sont pas nés avec contenu mental et que la connaissance construit l'expérience ou la perception. Solipsisme épistémologique est l'idée que l'existence du monde extérieur de l'esprit est une question insoluble.


Parménide (fl. 500 BC) a fait valoir qu'il est impossible de douter que la réflexion se produit effectivement. Mais la pensée doit avoir un objet, donc quelque chose qui dépasse la pensée existe vraiment. Parménide déduit que ce qui existe vraiment doit avoir certaines propriétés, par exemple, qu'il ne peut pas venir à l'existence ou cesser d'exister, que ce est un tout cohérent, qu'il reste le même éternellement (en fait, il existe tout à fait en dehors du temps). Ceci est connu comme la troisième argument de l'homme. Platon (427-347 BC) rationalisme combiné avec une forme de réalisme. Le travail du philosophe est de considérer l'être, et l'essence ( ousia) des choses. Mais la caractéristique des essences, ce est qu'ils sont universels. La nature d'un homme, un triangle, un arbre, se applique à tous les hommes, tous les triangles, tous les arbres. Platon a fait valoir que ces essences sont l'esprit indépendant " formes ", mais que les humains (en particulier les philosophes) peuvent venir à connaître par la raison, et en ignorant les distractions de la perception sensorielle.
Le rationalisme moderne commence avec Descartes . Réflexion sur la nature de l'expérience perceptive, ainsi que les découvertes scientifiques en physiologie et de l'optique, a conduit Descartes (et aussi Locke ) à l'idée que nous sommes directement conscients des idées, plutôt que des objets. Ce point de vue a donné lieu à trois questions:
- Est une idée une copie conforme de la chose réelle qu'il représente? Sensation ne est pas une interaction directe entre les objets physiques et notre sens, mais ce est un processus physiologique impliquant la représentation (par exemple, une image sur la rétine). Locke pensait que la "qualité secondaire», comme une sensation de vert pourrait ressembler en aucune manière l'agencement des particules dans la matière qui vont produire cette sensation, mais il pensait que «qualités primaires» comme la forme, la taille, le nombre, étaient vraiment dans les objets.
- Comment les objets physiques tels que des chaises et des tables, ou même les processus physiologiques dans le cerveau peuvent donner lieu à des éléments mentaux tels que des idées? Cela fait partie de ce qui est devenu connu sous le nom problème corps-esprit.
- Si tout le contenu de la conscience sont des idées, comment pouvons-nous savons que tout existe en dehors des idées?
Descartes a tenté de résoudre le dernier problème en raison. Il a commencé, faisant écho à Parménide, un principe qu'il pensait ne pouvait pas être refusée de manière cohérente: Je pense, donc je suis (souvent donné dans son original latin: Cogito ergo sum). De ce principe, Descartes se mit à construire un système complet de connaissances (qui implique prouver la existence de Dieu, en utilisant, entre autres moyens, une version de la argument ontologique). Son point de vue cette seule raison pourrait donner vérités importantes sur la réalité fortement influencé ces philosophes rationalistes habituellement considérés modernes (comme Baruch Spinoza , Leibniz , et Christian Wolff), tout en provoquant les critiques des autres philosophes qui ont rétrospectivement venir à être regroupés comme empiristes.
Logique
Logic est l'étude des principes de bonne raisonnement. Arguments utilisent soit le raisonnement déductif ou raisonnement inductif. Le raisonnement déductif, ce est quand, étant donné certaines déclarations (appelé locaux), d'autres déclarations (appelés conclusions) sont inévitablement implicite. Règles d'inférences de locaux comprennent la méthode la plus populaire, modus ponens, où donnée "A" et "Si A alors B", puis "B" doivent être conclus. Une convention commune pour un raisonnement déductif est le syllogisme. Un argument est appelé valable si sa conclusion ne suit en effet de ses locaux, si les prémisses sont vraies ou non, alors qu'un argument est retentira si sa conclusion découle de locaux qui sont vraies. Logique propositionnelle utilise les locaux qui sont propositions, qui sont déclarations qui sont soit vrai ou faux, tandis que la logique des prédicats utilise des locaux plus complexes appelées formules qui contiennent Variables. Ceux-ci peuvent être attribués ou peuvent être des valeurs quantifié quant au moment où ils se appliquent à la quantificateur universel (toujours appliquer) ou quantificateur existentiel (se applique au moins une fois). Le raisonnement inductif rend des conclusions ou des généralisations fondées sur raisonnement probabiliste. Par exemple, si «90% des humains sont droitiers" et "Joe est humain", puis "Joe est probablement droitier". Les champs dans la logique comprennent la logique mathématique (de la logique symbolique formelle) et logique philosophique.
Métaphysique
La métaphysique est l'étude des caractéristiques les plus générales de réalité, comme existence, le temps , la relation entre l'esprit et corps, objets et leur propriétés, ensembles et leurs pièces, les événements, les processus, et causalité. Branches traditionnelles de la métaphysique comprennent la cosmologie , l'étude de la monde dans son intégralité, et ontologie, l'étude de être.
Dans la métaphysique se il ya un large éventail de différents philosophique théories. L'idéalisme, par exemple, est la croyance que la réalité est construit mentalement ou tout autre immatérielle le réalisme veut que la réalité, ou au moins une partie de celui-ci, existe indépendamment de l'esprit. Idéalisme subjectif décrit les objets que pas plus de collections ou des «paquets» de données sensibles dans le perçoit. Le philosophe du 18ème siècle George Berkeley a soutenu que l'existence est fondamentalement liée à la perception avec la phrase Esse est aut aut percipi percipere ou «être, ce est être perçu ou à percevoir".
En plus des points de vue mentionnés ci-dessus, cependant, il existe également un ontologique dichotomie au sein de la métaphysique entre les concepts de renseignements et les universaux ainsi. Renseignements sont ces objets qui existeraient dans l'espace et le temps, par opposition à des objets abstraits, tels que les numéros. Universaux sont des propriétés détenues par de multiples détails, tels que rougeur ou un genre. Le type de existence, le cas échéant, des universaux et des objets abstraits est un problème grave débat au sein de la philosophie métaphysique. Le réalisme est la position philosophique que les universaux ne existent en fait, tout en nominalisme est la négation, ou le refus des universaux, des objets abstraits, ou les deux. Conceptualisme détient que les universaux existent, mais seulement dans la perception de l'esprit.
La question de savoir si ou non est une existence prédicat a été discutée depuis le époque moderne. Essence est l'ensemble des attributs qui font un objet ce qu'il est fondamentalement et sans laquelle elle perd son identité. Essence est en contraste avec accident: une propriété que la substance a éventuellement, sans laquelle la substance peut encore conserver son identité.
Philosophie morale et politique
Éthique, ou «philosophie morale», concerne principalement la question de la meilleure façon de vivre, et accessoirement, sur la question de savoir si cette question peut être répondue. Les principales branches de l'éthique sont méta-éthique, l'éthique normative, et éthique appliquée. Les méta-éthique concerne la nature de la pensée éthique, tels que les origines des mots bon et mauvais, et les origines des autres termes comparatifs des différents systèmes éthiques, se il ya des vérités morales absolues, et comment ces vérités pouvaient être connus. L'éthique normative sont plus préoccupés par les questions de savoir comment on doit agir, et ce que le droit d'action est. Ce est là que la plupart des théories éthiques sont générés. Enfin, l'éthique appliqués dépassent la théorie et l'étape en pratique du monde réel éthique, tels que les questions de savoir si l'avortement est correcte. Éthique est également associée à l'idée de la morale, et les deux sont souvent interchangeables.
Un débat qui a commandé l'attention des spécialistes de l'éthique dans l'ère moderne a été entre conséquentialisme (actions doivent être moralement évaluées uniquement par leurs conséquences) et la déontologie (actions sont à évaluer moralement uniquement par l'examen de des agents les fonctions, les droits de ceux dont les préoccupations d'action, ou les deux). Jeremy Bentham et John Stuart Mill sont célèbres pour propager l'utilitarisme , qui est l'idée que la règle morale fondamentale est de tendre vers le «plus grand bonheur pour le plus grand nombre". Cependant, dans la promotion de cette idée ils ont aussi nécessairement promouvoir la doctrine plus large du conséquentialisme. Adopter une position opposée à conséquentialisme, Emmanuel Kant a fait valoir que les principes moraux étaient simplement des produits de la raison. Kant croyait que l'incorporation de conséquences dans la délibération morale était une erreur profonde, car elle nie la nécessité de maximes pratiques dans la gouvernance du travail de la volonté. Selon Kant, la raison exige que nous nous conformons nos actions à la impératif catégorique, qui est un devoir absolu. Une importante déontologue du 20e siècle, WD Ross, a fait valoir pour les formes les plus faibles de fonctions appelées obligations prima facie.
Des travaux plus récents ont souligné le rôle de caractère éthique, un mouvement connu sous le nom aretaic tour (ce est le tournant vers vertus). Une souche de ce mouvement a suivi les travaux de Bernard Williams. Williams a noté que les formes rigides de conséquentialisme et de la déontologie ont exigé que les gens se comportent de façon impartiale. Ce, Williams a fait valoir, nécessite que les gens abandonnent leurs projets personnels, et donc leur personnel l'intégrité, afin d'être considéré comme moral. GEM Anscombe, dans un article influent, "Moral Philosophie moderne" (1958), relancé éthique de la vertu comme une alternative à ce qui a été vu que les positions retranchées de kantisme et conséquentialisme. Aretaic perspectives ont été inspirés en partie par la recherche d'anciennes conceptions de la vertu. Par exemple, Éthique demandes d'Aristote que les gens suivent la moyenne aristotélicienne, ou l'équilibre entre deux vices; et confucéens éthique soutient que la vertu consiste en grande partie dans la lutte pour l'harmonie avec d'autres personnes. l'éthique de la vertu en général a depuis acquis beaucoup d'adhérents, et a été défendue par des philosophes comme Philippa Foot, Alasdair MacIntyre, et Rosalind Hursthouse.
La philosophie politique est l'étude de gouvernement et la relation des individus (ou les familles et les clans) pour les communautés, y compris le État. Il comprend des questions sur la justice, le droit, la propriété et les droits et obligations du citoyen. Politique et l'éthique sont traditionnellement sujets liés entre eux, à la fois discuter de la question de ce qui est bon et comment les gens devraient vivre. Depuis les temps anciens, et bien au-delà, les racines de la justification de l'autorité politique ont été inévitablement liées aux perspectives sur la nature humaine. Dans La République, Platon a présenté l'argument selon lequel la société idéale serait dirigée par un conseil de rois-philosophes, depuis les mieux à la philosophie sont les plus aptes à réaliser le bien. Même Platon, toutefois, philosophes nécessaire pour faire leur chemin dans le monde depuis de nombreuses années avant de commencer leur domination à l'âge de cinquante ans. Pour Aristote , les humains sont des animaux politiques (c.-à-animaux sociaux), et les gouvernements sont mis en place pour promouvoir la bonne pour la communauté. Aristote a estimé que, puisque l'État ( polis) était la plus haute forme de la communauté, il a pour but de poursuivre le plus grand bien. Aristote a regardé pouvoir politique comme le résultat d'inégalités naturelles en compétence et la vertu. En raison de ces différences, il est favorable à une aristocratie de la mesure et vertueux. Pour Aristote, la personne ne peut pas être complète si il ou elle vit dans une communauté. Sa L'Éthique à Nicomaque et la politique sont destinés à être lus dans cet ordre. Le premier livre traite vertus (ou «excellences») à la personne en tant que citoyen; le second traite de la forme appropriée de gouvernement pour se assurer que les citoyens seront vertueux, et donc complète. Les deux livres traitent avec le rôle essentiel de la justice dans la vie civique.
Nicolas de Cues ravivé la pensée platonicienne au début du 15ème siècle. Il a promu la démocratie dans l'Europe médiévale, à la fois dans ses écrits et dans son organisation du Conseil de Florence. Contrairement à Aristote et la tradition de Hobbes à suivre, Cues vu les êtres humains comme égaux et divine (qui est, fait à l'image de Dieu), de sorte que la démocratie serait la seule forme vient du gouvernement. Les vues de Cusa sont crédités par certains comme des étincelles de la Renaissance italienne, qui a donné naissance à la notion de "nation-Unis".


Plus tard, Machiavel a rejeté les vues d'Aristote et Thomas d'Aquin comme irréaliste. Le souverain idéal ne est pas l'incarnation des vertus morales; plutôt le souverain fait tout ce qui est nécessaire et réussi, plutôt que ce qui est moralement louable. Thomas Hobbes a également contesté de nombreux éléments de l'opinion d'Aristote. Pour Hobbes, la nature humaine est essentiellement anti-sociale: les personnes sont essentiellement égoïste, et cet égoïsme rend la vie difficile dans l'état naturel des choses. En outre, Hobbes fait valoir, si les gens peuvent avoir des inégalités naturelles, ce sont trivial, puisque aucun des talents ou des vertus particulières que les gens peuvent avoir leur fera l'abri des préjudices subis par d'autres. Pour ces raisons, Hobbes a conclu que l'état résulte d'un commun accord pour élever la communauté de la état de nature. Cela ne peut être fait par la mise en place d'un souverain, dans lequel (ou lesquels) est investi un contrôle complet sur la communauté, et est capable d'inspirer la crainte et la terreur dans ses sujets.
Beaucoup Lumières étaient insatisfaits de doctrines existantes dans la philosophie politique, qui semblaient à marginaliser ou négliger la possibilité d'un Etat démocratique . Jean-Jacques Rousseau a été parmi ceux qui ont tenté de renverser ces doctrines: il a répondu à Hobbes en affirmant que l'homme est par nature, une sorte de " bon sauvage », et que la société et les contrats sociaux corrompre cette nature. Un autre critique était John Locke . Dans Second Traité sur gouvernement était d'accord avec Hobbes que l'Etat-nation était un outil efficace pour élever l'humanité sur un état déplorable, mais il a soutenu que le souverain pourrait devenir une institution abominable rapport à l'état non modulée relativement bénigne de la nature.
Suite à la doctrine de la distinction fait-valeur, due en partie à l'influence de David Hume et son étudiant Adam Smith , les appels à la nature humaine de justification politique était affaibli. Néanmoins, de nombreux philosophes politiques, en particulier réalistes morales, font encore l'utilisation de quelque nature humaine essentielle comme base de leurs arguments.
Le marxisme est dérivé du travail de Karl Marx et Friedrich Engels . Leur idée que le capitalisme est basé sur l'exploitation des travailleurs et provoque l'aliénation des personnes de leur nature humaine, le matérialisme historique, leur point de vue classes sociales, etc., ont influencé de nombreux domaines d'études, tels que la sociologie, l'économie et la politique. Le marxisme a inspiré l'école marxiste de communisme , qui a un impact énorme sur l'histoire du 20e siècle.
Esthétique
Esthétique traite la beauté, l'art , la jouissance, les valeurs sensori-émotionnels, la perception et les questions de goût et de sentiment.
Branches spécialisées
- La philosophie du langage explore la nature, les origines, et l'utilisation de la langue.
- Philosophie du droit (souvent appelé jurisprudence) explore les théories variables expliquant la nature et les interprétations de la loi dans la société.
- Philosophie de l'esprit explore la nature de l'esprit, et de sa relation au corps, et se caractérise par des différends entre le dualisme et matérialisme. Au cours des dernières années il ya eu augmentation de similitude entre cette branche de la philosophie et sciences cognitives.
- Philosophie de la religion
- Philosophie des sciences
- Métaphilosophie
Beaucoup de disciplines universitaires ont également généré enquête philosophique. Il se agit notamment histoire, logique, et mathématiques.
Histoire
Beaucoup de sociétés ont examiné les questions philosophiques et construit traditions philosophiques basés sur des œuvres de chacun.
La philosophie orientale est organisée par les périodes chronologiques de chaque région. Les historiens de la philosophie occidentale divisent généralement le sujet en trois ou plusieurs périodes, l'être le plus important la philosophie antique, la philosophie médiévale, et la philosophie moderne.
La philosophie antique
L'Egypte et Babylone
Il ya des auteurs qui fixent les maximes philosophiques de Ptahhotep avant la 25ème siècle. Par exemple, le prix Pulitzer gagner historien Will Durant date ces écrits dès 2880 au sein de BCE L'histoire des civilisations: Notre histoire orientales. Durant affirme que Ptahhotep pourrait être considéré comme le premier philosophe en vertu d'avoir le plus tôt et des fragments de la philosophie morale survivre (ce est à dire, "Les Maximes de Ptah Hotep-»). Petit-fils de Ptahhotep, Ptahhotep Tshefi, est traditionnellement reconnu comme étant l'auteur du recueil de paroles sages appelés Enseignement de Ptahhotep, dont les lignes ouverture attribuer la paternité au vizir Ptahhotep: Instruction du maire de la ville, le vizir Ptahhotep, sous la Majesté du roi Isesi.
Les origines de Babylone philosophie peut faire remonter à la sagesse du début de la Mésopotamie , qui incarne certaines philosophies de vie, notamment l'éthique , dans les formes de dialectique, dialogues, la poésie épique, le folklore , hymnes, paroles, prose et proverbes. Le raisonnement et rationalité des Babyloniens développé au-delà empirique observation. Le texte babylonien de dialogue de pessimisme contient des similitudes avec l' agnostique de la pensée sophistes, le Héraclitéen doctrine de contrastes, et les dialogues de Platon , ainsi qu'un précurseur de la maïeutique Méthode socratique de Socrate et de Platon. Le Milet philosophe Thales est aussi traditionnellement dit avoir étudié la philosophie en Mésopotamie.
Ancient Chinese


La philosophie a eu un effet énorme sur la civilisation chinoise , et tout au long Asie De L'Est. La majorité de la philosophie chinoise originaire de la Printemps et Automnes et Warring States ère, pendant une période connue sous le nom " Cent écoles de pensée ", qui a été caractérisée par l'évolution intellectuelle et culturelle. Il était à cette époque que les grandes philosophies de la Chine, le confucianisme , Mohism, Le légalisme et le taoïsme , ont surgi, avec des philosophies qui sont tombées plus tard dans l'obscurité, comme Agriculturiste, Chinoise naturalisme et le Logiciens. Parmi les nombreuses écoles philosophiques de la Chine, ne confucianisme et le taoïsme existaient après la dynastie des Qin supprimé toute la philosophie chinoise qui a été opposé à légalisme.
Confucianisme est humaniste , la philosophie qui croit que les êtres humains sont enseignable, améliorable et perfectible par l'effort personnel et communautaire en particulier, y compris l'auto-culture et de l'auto-création. Confucianisme met l'accent sur la culture de la vertu et de la maintenance de l'éthique, le plus fondamental dont sont REN, yi, et li. Ren est une obligation de l'altruisme et de l'humanité pour d'autres individus au sein d'une communauté, yi est le maintien de la justice et de la disposition morale de faire le bien, et li est un système de normes et de bienséance qui détermine la façon dont une personne devrait agir correctement sein d'une communauté.
Taoïsme met l'accent sur l'établissement d'harmonie avec le Tao, qui est origine et la totalité de tout ce qui existe. Le mot "Tao" (ou "Dao", en fonction de la système de romanisation) est habituellement traduit par «voie», «chemin» ou «principe». La bienséance et l'éthique taoïste soulignent la Trois Joyaux du Tao: compassion, la modération, et l'humilité, tout en pensée taoïste se concentre généralement sur la nature , la relation entre l'humanité et le cosmos (天人相应); la santé et la longévité; et wu wei, l'action par l'inaction. Harmonie avec l' univers , ou de l'origine de celui-ci à travers le Tao, est le résultat escompté de plusieurs règles et pratiques taoïstes.
Ancienne gréco-romaine

Ancienne philosophie gréco-romaine est une période de la philosophie occidentale, à partir du 6ème siècle [c. 585] avant JC au 6ème siècle. Il est habituellement divisé en trois périodes: la période de pré-socratique, la période de Platon et Aristote , et le post-aristotélicienne (ou Hellénistique) période. Un quatrième période qui est parfois ajouté comprend le Néoplatonicienne et Philosophes chrétiens de Antiquité tardive. Le plus important des anciens philosophes (en termes d'influence ultérieure) sont Platon et Aristote. Platon précisément, est crédité comme le fondateur de la philosophie occidentale. Le philosophe Alfred North Whitehead a dit de Platon:.. "Le plus sûr caractérisation générale de la tradition philosophique européenne est qu'elle consiste en une série de notes de bas de Platon, je ne veux pas dire le schéma systématique de la pensée qui les chercheurs ont extrait dubitatif de ses écrits, je veux parler de la richesse des idées générales dispersés à travers eux ".
Les principaux sujets de la philosophie antique sont: comprendre les causes et les principes fondamentaux de l' univers ; expliquer de façon économique; le problème épistémologique de concilier la diversité et le changement de l'univers naturel, avec la possibilité d'obtenir des connaissances fixe et certaine à ce sujet; questions sur des choses qui ne peuvent pas être perçu par les sens, comme des numéros , éléments, universaux, et dieux . Socrate est dit avoir été l'initiateur d'étude plus ciblée sur les choses humaines, y compris l'analyse des modes de raisonnement et l'argumentation et la nature de la bonne vie et l'importance de la compréhension et de la connaissance afin de la poursuivre; l'explication de la notion de la justice, et de sa relation à divers systèmes politiques.
Dans cette période, les caractéristiques essentielles de l'Ouest méthode philosophique ont été établies: une approche critique de vues reçues ou établies, et l'appel à la raison et de l'argumentation. Cela inclut de Socrate méthode dialectique d'enquête, connue sous le nom Ou la méthode de «elenchus", qu'il a appliqué en grande partie à l'examen des principaux concepts moraux tels que le Bon et socratique Justice. Pour résoudre un problème, il se décompose en une série de questions, dont les réponses distillent progressivement la réponse une personne chercherait. L'influence de cette approche est plus fortement ressenti aujourd'hui de l'utilisation de la méthode scientifique, dans lequel hypothèse est la première étape.
Indienne ancienne
Le terme philosophie indienne (sanskrit: Darshanas), se réfère à l'une des écoles de plusieurs la pensée philosophique qui a pris naissance dans le Sous-continent indien, y compris La philosophie hindoue, La philosophie bouddhiste, et La philosophie Jain. Ayant les mêmes ou plutôt entrelacées origines, toutes ces philosophies ont un des thèmes communs sous-jacents de Dharma et Karma, et tenter de même d'expliquer la réalisation de l'émancipation. Ils ont été formalisés et promulguée principalement entre 1000 avant JC à un AD quelques siècles.
Inde date de tradition philosophique retour à la composition de la Upanisads dans le plus tard védique (c. 1000-500 BCE). Écoles suivantes ( Skt : darshanas) de la philosophie indienne ont été identifiés comme orthodoxe ( Skt : Astika) ou non-orthodoxe (Skt: nastika) selon qu'ils considéraient le Védas comme une source infaillible de connaissances. Selon certaines classifications, il ya six écoles de l'orthodoxie La philosophie hindoue et trois écoles hétérodoxes. Les orthodoxes sont Nyaya, Vaisesika, Samkhya, Yoga, Purva Mimamsa et Vedanta. Le hétérodoxes sont Jain, bouddhiste et matérialiste ( Carvaka). Autres classifications également Pashupata, Saiva, Rasesvara et Pāṇini Darsana avec les autres écoles orthodoxes.
La concurrence et l'intégration entre les différentes écoles a été intense au cours de leurs années de formation, en particulier entre 500 avant JC à 200 après JC. Certains, comme le Jain, bouddhiste , Shaiva et Écoles Vedanta ont survécu, tandis que d'autres comme Samkhya et Ajivika n'a pas, soit étant assimilée ou en voie d'extinction. Le sanscrit terme pour «philosophe» est dārśanika, celui qui est familier avec les systèmes de philosophie, ou Darsanas.
Dans l'histoire de la Sous-continent indien, suite à la création d'un Culture védique, le développement de la pensée philosophique et religieuse sur une période de deux millénaires a donné naissance à ce qui allait être appelé les six écoles de Astika ou orthodoxe, la philosophie indienne ou hindous. Ces écoles sont venus à être synonyme de la plus grande religion de l'hindouisme , qui était un développement du début Religion védique.
Persan antique
La philosophie persane peut être retracée aussi loin que vieilles traditions et pensées philosophiques iraniens, avec leur ancienne Racines indo-iraniennes. Ils ont été considérablement influencés par Zarathoustra enseignements de l '. Tout au long de l'histoire iranienne et due à des influences politiques et sociales remarquables comme le macédonien , le Arabe et la Invasions mongoles de la Perse, un large éventail d'écoles de pensée ont surgi. Ces épousé une variété de points de vue sur des questions philosophiques, se étendant de la vieille iranien et principalement Zoroastrisme traditions d'influence dans les écoles figurant dans l'ère pré-islamique fin, comme Manichéisme et Mazdakism, ainsi que diverses écoles post-islamiques. La philosophie iranienne après invasion arabe de la Perse se caractérise par différentes interactions avec le vieille philosophie iranienne, le La philosophie grecque et avec le développement de La philosophie islamique. Et la Illuminationism théosophie transcendante sont considérés comme deux des principales traditions philosophiques de l'époque en Perse. Zoroastrisme a été identifié comme l'un des premiers événements clés dans le développement de la philosophie.
5e-16e siècles
Europe
Médiéval


La philosophie médiévale est la philosophie de Europe de l'Ouest et du Moyen-Orient pendant les Moyen Age , se étendant sensiblement de la christianisation de l' Empire romain jusqu'à la Renaissance. La philosophie médiévale est défini en partie par la redécouverte et la poursuite du développement de classique Grec et La philosophie hellénistique, et en partie par la nécessité de résoudre les problèmes théologiques et d'intégrer les doctrines sacrés alors répandues de La religion abrahamique ( l'islam , le judaïsme et le christianisme ) avec l'apprentissage laïque.
L'histoire de l'ouest de la philosophie médiévale européenne est traditionnellement divisée en deux grandes périodes: la période dans le Occident latin après la Début du Moyen Âge jusqu'au 12ème siècle, lorsque les œuvres d' Aristote et de Platon ont été conservées et cultivées; et le "âge d'or" de la 12e, 13e et 14e siècles dans l'Occident latin, qui a vu l'aboutissement de la reprise de la philosophie antique, et des développements importants dans le domaine de philosophie de la religion, la logique et la métaphysique.
L'époque médiévale a été traitée avec mépris par les humanistes de la Renaissance, qui y voient une période barbare "moyenne" entre l'âge classique de la culture grecque et romaine, et de la «renaissance» ou renaissance de la culture classique. Pourtant, cette période de près de mille ans était la plus longue période de développement philosophique en Europe, et peut-être le plus riche. Jorge Gracia a fait valoir que "l'intensité, la sophistication, et la réalisation, la floraison philosophique au XIIIe siècle pourrait être dit à juste titre pour rivaliser avec l'âge d'or de la philosophie grecque au quatrième siècle avant JC"
Certains problèmes abordés tout au long de cette période sont la relation de foi raison, l'existence et l'unité de Dieu , l'objet de théologie et la métaphysique, les problèmes de la connaissance, de universaux, et de l'individuation.
Les philosophes du Moyen Age comprennent les philosophes chrétiens Augustin d'Hippone , Boèce, Anselme, Gilbert de Poitiers, Pierre Abélard, Roger Bacon, Bonaventure, Thomas d'Aquin , Duns Scot, Guillaume d'Ockham et Jean Buridan; les philosophes juifs Maïmonide et Gersonide; et le Philosophes musulmans Alkindus, Alfarabi, Alhazen, Avicenne, Algazel, Avempace, Abubacer, Ibn Khaldûn, et Averroès. La tradition médiévale de Scolastique a continué à prospérer aussi tard que le 17ème siècle, en chiffres tels que Francisco Suarez et Jean de Saint-Thomas.
Aquin, père de Thomisme, était immensément influent en Europe catholique, placé un grand accent sur la raison et de l'argumentation, et fut l'un des premiers à utiliser la nouvelle traduction de l'écriture métaphysique et épistémologique d'Aristote. Son travail se écartait sensiblement de la Pensée néoplatonicienne et augustinienne qui avait dominé une grande partie de la scolastique tôt.
Renaissance


La Renaissance («renaissance») était une période de transition entre le Moyen Age et la pensée moderne, dans lequel la récupération de textes classiques contribué à déplacer les intérêts philosophiques loin de études techniques dans la logique, la métaphysique et la théologie vers enquêtes éclectiques dans la moralité, de la philologie, et le mysticisme. L'étude des classiques et les arts en général humaines, comme l'histoire et la littérature, a connu un intérêt scientifique jusque-là inconnu dans la chrétienté, une tendance appelée l'humanisme . Le déplacement de l'intérêt médiéval dans la métaphysique et la logique, les humanistes suivis Pétrarque en faisant de l'homme et de ses vertus la discussion de la philosophie.
L'étude de la philosophie classique est également développée dans deux nouvelles façons. D'une part, l'étude d'Aristote a été modifié par l'influence de Averroïsme. Les désaccords entre ces averroïste aristotéliciens, et plus aristotéliciens catholiques orthodoxes tels que Albert le Grand et Thomas d'Aquin a probablement contribué à l'élaboration d'un «aristotélisme humaniste» développé à la Renaissance, comme illustré dans la pensée de Pomponazzi et Giacomo Zabarella. Deuxièmement, comme une alternative à Aristote, l'étude de Platon et de la Néoplatoniciens est devenu commun. Cela a été assistée par la redécouverte d'œuvres qui ne avaient pas été bien connus précédemment en Europe occidentale. Platoniciens de la Renaissance notables incluent Nicolas de Cues, et plus tard Marsile Ficin et Giovanni Pico della Mirandola.
La Renaissance également un regain d'intérêt dans les théories anti-aristotélicienne de la nature considérée comme un organique, vivant ensemble compréhensible indépendamment de la théologie, comme dans l'œuvre de Nicolas de Cues, Nicolas Copernic , Giordano Bruno, Telesius, et Tommaso Campanella. Ces mouvements dans la philosophie naturelle en queue d'aronde avec un regain d'intérêt pour l'occultisme, de la magie, l'hermétisme, et l'astrologie , qui ont été pensé pour donner des moyens cachés de la connaissance et la maîtrise de la nature (par exemple, dans Marsile Ficin et Pic de la Mirandole).
Ces nouveaux mouvements dans la philosophie développés simultanément avec des transformations religieuses et politiques plus larges en Europe: la Réforme et le déclin de féodalisme. Bien que les théologiens de la Réforme protestante ont montré peu d'intérêt direct dans la philosophie, leur destruction des fondements traditionnels de l'autorité théologique et intellectuel harmonisées avec un renaissance du fidéisme et le scepticisme chez les penseurs tels que Erasmus, Montaigne, et Francisco Sanches. Pendant ce temps, la centralisation progressive du pouvoir politique dans les Etats-nations a été repris par l'émergence de philosophies politiques laïques, comme dans les œuvres de Machiavel (souvent décrit comme le premier penseur politique moderne, ou un tournant décisif vers la pensée politique moderne), Thomas More , Erasmus, Justus Lipsius, Jean Bodin, et Hugo Grotius.
Asie De L'Est
Philosophie chinoise mi-Imperial est principalement définie par le développement de Néo-confucianisme. cours de la dynastie des Tang , le bouddhisme du Népal est également devenu une discipline philosophique et religieux de premier plan. (Il convient de noter que la philosophie et la religion étaient clairement distingués dans l'Ouest, alors que ces concepts étaient plus continue à l'Est en raison, par exemple, les concepts philosophiques du bouddhisme.)
Le néo-confucianisme est un mouvement philosophique qui préconisait une forme plus rationaliste et laïque du confucianisme en rejetant éléments superstitieux et mystiques de taoïsme et le bouddhisme qui avait influencé le confucianisme pendant et après la dynastie des Han. Bien que les néo-confucianistes ont critiqué le taoïsme et le bouddhisme, les deux ne ont une influence sur la philosophie et les néo-confucianistes emprunté termes et concepts à la fois. Toutefois, contrairement aux bouddhistes et taoïstes, qui ont vu la métaphysique comme un catalyseur pour le développement spirituel, l'illumination religieuse, et l'immortalité, les néo-confucianistes utilisé métaphysique comme un guide pour l'élaboration d'un rationaliste éthique philosophie.
Le néo-confucianisme a ses origines dans la dynastie des Tang ; les lettrés confucianistes Han Yu et Li Ao sont considérés comme des ancêtres des néo-confucianistes de la dynastie des Song. Le philosophe dynastie des Song Zhou Dunyi est considéré comme le premier véritable «pionnier» du néo-confucianisme, en utilisant la métaphysique taoïstes comme un cadre pour sa philosophie éthique.
Ailleurs en Asie de l'Est, la philosophie japonaise a commencé à se développer comme autochtones shinto croyances fusionnés avec le bouddhisme , le confucianisme et d'autres écoles de la philosophie chinoise et la philosophie indienne. Similaires au Japon, dans la philosophie coréenne le contenu émotionnel du chamanisme a été intégré dans le néo-confucianisme importés de Chine.
Inde
La période entre la 5ème et 9ème siècle CE était époque la plus brillante dans le développement de la philosophie indienne comme hindous et bouddhistes philosophies prospéré côte à côte. Parmi ces différentes écoles de pensée non-dualiste Advaita Vedanta a émergé comme l'école la plus influente et la plus dominante de la philosophie.Les grands philosophes de cette école étaientGaudapada,Adi ShankaraetVidyaranya.
Advaita Vedanta rejette le théisme et le dualisme en insistant que « Brahman [ultime réalité] est sans pièces ou d'attributs ... un sans second. "Depuis Brahman n'a pas de propriétés, ne contient pas la diversité interne et est identique à toute la réalité, il ne peut pas être comprise comme Dieu. Brahman bien qu'étant indescriptible est au mieux décrit comme Satchidananda (fusion "Sat" + "Chit" + "Ananda", c.-à-Existence, Conscience et la Béatitude) par Shankara. Advaita a inauguré une nouvelle ère dans la philosophie indienne et, par conséquent, de nombreuses nouvelles écoles de pensée a surgi dans la période médiévale. Certains d'entre eux étaient Visishtadvaita (du monisme qualifié), Dvaita (dualisme), Dvaitadvaita (dualisme non-dualisme), Suddhadvaita (non-dualisme pur), Achintya Bheda abheda et Pratyabhijna (école récognitive).
Moyen-Orient
Dans la pensée islamique précoce, qui se réfère à la philosophie au cours de la " âge d'or islamique ", traditionnellement datée entre le 8e et 12e siècles, deux courants principaux peuvent être distingués. Le premier est Kalam, qui a principalement traité avec des questions théologiques islamiques. Ceux-ci comprennent le Mu'tazili et Ash'ari. L'autre est Falsafa, qui a été fondée sur des interprétations de Aristotélisme et Néoplatonisme. ya eu des tentatives par des philosophes-théologiens postérieurs à harmoniser les deux tendances, notamment par Ibn Sina (Avicenne) qui a fondé l'école de avicennisme, Ibn Rushd (Averroès) qui a fondé l'école de l'averroïsme, et d'autres comme Ibn al-Haytham (Alhacen) et Al-Biruni.
17e-20e siècles
Early philosophie moderne
Chronologiquement, l'époque moderne de la philosophie occidentale est généralement identifié avec les 17e et 18e siècles, avec le 18ème siècle étant souvent appelé le siècle des Lumières . La philosophie moderne se distingue de ses prédécesseurs par son indépendance croissante des autorités traditionnelles telles que l'Église, le monde universitaire et l'aristotélisme; un nouvel accent sur les fondements de la connaissance et de la consolidation de la métaphysique; et l'émergence de la physique moderne de la philosophie naturelle. Autres thèmes centraux de la philosophie dans cette période, notamment la nature de l'esprit et de son rapport au corps, les implications des nouvelles sciences naturelles pour les sujets théologiques traditionnels tels que le libre arbitre et Dieu, et l'émergence d'une base laïque pour morale et politique la philosophie. Ces tendances se fondent premier distinctement dans Francis Bacon l 'appel pour un nouveau programme empirique, pour élargir les connaissances, et bientôt trouvé la forme la plus influente dans la physique mécanique et métaphysique rationaliste de René Descartes . Thomas Hobbes fut le premier à appliquer cette méthodologie systématiquement politique la philosophie et est à l'origine de la philosophie politique moderne, y compris la théorie moderne d'un « contrat social ». Le canon académique de la philosophie moderne précoce comprend généralement Descartes , Spinoza , Leibniz , Locke , Berkeley, Hume et Kant , bien que les contributions influentes à la philosophie ont été faites par de nombreux penseurs de cette période, tels que Galileo Galilei , Pierre Gassendi, Blaise Pascal , Nicolas Malebranche, Isaac Newton , Christian Wolff, Montesquieu, Pierre Bayle, Thomas Reid, Jean d'Alembert, et Adam Smith . Jean-Jacques Rousseau était un chiffre séminal dans l'initiation réaction contre les Lumières. La fin approximative de la période moderne est le plus souvent identifié avec Emmanuel Kant tentative systématique de l 'de limiter la métaphysique, de justifier des connaissances scientifiques, et de concilier ces deux avec la morale et la liberté.
La philosophie du 19e siècle
Plus tard la philosophie moderne est généralement réputée débuter après la philosophie de Kant au début du 19ème siècle. La philosophie allemande a exercé une large influence dans ce siècle, en partie en raison de la prédominance du système universitaire allemand. idéalistes allemands, tels que Johann Gottlieb Fichte, Georg Wilhelm Friedrich Hegel, et Friedrich Wilhelm Joseph Schelling, transformé l'œuvre de Kant en maintenant que le monde est constitué par un processus rationnel ou de l'esprit-like, et en tant que telle est entièrement connaissable. Arthur Schopenhauer l 'identification de ce processus constituant monde comme irrationnelle volonté de vivre influencé plus tard, 19e et début du 20e siècle la pensée, comme le travail de Friedrich Nietzsche et Sigmund Freud .
Après la mort de Hegel en 1831, la philosophie du 19e siècle largement tournée contre l'idéalisme au profit de variétés de philosophique du naturalisme, comme le positivisme de Auguste Comte, l'empirisme de John Stuart Mill , et le matérialisme de Karl Marx . Logic a commencé une période de ses avancées les plus significatives depuis la création de la discipline, que l'augmentation de la précision mathématique ouvert des champs entiers de l'inférence à la formalisation dans le travail de George Boole et Gottlob Frege. D'autres philosophes qui ont initié les lignes de pensée qui continuent de façonner la philosophie dans le 20e siècle comprennent:
- Gottlob Frege etHenry Sidgwick, dont le travail dans la logique et l'éthique, respectivement, à condition que les outils pour le début la philosophie analytique.
- Charles Sanders Peirce et William James, qui a fondéle pragmatisme.
- Søren Kierkegaard et Nietzsche , qui a jeté les bases de l'existentialisme et le post-structuralisme.
La philosophie du 20e siècle
Dans le dernier siècle, la philosophie a de plus en plus devenue une discipline professionnelle pratiquée au sein des universités, comme les autres disciplines universitaires. En conséquence, il est devenu moins général et plus spécialisés. Dans la vue d'un historien éminent récente:. «La philosophie est devenue une discipline hautement organisée, effectuée par des spécialistes principalement pour d'autres spécialistes, le nombre de philosophes a explosé, le volume de la publication a grossi, et les sous-domaines de la recherche philosophique sérieuse se sont multipliées. Non seulement est le vaste domaine de la philosophie aujourd'hui beaucoup trop vaste pour être embrassé par un esprit, quelque chose de semblable est vrai même de nombreux sous-domaines hautement spécialisés ".
Dans le monde anglo-saxon, la philosophie analytique est devenue l'école dominante pour la plupart du 20e siècle. Dans la première moitié du siècle, il était une école de cohésion, en forme fortement par le positivisme logique, unis par l'idée que les problèmes philosophiques pourraient et devraient être résolus par l'attention à la logique et de la langue . Le travail de pionnier de Bertrand Russell était un modèle pour le développement précoce de la philosophie analytique, passant d'un rejet de l'idéalisme dominante en philosophie britannique du 19ème siècle en retard à un empirisme néo-Hume, renforcée par les ressources conceptuelles de la logique mathématique moderne. Dans la seconde moitié du 20e siècle, philosophie analytique diffusé dans une grande variété de points de vue philosophiques disparates, que vaguement unis par des lignes historiques d'influence et un engagement de l'auto-identifié à la clarté et la rigueur. La transformation d'après-guerre du programme analytique a conduit dans deux grandes directions: d'une part, un intérêt dans le langage ordinaire comme un moyen d'éviter ou de redécrire problèmes philosophiques traditionnels, et de l'autre, une plus approfondie naturalisme qui cherchait à dissoudre les puzzles de la philosophie moderne via les résultats des sciences naturelles (comme la psychologie cognitive et de biologie évolutive). Le changement dans le travail de Ludwig Wittgenstein , à partir d'une vue en harmonie avec le positivisme logique à une dissolution thérapeutique de la philosophie traditionnelle comme un malentendu linguistique des formes normales de la vie, était la version la plus influente de la première direction dans la philosophie analytique. Le travail plus tard, de Russell et la philosophie de WVO Quine sont des exemples influents de l'approche naturaliste dominantes dans la seconde moitié du 20e siècle. Mais la diversité de la philosophie analytique partir des années 1970 défie généralisation facile: le naturalisme de Quine et son épigones était dans certains bureaux de vote remplacée par une "nouvelle métaphysique» de mondes possibles, comme dans le travail influent de David Lewis. Récemment, le mouvement de la philosophie expérimentale a cherché de réévaluer les problèmes philosophiques à travers les techniques de recherche en sciences sociales.
Sur l'Europe continentale, pas d'école unique ou le tempérament apprécié domination. Le vol des positivistes logiques de l'Europe centrale au cours des années 1930 et 1940, cependant, diminuée intérêt philosophique dans les sciences naturelles, et l'accent mis sur les humanités, interprétée largement, figure en bonne place dans ce qu'on appelle habituellement « philosophie continentale ». 20e mouvements siècle comme la phénoménologie, l'existentialisme , modernes herméneutique, la théorie critique, structuralisme, et poststructuralisme sont inclus dans cette catégorie lâche. Le fondateur de la phénoménologie, Edmund Husserl, a cherché à étudier la conscience telle qu'elle est vécue dans une perspective à la première personne, tandis que Martin Heidegger a attiré sur les idées de Kierkegaard, Nietzsche, Husserl et de proposer une non conventionnelle existentielle approche ontologie.
Dans le monde arabophone philosophie nationaliste arabe est devenu l'école de pensée dominant, impliquant des philosophes comme Michel Aflaq, Zaki al-Arsuzi, Salah al-Din al-Bitar de baasisme et Sati 'al-Husri. Ces personnes ignorées grande partie de la recherche de Marx, et se préoccupent surtout de la spiritualité de l'individu qui, dans la lutte contre l'impérialisme et l'oppression, conduire à une Europe unie nation arabe.
Les grandes traditions
Idéalisme allemand
Les formes de l'idéalisme étaient répandues dans la philosophie du 18ème siècle au début du 20e siècle. Idéalisme transcendantal, préconisée par Emmanuel Kant , est le point de vue qu'il ya des limites à ce qui peut être compris, car il ya beaucoup qui ne peuvent pas être mis dans les conditions de l'objectif jugement. Kant a écrit son Critique de la Raison pure (1781-1787) dans une tentative de concilier les approches contradictoires du rationalisme et de l'empirisme, et d'établir un nouveau terrain pour étudier la métaphysique. L'intention de Kant avec ce travail était d'examiner ce que nous savons et d'examiner ensuite ce qui doit être vrai à ce sujet, comme une conséquence logique de la manière que nous le connaissons. Un thème majeur était qu'il existe des caractéristiques fondamentales de la réalité qui échappent à notre connaissance directe en raison des limites naturelles des facultés humaines. Bien que Kant a jugé que la connaissance objective du monde l'esprit nécessaire pour imposer un concept ou cadre catégorique sur le flux de données d'un cadre-sensorielle y compris pur espace et le temps eux-mêmes, il a soutenu que choses en elles-mêmes existaient indépendamment de nos perceptions et des jugements ; il était donc pas un idéaliste au sens simple. En effet, le compte de Kant de choses en elles-mêmes est à la fois controversé et très complexe. Poursuivant son travail, Johann Gottlieb Fichte et Friedrich Schelling distribués avec la croyance en l'existence indépendante du monde, et ont créé une philosophie idéaliste en profondeur.
Le travail le plus notable de cette idéalisme allemand était de GWF Hegel Phénoménologie de l'Esprit , de 1807. Hegel a admis ses idées ne sont pas nouvelles, mais que toutes les philosophies précédentes avait été incomplète. Son but était de terminer correctement leur travail. Hegel affirme que les objectifs jumeaux de la philosophie sont pour expliquer les contradictions apparentes dans l'expérience humaine (qui se posent, par exemple, sur les prétendues contradictions entre «être» et «ne pas être»), et aussi simultanément de résoudre et de préserver ces contradictions en montrant leur compatibilité à un niveau plus élevé de l'examen («être» et «ne pas être» sont résolus à «devenir»). Ce programme de l'acceptation et de la réconciliation des contradictions est connu comme le "hégélienne dialectique ». Philosophes influencé par Hegel comprennent Ludwig Andreas Feuerbach, qui a inventé le terme projection comme appartenant à notre incapacité à reconnaître quoi que ce soit dans le monde extérieur sans projeter qualités de nous-mêmes sur ces choses, Karl Marx ; Friedrich Engels ; et le idéalistes britanniques, notamment TH verts, JME McTaggart et FH Bradley.
Quelques philosophes du 20e siècle ont embrassé l'idéalisme. Cependant, un certain nombre ont embrassé la dialectique hégélienne. "Mettez copernicienne» de Kant demeure également un concept philosophique important aujourd'hui.
Pragmatisme


Le pragmatisme a été fondée dans l'esprit de trouver un concept scientifique de la vérité qui ne dépend pas de l'intuition personnelle (révélation) ou la référence à un certain domaine métaphysique. Le sens ou l'objet d'une déclaration doivent être jugés par l'effet de son acceptation aurait sur la pratique. Vérité doit être considérée comme la correspondance, indépendamment des opinions réelles, au réel et, de manière pragmatique, en tant que l'opinion qui enquête prise assez loin finirait par atteindre. Pour Charles Sanders Peirce ce sont les principes d'auto-régulation de l'enquêteur, impliquée par l'idée et nous espérons que l'enquête est généralement pas vaine. Les détails de la façon dont ces principes devraient être interprétés ont fait l'objet de discussions depuis Peirce premier les a conçus. Peirce la maxime de pragmatisme est comme suit: ".. Pensez à ce que les effets qui pourraient éventuellement avoir des paliers pratiques, nous concevons l'objet de notre conception d'avoir Ensuite, notre conception de ces effets est l'ensemble de notre conception de l'objet" Comme néo postmoderne -pragmatist Richard Rorty, beaucoup sont convaincus que le pragmatisme affirme que la vérité des croyances ne consiste pas dans leur correspondance avec la réalité, mais dans leur utilité et leur efficacité.
La fin du 19e siècle philosophes américains Charles Sanders Peirce et William James étaient ses co-fondateurs, et il a été développé plus tard par John Dewey comme l'instrumentalisme. Depuis l'utilité de toute croyance à tout moment peut être subordonnée à des circonstances, Peirce et James conceptualisés dernière vérité comme quelque chose seulement établi par l'avenir, le règlement final de toutes les opinions. Les critiques ont accusé le pragmatisme d'être victime d'une erreur simple: parce que quelque chose qui est vrai révèle utile, que l'utilité est la base de sa vérité. Penseurs de la tradition pragmatiste John Dewey ont inclus, George Santayana, WVO Quine et CI Lewis. Le pragmatisme a été plus récemment pris de nouvelles directions de Richard Rorty, John Lachs, Donald Davidson, Susan Haack, et Hilary Putnam.
Phénoménologie
De Edmund Husserl la phénoménologie était une tentative ambitieuse de jeter les bases d'un compte de la structure de l'expérience consciente en général. Une partie importante du projet phénoménologique de Husserl était de montrer que tous les actes conscients sont dirigés à ou sur le contenu objectif, une caractéristique que Husserl appelle l'intentionnalité .
Dans la première partie de son ouvrage en deux volumes, les Recherches logiques (1901), il a lancé une attaque prolongée sur le psychologisme. Dans la deuxième partie, il a commencé à développer la technique de la phénoménologie descriptive , avec le but de montrer comment des jugements objectifs sont en effet fondée sur l'expérience-pas conscient, cependant, dans l'expérience de personnes en particulier à la première personne, mais dans les propriétés essentielles pour des expériences du genre en question.
Il a également tenté d'identifier les propriétés essentielles de tout acte de signification. Il a développé le procédé dans Idées (1913) que la phénoménologie transcendantale , proposant à la terre expérience réelle, et donc tous les domaines de la connaissance humaine, dans la structure de la conscience d'un idéal, ou transcendantale, l'ego. Plus tard, il a tenté de concilier son point de vue transcendantale avec accusé de l'intersubjectif monde de la vie dans laquelle interagissent vrais sujets individuels. Husserl publié seulement quelques œuvres dans sa vie, qui traitent phénoménologie principalement en termes méthodologiques abstraites; mais il a laissé une énorme quantité d'analyses concrètes inédites.
Le travail de Husserl était immédiatement influents en Allemagne, avec la fondation d'écoles phénoménologiques à Munich et à Göttingen. Phénoménologie tard atteint une renommée internationale grâce au travail de philosophes tels que Martin Heidegger (anciennement assistant de recherche de Husserl), Maurice Merleau-Ponty, et Jean-Paul Sartre . En effet, grâce au travail de Heidegger et de Sartre, l'accent sur l'expérience subjective Husserl influencé les aspects de l'existentialisme .
Existentialisme
L'existentialisme est un terme appliqué à l'œuvre d'un certain nombre de fin de 19e et 20e siècle des philosophes qui, en dépit des différences doctrinales profondes, a partagé la conviction que la pensée philosophique commence avec le sujet-pas humain simplement le sujet pensant, mais le jeu des acteurs, le sentiment , vivant individu humain. Dans l'existentialisme, le point de départ de l'individu est caractérisé par ce qu'on a appelé "l'attitude existentielle", ou un sentiment de désorientation et de confusion dans le visage d'un monde apparemment dénuée de sens ou absurdes. Beaucoup existentialistes ont également considéré la philosophie systématique ou universitaire traditionnelle, tant dans le style et le contenu, comme trop abstraite et éloignée de l'expérience humaine concrète.


Bien que ne pas utiliser le terme, les philosophes du 19ème siècle Søren Kierkegaard et Nietzsche sont largement considérés comme les pères de l'existentialisme. Leur influence, cependant, a étendu au-delà de la pensée existentialiste.
La cible principale des écrits de Kierkegaard était le système philosophique idéaliste de Hegel qui, pensait-il, ignoré ou exclu la vie intérieure subjective d'êtres humains vivants. Kierkegaard, à l'inverse, a jugé que «la vérité est subjectivité», arguant que ce qui est le plus important pour un être humain réel sont des questions traitant de la relation intérieure d'un individu à l'existence. En particulier, Kierkegaard, un chrétien, croit que la vérité de la foi religieuse est une question subjective, et l'autre pour être débattu avec passion.
Bien que Kierkegaard et Nietzsche ont été parmi ses influences, la mesure dans laquelle le philosophe allemand Martin Heidegger doit être considéré comme un existentialiste est discutable. En Être et Temps , il a présenté une méthode d'enracinement explications philosophiques dans l'existence humaine ( Dasein ) pour être analysées en termes de existentiel catégories ( existential ); ce qui a conduit de nombreux commentateurs à le traiter comme une figure importante dans le mouvement existentialiste. Toutefois, dans La Lettre sur l'humanisme , Heidegger a explicitement rejeté l'existentialisme de Jean-Paul Sartre .
Sartre est devenu le promoteur le plus connu de l'existentialisme, explorant non seulement dans les travaux théoriques comme Être et le Néant , mais aussi des pièces de théâtre et des romans. Sartre, avec Simone de Beauvoir, représentait une branche ouvertement athée de l'existentialisme, qui est maintenant associée plus étroitement avec leurs idées de nausées, de la contingence, de mauvaise foi, et l'absurde qu'avec angoisse spirituelle de Kierkegaard. Néanmoins, l'accent mis sur l'être humain, responsable devant l'univers de l'authenticité de son existence, est commun à tous ces penseurs.
Structuralisme et le post-structuralisme


Inauguré par le linguiste Ferdinand de Saussure, le structuralisme a cherché à clarifier les systèmes de signes à travers l'analyse des discours ils ont tous deux limites et rendre possible. Saussure conçu le signe comme étant délimité par tous les autres signes dans le système, et les idées comme étant incapable de l'existence avant la structure linguistique, qui articule la pensée. Cela a conduit la pensée continentale loin de l'humanisme, et vers ce qui a été appelé le décentrement de l'homme: la langue est plus parlée par l'homme d'exprimer un véritable moi intérieur, mais la langue parle l'homme.
Le structuralisme a cherché la province d'une science dure, mais son positivisme vint bientôt sous le feu par le poststructuralisme, un large champ de penseurs, dont certains étaient autrefois se structuralistes, mais plus tard est venu à critiquer. Structuralistes croyaient qu'ils pouvaient analyser les systèmes d'une règle objective externe, par exemple, mais les post-structuralistes ont fait valoir que cela est inexact, que l'on ne peut pas transcender les structures et donc l'analyse est elle-même déterminée par ce qu'il examine, alors que la distinction entre le signifiant et le signifié est traités comme cristallin par structuralistes, post-structuralistes ont affirmé que toute tentative pour saisir les résultats signifié dans plus signifiants, donc sens est toujours dans un état d'être reporté, faisant une interprétation ultime impossible.
Le structuralisme est venue à dominer la philosophie continentale dans les années 1960 et au début des années 1970, englobant penseurs aussi divers que Claude Lévi-Strauss, Roland Barthes et de Jacques Lacan. Le post-structuralisme est venu à prédominer sur les années 1970, y compris des penseurs tels que Michel Foucault, Jacques Derrida, Gilles Deleuze et même Roland Barthes; il a incorporé une critique des limites de structuralisme.
La tradition analytique
Le terme philosophie analytique désigne à peu près un groupe de méthodes philosophiques qui soulignent l'argumentation détaillée, attention à la sémantique, l'utilisation de la logique classique et logiques non classiques et la clarté du sens ci-dessus tous les autres critères. Certains ont estimé que les problèmes philosophiques se posent par abus de langage ou parce que des malentendus de la logique de notre langue, tandis que certains soutiennent qu'il ya de véritables problèmes philosophiques et que la philosophie est continue avec la science. Michael Dummett dans ses Origines de la philosophie analytique qui rend le cas pour compter de Gottlob Frege Les fondements de l'arithmétique comme le premier travail analytique, au motif que, dans ce livre Frege a pris le tournant linguistique, l'analyse des problèmes philosophiques à travers le langage. Bertrand Russell et GE Moore sont souvent comptés comme fondateurs de la philosophie analytique, en commençant par leur rejet de l'idéalisme britannique, leur défense du réalisme et de l'accent mis sur elles la légitimité de l'analyse. Classique de Russell fonctionne Les Principes de mathématiques , de la dénotation et Principia Mathematica avec Alfred North Whitehead, en dehors de la promotion grandement l'utilisation de la logique mathématique en philosophie, préparer le terrain pour une grande partie du programme de recherche dans les premiers stades de la tradition analytique, soulignant tels problèmes que: la référence des noms propres, que ce soit «existence» est une propriété, la nature des propositions, l'analyse des descriptions définies, les discussions sur les fondements des mathématiques; ainsi que d'explorer les questions d'engagement ontologique et même des problèmes métaphysiques concernant le temps, la nature de la matière, l'esprit, la persévérance et le changement, qui a abordé Russell souvent avec l'aide de la logique mathématique. Russell et la philosophie de Moore, au début du 20e siècle, développé comme une critique de Hegel et ses partisans britanniques en particulier, et de grands systèmes de philosophie spéculative en général, mais en aucun cas tous les philosophes analytiques rejettent la philosophie de Hegel (voir Charles Taylor), ni la philosophie spéculative. Certaines écoles dans le groupe comprennent le positivisme logique et le langage ordinaire à la fois nettement influencée par le développement de Russell et Wittgenstein de logique Atomism l'ancien positivement et négativement ce dernier.
En 1921, Ludwig Wittgenstein , qui a étudié Russell à Cambridge, a publié son Tractatus logico-philosophicus , qui a donné un compte de façon rigide "logique" des questions linguistiques et philosophiques. À l'époque, il a compris la plupart des problèmes de la philosophie comme de simples puzzles de la langue, qui pourraient être résolus par l'enquête, puis garde la structure logique du langage. Des années plus tard, il est revenu sur un certain nombre de positions qu'il a exposées dans le Tractatus , par exemple dans son deuxième ouvrage majeur, Investigations philosophiques (1953). Enquêtes était influent dans le développement de la «philosophie du langage ordinaire», qui a été promu par Gilbert Ryle, JL Austin , et quelques autres. Aux États-Unis, quant à lui, la philosophie de WVO Quine était d'avoir une influence majeure, avec des classiques tels que deux dogmes de l'empirisme. Dans ce document Quine critique la distinction entre états analytiques et synthétiques, arguant qu'une conception claire de l'analyticité est inaccessible. Il a plaidé pour le holisme, la thèse selon laquelle la langue, y compris la langue scientifique, est un ensemble de phrases interconnectés, dont aucun ne peut être vérifiée sur son propre, plutôt, les phrases dans la langue dépendent les uns des autres pour leurs conditions de sens et de vérité. Une conséquence de l'approche de Quine est cette langue dans son ensemble ne dispose que d'une relation mince à l'expérience. Certaines phrases qui se réfèrent directement à l'expérience pourraient être modifiées par des impressions de sens, mais comme l'ensemble de la langue est la théorie chargés, pour l'ensemble de la langue à être modifié, plus que cela est nécessaire. Cependant, la plupart de la structure linguistique peut en principe être révisé, même logique, afin de mieux modéliser le monde. Étudiants remarquables de Quine comprennent Donald Davidson et Daniel Dennett. L'ancien conçu un programme pour donner une sémantique du langage naturel et ainsi répondre à l'énigme philosophique "ce qui est le sens?". Une partie cruciale du programme était l'utilisation de la théorie sémantique de Alfred Tarski de la vérité. Dummett, entre autres, valoir conditions de vérité qui doivent être distribués à l'intérieur de la théorie de la signification, et remplacées par la assertabilité. Certaines propositions, sur ce point de vue, ne sont ni vraies ni fausses, et donc une telle théorie de la signification implique un rejet de la loi du tiers exclu. Ce, pour Dummett, implique antiréalisme, comme Russell lui-même a souligné dans son An Inquiry into sens et de vérité .
Dans les années 1970 il y avait un regain d'intérêt dans de nombreux problèmes philosophiques traditionnels par les jeunes générations de philosophes analytiques. David Lewis, Saul Kripke, Derek Parfit et autres a pris un intérêt pour les problèmes métaphysiques traditionnelles, où ils ont commencé à explorer par l'utilisation de la logique et de la philosophie du langage. Parmi ces problèmes certains étaient ceux distingués: le libre arbitre, l'essentialisme, la nature de l'identité personnelle, identité au fil du temps, la nature de l'esprit, la nature des lois causales, l'espace-temps, les propriétés des êtres matériels, modalité, etc. En les universités où la philosophie analytique est répandu, ces problèmes sont encore en discussion avec passion. Les philosophes analytiques sont aussi intéressés à la méthodologie de la philosophie analytique lui-même, avec Timothy Williamson, professeur Wykeham de Logic à Oxford, l'édition récemment un livre intitulé La philosophie de la philosophie . Certaines personnalités influentes dans la philosophie analytique contemporaine sont: Timothy Williamson, David Lewis, John Searle, Thomas Nagel, Hilary Putnam, Michael Dummett, Peter van Inwagen et Saul Kripke. La philosophie analytique a parfois été accusé de ne pas contribuer au débat politique ou à des questions traditionnelles de l'esthétique. Cependant, avec l'apparition de Théorie de la justice par John Rawls et Anarchie, État et Utopie par Robert Nozick, la philosophie politique analytique acquis la respectabilité. Les philosophes analytiques ont également montré la profondeur dans leurs enquêtes de l'esthétique, avec Roger Scruton, Nelson Goodman, Arthur Danto et d'autres en développement l'objet à sa forme actuelle.
La philosophie appliquée
Les idées conçues par une société ont des répercussions profondes sur les actions que la société effectue. L'étude de la philosophie appliquée donne des applications telles que celles de l'éthique - éthique appliquée en particulier et la philosophie politique . Les philosophies politiques et économiques de Confucius , Sun Zi , Chanakya, Ibn Khaldoun, Ibn Rushd, Ibn Taymiyyah, Niccolò Machiavelli, Gottfried Wilhelm Leibniz , John Locke , Jean-Jacques Rousseau , Adam Smith , Karl Marx , John Stuart Mill , Mahatma Gandhi , Martin Luther King Jr. , et d'autres, tous ceux-ci ont été utilisées pour façonner et justifier les gouvernements et leurs actions.
Dans le domaine de philosophie de l'éducation, de l'éducation progressiste que défendue par John Dewey a eu un impact profond sur les pratiques éducatives dans le États-Unis au 20e siècle. Descendants de ce mouvement incluent les efforts actuels de la philosophie pour enfants, qui font partie de l'éducation de la philosophie. politique de Carl von Clausewitz philosophie de la guerre a eu un effet profond sur l'art de gouverner, la politique internationale et la stratégie militaire au 20e siècle, en particulier dans les années autour de la Seconde Guerre mondiale . Logic est devenu d'une importance cruciale dans les mathématiques , la linguistique , la psychologie , l'informatique , et génie informatique.
Autres applications importantes peuvent être trouvées dans l'épistémologie, qui aide à comprendre les conditions requises pour la connaissance, des preuves solides, et la croyance justifiée (important dans la loi , l'économie , théorie de la décision, et un certain nombre d'autres disciplines). Le philosophie des sciences aborde les fondements de la méthode scientifique et a affecté la nature de la recherche scientifique et de l'argumentation. En tant que tel, la philosophie a des implications fondamentales pour la science dans son ensemble. Par exemple, l'approche strictement empirique de la béhaviorisme de Skinner affecté pendant des décennies l'approche de l'établissement psychologique américaine. écologie et profondes droits des animaux d'examiner la situation morale de l'homme que les occupants d'un monde qui a occupants non humains à considérer également. Esthétique peuvent aider à interpréter discussions de la musique , la littérature , les arts plastiques, et toute la dimension artistique de la vie. En général, les différentes philosophies efforçons de fournir des activités pratiques avec une compréhension plus profonde des fondements théoriques et conceptuelles de leurs champs.
Souvent, la philosophie est considérée comme une enquête dans une zone pas suffisamment bien compris pour être sa propre branche de la connaissance. Ce qui était autrefois recherches philosophiques ont évolué dans les champs des temps modernes tels que la psychologie , la sociologie , la linguistique et l'économie , par exemple.